[Précédemment, l’équipe du NCIS de Los Angeles a échangé Marcel Janvier contre Callen pour sauver la vie d’un agent infiltré en Iran. Janvier a été livré à Vaziri. D’autre part, des bombes nucléaires datant de la guerre froide ont été dérobées par Sidorov, un trafiquant d’armes russe, auprès duquel Michelle, la femme de Sam, est le seul agent ayant jamais réussi à s’approcher, sous le pseudonyme de Quinn. Mais les bombes n’ont pas encore pu être récupérées…]
Un professeur fait un cours de géologie sur le terrain quand un de ses élèves découvre une bombe – ressemblant terriblement à l’engin nucléaire que les agents avaient récupéré chez les Pierce. Un minuteur est enclenché : il reste 7 minutes. Le professeur hurle, tous se mettent à courir…Jusqu’à l’explosion et le terrible champignon, qui ne leur laisse aucune chance.
GÉNÉRIQUE.
Hetty, Callen, Eric et Nell sont en vidéoconférence avec Granger quand Kensi et Deeks les rejoignent, puis Sam et Michelle. L’explosion nucléaire a eu lieu dans le désert du Chihuahua ; elle a amené des interrogations au plus haut niveau entre la Russie, l’Angleterre, la Chine, l’Iran, mais personne ne revendique l’action. D’où la présence de la femme de Sam : après analyses des données, il semble bien que Sidorov ait testé une de ses bombes. Cela augmente d’autant la valeur des deux restantes, puisque les armes nucléaires sont cotées en fonction de la peur qu’elles inspirent. En plus, le « représentant » de Sidorov dans les transactions commerciales, un certain Zhrov, est présent à Los Angeles.
Il faut donc d’une part trouver d’urgence un nouvel acheteur, de préférence un trafiquant international connu et reconnu dans l’entourage de Sidorov ; d’autre part que Quinn et son compagnon se réintroduisent dans l’équipe du russe. Comme il leur doit beaucoup d’argent, cela leur donne un motif tout trouvé. Sam est réticent, ne sachant pas si la couverture de Quinn a été compromise. Mais Granger insiste, la vie d’un seul agent ne peut pas se mettre en balance avec celle de milliers de personnes. Autre coup dur pour Sam : Hetty charge Deeks de garder ses arrières, alors que l’ex-SEAL ne fait confiance qu’à Callen. Malheureusement, celui-ci part en Iran avec Kensi.
Deeks est lui aussi inquiet de ne pas pouvoir protéger Kensi. Malheureusement, en parlant de lui surveiller les miches, il ne réussit qu’à l’agacer, et à déclencher une dispute où il finit par lui dire qu’elle n’a aucun talent pour communiquer. Elle s’étrangle : c’est lui qui ne dit jamais clairement les choses. Comme il proteste, elle le met au défi. Il hésite, et finalement l’intervention de Callen qui vient chercher Kensi met un terme à la scène.
A 12 kms de la frontière afghane en Iran, un bus transportant des personnes cagoulées est pris d’assaut par un commando mené par G et Kensi. Callen enlève une à une les cagoules, visiblement à la recherche de quelqu’un. Il le trouve finalement à l’arrière : Marcel Janvier.
Avec un poignet se terminant par un moignon : sa main a été coupée…
Pendant ce temps, les OPS ont repéré le véhicule ayant transporté la bombe au Mexique ; deux jours auparavant il stationnait près du Bilmore Hotel. Or 3 des hommes de Sidorov sont entrés quinze jours plus tôt dans le pays (une info de la CIA) et séjournent dans ce quartier. Mais comme l’agence n’a jamais pu établir la présence de leur patron, ils ont pensé à une fausse piste. Michelle, qui connait bien le malfrat, estime qu’il peut très bien entrer et sortir de l’hôtel sans être vu. Il faut donc aller s’en assurer.
