Un homme (inquiet) est au volant d’un SUV dans les rues de Los Angeles. Il est suivi par un pickup et les deux véhicules font crier leurs pneus, le premier essayant de semer l’autre. Dans un effort désespéré, il passe à travers la grille d’un des chemins d’accès à la conduite d’eau ; le pickup ne peut pas tourner, le type du SUV reprend espoir. Malheureusement le gros véhicule prend la descente suivante, et avec sa puissance, il rattrape aisément la voiture, qu’il déséquilibre par une poussette arrière. Le SUV s’envole et après un tonneau s’immobilise sur ses roues. Le pickup fait demi-tour, revient s’arrêter près de sa proie pendant que le conducteur, sonné mais indemne, s’en extrait. L’homme du pickup descend, marche vers le type par terre, et sort une arme. L’autre a beau hurler « non, non », il est abattu. Son meurtrier repart tranquillement à son propre véhicule quand un nouveau coup de feu retentit, et à son tour il s’écroule. Une voiture stationnée plus haut démarre alors – pendant que le tueur-tué atteint à la tête perd son sang sur le ciment de la conduite d’eau...
GENERIQUE
Sam arrive au boulot en grimaçant ; son épaule semble le faire souffrir. Il a appris de nouveaux mouvements de Jeet Kune Do, et a un peu trop forcé. Deeks le comprend, lui il a fait du mountain bike et de l’escalade pendant son weekend. Kensi s’étonne, elle pensait qu’il passait son temps au Reiki. Marty explique qu’il y va après avoir martyrisé son corps. Sam lui dit être un expert en la matière et entreprend de le lui prouver - en lui arrachant le cou. Histoire de réveiller ce qu’il a de cervelle : il est temps qu’il arrête de croire en ces trucs...Le sifflet d’Eric les interrompt.
Dans la salle des OSP, les photos des deux cadavres sont affichées sur l’écran géant. Il s’agit de deux employés d’un stand de tir couplé à un magasin de ventes d’armes (sous licence fédérale), le Point Blank. D’après Hetty, ce type de boutiques est bien souvent responsable de trafics d’armes qui se retrouvent dans les mains de malfrats divers. Le propriétaire des lieux est un ancien militaire, Rich Mayfield ; Le tueur du matin était son neveu ; son frère Blake, son cousin Neil et sa belle-fille, Mara, travaillent aussi avec lui. Le neveu a été atteint par une balle de gros calibre.
En fait, ce qui les amène à s’intéresser à cette affaire, c’est le visage du dernier embauché du magasin : Renko !! Là où ça devient encore plus surprenant, c’est qu’Hetty ignore tout de sa mission comme de celui qui l’a envoyé sous couverture. Mais tout ceci est secondaire en regard d’un texto reçu par le neveu : Renko était dénoncé comme n’étant pas celui qu’il prétend être. Ils ont aussitôt envoyé un message codé à Mike, qui n’a pas répondu. Hetty veut que son équipe se rende sans perdre un instant au stand de tir, où Renko est en train de bosser, afin de le prévenir et de s’assurer qu’il quitte l’endroit aussitôt.
Voilà donc Kensi prête à prendre son 1er cours de tir. Le frère du patron, Blake, lui fait les recommandations d’usage et Deeks s’improvise « manager ». Quand Blake s’éloigne, ils n’ont pas repéré Renko ; Kensi fait un festival de nullités, jouant le jeu jusqu’au bout. Sam et Callen qui entrent dans le magasin ont plus de chance – Mike est en train de mettre du matériel en place. Sam veut acheter une arme et s’adresse à cousin Neil, pendant que G baguenaude entre les étagères. Il se retourne sur Mara qui passe avant de glisser à Renko, sans le regarder, qu’il est temps de rompre avec Martha. L’autre comprend, sort aussitôt après avoir regardé son téléphone et se dirige vers sa voiture.
Deeks et Kensi qui arrivent sur le parking poussent un soupir de soulagement : tout est OK. Mais à l’instant où Renko va ouvrir sa portière de voiture, Rich surgit devant lui. Mike explique qu’il rentre d’urgence, un tuyau d’eau a éclaté, sa cuisine est inondée. Mais son patron ne l’entend pas de cette oreille, et sort son arme. Il n’a pas le temps d’achever son geste que Renko a plongé, et les deux entament une lutte serrée. Deeks et Kensi donnent l’alerte par oreillette et micro interposés pendant que Rich appelle son frère en hurlant. Quand Blake accourt, Kensi veut l’arrêter avec l’habituel « agents fédéraux » mais l’homme leur tire dessus. Ils s’abritent derrière une voiture ; finalement Kensi le descend. Mais Neil arrive, cette fois avec une arme automatique. Callen, à l’abri lui-aussi d’un véhicule, lui règle son compte en deux fois, d’abord en lui logeant des balles dans les jambes par-dessous la voiture, puis, une fois qu’il est tombé, en le plombant à nouveau. Rich prend le dessus sur Renko et finit par le tenir en joue. Un coup de feu éclate, mais c’est lui qui s’effondre sur Mike : Sam est arrivé à point ! L’agent à terre le remercie du regard. L’affaire est terminée.