Une surveillance est ainsi établie : Michelle dans sa voiture, Sam et Deeks devant un jeu d’échecs. Très vite le ton monte entre les deux hommes. Cette fois Marty réclame une véritable explication sur l’animosité jamais disparue que lui voue l’ex-SEAL. Il semble que cela soit surtout viscéral. Là encore le travail empêche de vider l’abcès : Michelle repère une très belle jeune femme habillée en Valentin Kartashyov (le couturier à la mode de Moscou, le préféré de Sidorov).
Eric suit donc la jeune femme par caméra interposée dans l’ascenseur, puis dans le couloir, où elle rencontre un des hommes du russe. Eric s’aperçoit qu’il n’a aucun moyen de voir ce qui se passe dans les escaliers qui mènent au parking : donc Sidorov peut entrer et sortir par là au milieu de la nuit sans être repéré ; et, comme le souligne Michelle, avec toujours 3 ou 4 gorilles. Il va falloir être beaucoup plus nombreux…
Dans l’avion qui le ramène, Janvier prévient Callen qu’il ne faut rien attendre de lui : après que Vaziri lui ait tranché, jointure par jointure, sa main gauche, il se considère comme un homme mort. G ne peut plus rien lui offrir. Sauf…la vengeance contre Vziri et l’Iran, en échange de la conclusion d’une vente d’armes pour laquelle il servirait d’intermédiaire. Janvier a le temps du vol pour se décider.
Dans le parking du Bilmore Hotel, Sidorov et trois de ses hommes s’assoient dans leur voiture quand chacun est mis en joue par au moins une visée laser. Paniqués, ils n’ont pas le temps de sortir leurs armes ; Sam et Michelle se montrent ; elle fait descendre Sidorov, l’emmène vers son SUV. Au passage, Sam lui montre que leurs renforts tiennent en un boitier… Quinn lui explique qu’ils vont à la banque, ils veulent être payés de tout ce que le russe leur doit. Juste avant qu’elle démarre, Sam déconnecte un autre boitier électronique : les visées laser disparaissent des hommes de Sidorov, toujours immobilisés dans la voiture.
Plus tard, le jour s’est levé, Michelle, Sam et Sidorov se préparent à entrer dans la banque. Ils ont repéré ses gorilles, garés un peu plus loin. Par téléphone, sur l’ordre de Michelle, le russe leur ordonne de ne pas bouger : il repartira avec eux dès que l’argent aura changé de main.
L’avion en provenance du Moyen-Orient se pose. Les marshals arrivent pour prendre livraison de Janvier, qui finalement opte pour une nouvelle partie d’échecs. L’expédition montée pour le rapatrier a été faite de telle manière qu’elle paraisse être une évasion autofinancée. Nul doute que les services du renseignement iranien aimeraient avoir de ses nouvelles. G demande à Janvier de les appeler, afin que Vaziri prenne contact. Il lui proposera alors d’acheter ce qui pourrait à jamais changer la face de son pays : une bombe nucléaire. Ce n’est plus une partie d’échecs, mais du poker à très gros enjeux qui commence. Avec pour Janvier une première exigence : que G finisse le travail commencé quand il lui a mis une balle dans la tête. Callen rétorque que, même si ce n’est pas l’envie qui lui manque, il ne le tuera pas. Javier ricane : il pourrait bien le faire changer d’avis…
Le virement à la banque demande un peu de temps – mis à profit par la police, Deeks en tête, pour arrêter les hommes de Sidorov. Quand Sam et le russe ressortent de l’établissement, le premier rejoint Michelle qui l’attend dans la voiture, pendant que Sidorov fait un pas en direction de son propre véhicule. A cet instant des ordres fusent : « lâchez vos armes » ; puis une fusillade éclate : la police fait un carton sur la voiture russe. Sidorov prend peur, veut s’engouffrer sur la banquette derrière Michelle. La portière est verrouillée. Il la supplie d’ouvrir.
Elle hésite ; Sam lui crie de le laisser entrer. Elle se décide, ils s’éloignent rapidement tous les trois. Dès qu’ils sont loin, Deeks, qui poussent les hommes de Sidorov, menottés mais bien vivants, demande à Granger s’il pense que le russe a mordu à l’hameçon. Le directeur assistant en est persuadé. Il lui conseille d’enterrer les 3 types dans le système, sans coup de téléphone – puisqu’ils sont morts !
Dans la salle d’interrogatoire de l’annexe, Janvier, Kensi et Callen attendent. Quand le téléphone sonne, Janvier prend un temps avant de répondre. Vaziri est très vite localisé par Eric, dans un parc de la ville. Il perd son ton menaçant et ironique quand il comprend ce que Janvier lui propose. Le français réclame en échange (en plus d’une commission) l’abandon total et définitif de la traque de l’Iran à son égard. Vaziri est suffisamment intéressé pour le charger d’organiser une rencontre avec le vendeur.
Quand il raccroche, Janvier dit à Callen qu’il a une autre exigence : il a une fille de 16 ans à Paris, fruit d’une liaison avec une prostituée. Il demande qu’elle touche l’argent de sa commission virtuelle. Callen accepte à demi-mot, à condition qu’ils retrouvent les bombes. Pour cela, il lui fait appeler Zhrov – Janvier et lui se connaissent.
Le russe reçoit l’appel dans une allée discrète, au moment où Sidorov se fait déposer par Michelle et Sam. Le boss se dirige vers un nommé Andros pour savoir s’il a trouvé des remplaçants – mais la réponse est négative. Il faudrait en « importer » de Russie. Mais la procédure serait trop longue pour son chef. En même temps, Zhrov lui annonce qu’il vient d’être contacté par un intermédiaire ; Sidorov est content de savoir que c’est Janvier, un parfait salopard à qui l’on peut faire confiance. Il charge Zhrov d’organiser une rencontre, près de leur maison dans le désert. Puis il se tourne vers Quinn et Michelle qui se préparaient à repartir : il leur offre une nouvelle mission (une protection à court-terme) – qu’ils accepteraient éventuellement à condition d’être payés d’avance (problème de confiance). Sur ce, arrivent deux motardes, des « amies » de Sidorov, qui réclament également leur paiement avant de s’entendre appeler ainsi. Sam fait la moue : ils ont tous des problèmes de confiance avec Sidorov ; celui-ci lui rétorque que c’est pareil pour lui …
Les OPS n’ont rien perdu de la scène grâce à la caméra de la voiture de Michelle. Ils identifient les deux James Bond-girls : la brune, Veronica, est une ancienne enquêtrice de la brigade des stups de Moscou, poussée dehors car soupçonnée du meurtre d’un suspect. Maya, la blonde, était un agent des spetsnaz – les forces spéciales russes.
Pendant ce temps le téléphone sonne dans la salle d’interrogatoire de l’annexe. Zhrov confirme l’intérêt du vendeur, mais à condition que le rendez-vous se passe là où il le désire. G tente de refuser, mais cède pour ne pas prendre le risque de faire capoter la rencontre. Le russe donne à Janvier des coordonnées GPS qu’Eric localise en plein désert du Mojave. Autrement dit, un endroit d’où les agents seront tenus à l’écart, et où Janvier devra aller seul, en voiture. Hetty en vient à penser qu’ils jouent avec le feu en mettant Sidorov et Janvier en présence l’un de l’autre ; c’est exactement l’état d’esprit de Callen…
Avant de quitter les OPS avec Janvier, Kensi et G lui donnent les dernières consignes : prétendre ne pas connaitre Sam-David, porter son oreillette et la veste équipée du micro, ne rien tenter pour faire échouer la mission. Si tout se passe bien, sa fille aura son dû. Avant de partir, Janvier demande à aller aux toilettes. G le fouille, ne lui laisse fermer que la porte de son WC, et campe dans l’entrée pour ne courir aucun risque.
Un peu plus tard, Callen gare son véhicule près d’une voiture et d’une moto ; Kensi descend munie d’un casque, c’est elle qui aura le 2 roues. Avant de laisser Janvier prendre le volant, il lui vaporise un peu du marqueur de surveillance. Puis il lui explique que sa voiture est équipée de caméras, et qu’il sera traqué par son GPS. Il devra se rendre au meeting, parler à Vaziri et Sidorov mais sans les approcher ni les toucher, leur faire conclure le marché et revenir. Et pour achever de le convaincre, G lui montre que le moteur de sa voiture peut être arrêté ou démarré à distance…
A l’approche de l’heure du rendez-vous, Deeks rejoint G (à bonne distance du point de rencontre) ; dans les OPS, Hetty et Granger s’inquiètent un peu pour Sam, qui devra se débrouiller pour rester à distance de Vaziri…
Sidorov arrive avec Zhrov, suivi de la voiture de Michelle et des motardes. Michelle propose de rester à l’arrière pour les couvrir, mais (heureusement) le russe exige que ce soit Sam. Puis Janvier et Vaziri font leur apparition. Bien sûr l’iranien ironise sur son travail manuel- mais Janvier n’est pas d’humeur. Il passe tout de suite aux affaires : 20 millions de dollars par bombe, payables en or. Vaziri trouve qu’ils y vont fort, pour du matériel d’une quarantaine d’années. G demande alors à Janvier, dans son oreillette, de se montrer convaincant. L’homme explique que le nucléaire n’est pas une question de capacité mais de potentiel. Une chance unique pour l’Iran de s’asseoir enfin à la table des grands avec les Etats-Unis ; et de donner des sueurs froides à Israël. Kensi apprécie son discours : elle est installée plus loin en sniper sur une petite hauteur.
Vaziri a mordu : il dit à Sidorov qu’il veut choisir le lieu de l’échange. Le russe accepte, mais exige un premier paiement de 5 millions (dans deux mallettes) pour vérifier la qualité de l’or. Janvier calcule : ces 12,5% lui semblent raisonnables. L’iranien est d’accord. Sidorov ajoute qu’il gardera cet or si les choses tournaient au vinaigre ; Vaziri ricane : il suppose que tout est entre les mains de Janvier- ou plutôt de « sa » main…Kensi n’aperçoit rien de suspect, tout semble se dérouler normalement.
Janvier regarde Vaziri, lui dit de donner un lieu d’échange dès que l’or sera livré ; l’iranien est OK, il quitte la réunion. Janvier se tourne vers Sidorov, lui demande si c’est bon pour lui aussi. Le russe a un petit rire : tout est très bien. Il repart vers sa voiture ; G a aussitôt un mauvais pressentiment …
Pourtant plus tard dans la maison isolée de Sidorov, 2 iraniens ont apporté les mallettes réclamées, et les russes testent l’or. De loin, Deeks et Kensi observent la scène. Les OPS se servent de la caméra bouton de Sam pour faire de même. Sidorov est satisfait, le métal est de qualité ; il congédie les iraniens. Aussitôt il reçoit un appel téléphonique, et se fait donner le lieu de l’échange. Il envoie les deux motardes en vérifier la sécurité, et leur demande d’emmener Quinn. Pas Sam, puisqu’il va aider Zhrov à porter les mallettes (de 50 kgs) jusqu’à la banque. Quinn n’est pas ravie, mais elle suit les deux jeunes femmes ; Sidorov la rattrape : il lui propose de partir avec lui dès qu’il aura les 40 millions dans les poches. Comme elle répond qu’elle va y penser, il fronce les sourcils : est-ce qu’elle est en train de le balader ? Elle l’embrasse alors, langoureusement, en guise de réponse, puis s’éloigne pour prendre sa voiture.
Deeks a ouvert de grands yeux : voilà quelque chose à ne pas dire à Sam-jamais ! Kensi tempère : Michelle n’a fait que protéger sa couverture. Marty l’approuve, exactement ce qu’il a fait avec Monica. Mais Kensi est sceptique : dans son cas, c’était sous couverture ou sous les couvertures ? Deeks prend très mal ce retour du petit monstre vert, ce que son équipière prétend ne pas comprendre. Comme il ne veut pas s’expliquer, elle s’énerve : il ne veut jamais s’expliquer – c’est bien lui l’handicapé du relationnel, cela lui donne l’impression de bosser avec un ado…Il l’interrompt, par un baiser, un long baiser…
et lui demande ce qu’elle pense de ce moyen de communication. Troublée, elle évite de le regarder ; elle démarre sa moto, pressée tout à coup de suivre Michelle. Deeks retourne lentement à sa surveillance…
Pendant ce temps, Sidorov menotte une des mallettes autour du poignet de Sam ; Zhrov a fait de même avec l’autre, c’est lui qui gardera les 2 clés jusqu’à la banque –problème de confiance. Andros l’apostrophe : il y a beaucoup d’argent là-dedans, il n’a pas intérêt à les doubler. Mais au moment où Sam passe devant lui, Sidorov lui met un coup de matraque derrière la tête et les 2 russes le poussent brutalement à l’eau. Sam se débat, mais le poids de l’or l’entraine vers le fond de la piscine. Bien sur, Eric, dans les OPS, a perdu tout moyen de communication avec lui. L’es-SEAL essaie désespérément de libérer son poignet, mais en vain. Deeks prévient qu’il part à son secours. Sam commence à manquer d’oxygène. D’autant qu’Andros appuie sur lui avec une barre de nage ; Sidorov ricane : « ça devrait faire venir les autres. Vas-y ». C’est lui qui prend le relais avec la barre pendant que son homme s’éloigne.
Deeks se gare dans un crissement de pneus, se rue hors de la voiture en sortant son arme ; Zhrov le met aussi en joue, et surtout Andros le prend à revers. Sidorov s’amuse : ainsi, toute l’arrière garde est là. Il propose l’échange de la clé contre son arme. Sinon, il peut dire à Andros de le descendre- et les 2 mourront. Zhrov sort la clé, la balance à bout de bras. Dans la piscine, Sam a cessé de bouger. Deeks n’hésite pas, il tend son pistolet et réclame la clé ; il hurle une deuxième fois. Zhrov la lance dans l’eau. Deeks plonge, ce qui rend les OPS muettes. Il attrape la clé et s’active à ouvrir la menotte…
Plus tard, G arrive au bord de la piscine. Plus de voitures, pas de Sam ni de Deeks. Hetty tente de le rassurer : Sidorov a besoin d’eux vivants pour savoir s’il y a d’autres agents impliqués, ou s’il peut toujours conclure son affaire. Granger est sceptique, il pense qu’il va renoncer, faute de pouvoir faire confiance à Janvier. Callen est pris d’un doute : pas si Janvier lui-même a vendu Sam. Il veut en avoir le cœur net, et fonce vers l’annexe. Hetty le prévient de se contrôler : Janvier est leur seul espoir de retrouver les bombes.
Sam se réveille dans une pièce sans fenêtre, solidement attaché sur une chaise métallique. Il tousse, se plaint, tousse encore. Sidorov et Andros le rejoignent. Ils rigolent de Deeks qui a dû le ranimer avec du bouche-à-bouche, et ajoutent que très bientôt il regrettera de ne pas être mort au fond de la piscine. Sam veut savoir où est Quinn. Le russe est heureux qu’il l’évoque, puisqu’elle est la raison de leur présence ici : est-elle également un agent ? Comme Sam fait mine de ne pas comprendre, Sidorov s’explique : est-ce que la transaction est toujours possible ? Y a-t-il d’autres agents impliqués ? L’ex-SEAL cherche à persuader ses geôliers qu’ils se trompent du tout au tout, mais visiblement ce n’est pas leur point de vue. Ils veulent lever leurs doutes sur Quinn, et pour cela…commencent à torturer Sam. Andros a branché des câbles électriques sur la chaise, et presse la poignée qui libère l’énergie. Sam prend une décharge qui le secoue terriblement…
Michelle pendant ce temps est arrivée au lieu d’échange derrière les deux motardes. Les deux femmes l’entrainent à l’intérieur pour vérifier le parking. Elles prennent le monte-charge…et montent. Quinn a le temps de prévenir Eric (il n’y a pas de caméra dans ce monte-charge) qui à son tour prévient Kensi. Les deux russes se jettent sur Michelle pour lui prendre son arme. Dehors, la jeune femme flaire une entourloupe et préfère suivre de près Michelle. Elle reçoit l’accord de Granger, avec pour condition de laisser en vie au-moins une russe. Seulement à l’arrière du bâtiment il n’y a qu’un seul monte-charge ; les ascenseurs sont tous à l’entrée principale et il y a des portiques de sécurité : elle va devoir prendre l’escalier. Alors que les autres viennent de s’arrêter au 30ème étage…
Là-haut, les russes expliquent à Michelle qu’elles ont ordre de la garder au frais jusqu’à ce que Sidorov les contacte. Elle n’entend pas obéir, et envoie la blonde et la brune au tapis avant de prendre ses jambes à son cou. Maya a du mal à se relever, Veronica part seule à la recherche de la fugitive, cachée derrière des cartons, l’étage étant en travaux. Michelle a saisi une barre de fer, c’est elle qui attaque ; l’arme de Veronica s’échappe, mais elle repousse Michelle ; la bataille fait rage entre les deux. Kensi est toujours dans l’escalier. Maya a récupéré, elle s’approche des combattantes au moment où un coup de pied terrible de la russe fait basculer Michelle dans le vide : il n’y a pas de fenêtre à cet étage. Un cri terrible, et une chance incroyable : Michelle a pu s’agripper à un long plastique ; seulement elle se retrouve avec la hauteur de 29 étages sous les pieds. Les deux filles n’ont pas eu le temps de vérifier la chute, elles doivent se mettre à l’abri des balles que Kensi envoie dans leur direction. Celle-ci appelle Michelle, qui hurle en retour ; le vent siffle, ses bras commencent à tétaniser…
Sam répond encore que Quinn n’est pas un agent. Sidorov l’étrangle à moitié : lui, il l’est, il le sait ; c’est un de ses vieux amis qui le lui a dit…
Callen entre en coup de vent dans la salle d’interrogatoire de l’annexe : vide. Il ressort aussi vite, en fait les deux agents de sécurité emmenaient Janvier vers les toilettes. G leur ordonne de partir. Il attrape Janvier, le plaque contre un pilier et gronde : tu as donné Sam ; l’autre sourit, alors G lui envoie quelques coups de poing. Mais Janvier s’en moque : on ne peut plus lui faire de mal après ce qu’il a subi. Il lève son moignon. C’est Callen le responsable, c’est lui qui l’a livré à Vaziri. Il ne vit plus que pour tuer ceux qu’il aime…
Il tire une langue noircie, et baisse les paupières. Stupéfait, G lit : David, agent. Janvier avait coupé la mine du crayon qui lui avait permis de noter les coordonnées GPS, puis demandé à aller aux toilettes. Quand il avait demandé à Sidorov si tout était OK, il avait fermé les yeux ; d’où le franc sourire du russe. Janvier ricane : Sidorov va tuer ton partenaire adoré…
Cette fois Sam ne peut s’empêcher d’hurler quand la décharge traverse son corps. Lorsqu’Andros arrête, il est à moitié évanoui. Sidorov lui fait remarquer que son corps est presque train de brûler- il ne peut pas être si résistant. Sam bredouille quand même que Quinn n’est pas un agent. Alors le russe sourit, et lance à Andros qu’ils vont s’occuper de l’autre, puisque ça ne va pas marcher. Avant de le suivre à côté, il ajoute pour Sam qu’ils vont s’occuper du plus faible au-lieu de perdre leur temps avec lui.
Et sous ses yeux, Andros attrape un écarteur de mâchoires en métal. Deeks répète qu’il est un flic des stups et qu’il surveillait la maison quand il a vu ce qui se passait – il ne le connait même pas, ce type. Andros lui met l’appareil en place, ce qui fait déjà hurler de douleur Marty. Sidorov lui repose la question – il croise le regard de Sam, suppliant, et qui secoue légèrement la tête.
Andros a pris une perceuse, l’a mise en route ; il se penche au-dessus de la bouche et…un cri terrifiant, horrible, se prolonge. Sam est détruit en l’entendant…
Le hurlement s’éternise…
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