Un peu plus tard, la police est là, les corps sont évacués –
Renko est heureux de retrouver Kensi et ils se chamaillent comme d’habitude quand un on entend un coup de feu. Par réflexe tout le monde se met à l’abri et s’apprête à riposter, mais rien ne suit. Par contre, Renko s’est effondré. Kensi se précipite, il saigne abondamment de la tête, elle lui donne les premiers soins en tentant de limiter l’hémorragie et l’encourage à tenir bon...
Renko est transporté en salle d’opération sous les yeux d’Hetty. Un docteur lui explique que la balle a traversé la mâchoire et les sinus avant de perforer la carotide ; seule la réaction très rapide des agents lui a sauvé la vie. Il est cependant dans un état critique, il faut attendre pour se prononcer. Hetty rejoint son équipe et demande, avec une voix pleine de colère froide, ce qui s’est passé. Comme Callen avance qu’ils n’en savent trop rien, la boss s’énerve. Même si le stand de tir comme le magasin avaient été sécurisés, même si Renko avait confirmé que tous les employés avaient été neutralisés, manifestement il restait une menace dont ils n’avaient pas pris la mesure. Mais un couloir d’hôpital n’est pas le lieu idéal pour ce genre de considérations. Hetty les veut dès que possible dans la salle des OSP. Kensi refuse, elle reste ici avec Mike. Deeks, qui essaie de faire de même pour soutenir son équipière, se fait rabrouer.
Voilà donc les 3 hommes de l’équipe avec Eric et Nell en face du grand écran où, sur les 4 portraits des Mayfield, deux portent la mention décédés. Neil est en réanimation. Reste Mara, 26 ans, sans casier judiciaire, employée comme comptable par son beau-père. Elle ou son ordinateur devraient pouvoir révéler les secrets de Rich. Quand au visionnage de la scène prise par la caméra de surveillance du parking, il permet seulement de localiser le tireur à ... 300 mètres ! Un type bien entrainé, manifestement.
En bas, Hetty se bat avec son ordinateur quand Granger apparaît. Il a eu vent de la nouvelle au moment où il partait pour Washington. Hors d’elle la chef s’indigne de ne pas pouvoir accéder au dossier de Renko ; elle se fige : bien sûr, c’est lui, Granger, qui l’a mis sous couverture au stand de tir. Le sous-directeur ne nie pas : il aime garder le contact avec le terrain de temps en temps, mais comme c’est mal vu par la hiérarchie, il le fait en effaçant ses traces. Un tuyau avait donné Rich comme étant sur le point de vendre des armes à une cellule terroriste qui devait agir dans le pays. Mike n’était là-bas que depuis 3 semaines, il gagnait petit à petit la confiance de son patron, qui lui avait parlé d’un acheteur dans les prochains jours, pour un deal dans un lieu et à une heure qu’il recevrait par texto. Peut-être que cet acheteur n’était pas au courant de ce qui s’était passé. Hetty explique la découverte du message impliquant que Renko était compromis, et s’en prend à Granger pour n’avoir pas fait son boulot. Il la quitte en la fusillant du regard.
A l’hôpital, le médecin s’approche de Kensi avec une bonne nouvelle : les choses se passent mieux que prévu, et, bien qu’il ne soit pas encore tiré d’affaire, son collègue devrait quitter rapidement le service de réanimation.
Retour en salle des OSP, avec cette fois Granger et Hetty qui ont rejoint le groupe. Eric dit qu’en fait il y a deux autres employés du stand de tir qui n’étaient pas au travail ce jour là : l’un parce qu’il a été arrêté la veille pour conduite en état d’ivresse, et est toujours en rétention dans les locaux de la police ; l’autre est simplement absent, mais son pédigrée est édifiant : agression, vols divers et variés, possession illégale d’armes (un homme de la Renaissance selon Deeks...). Cerise sur le gâteau, il a intégré une école de tir de précision quand il était à l’armée. D’où il s’est fait virer pour de multiples actes d’insubordination et agression. Il s’est fait virer également de sa dernière adresse connue. Granger demande à Eric de pister sa carte bleue et d’activer la reconnaissance faciale. Il parait préoccupé, comme s’il avait une idée derrière la tête. Callen lui pose la question, il répond simplement qu’il a beaucoup d’idées derrière la tête.
Kensi fait les 100 pas dans le couloir quand Renko sort du bloc. Son brancard est poussé dans une salle ; tout à coup une alarme retentit. Les ordres fusent, la tension de Renko chute pendant que son rythme cardiaque s’emballe. Les soignants s’affairent autour de lui.
Au QG, les agents ont du mal à faire le lien entre les morts. Comme si au début le tueur avait planifié ses meurtres avant d’y prendre goût et de tuer ensuite au hasard. Mais Callen ne croit pas à cette hypothèse, sans pouvoir cerner ce qui le pousse à relier les cadavres. Simplement il sent qu’il y a quelque chose derrière tout ça. Hetty ayant été demandée au téléphone, elle s’isole pendant que G ajoute que l’affaire est très compliquée, et qu’ils ont loupé quelque chose. Hetty change de couleur et raccroche, au bord des larmes. Tout les regards se braquent sur elle : elle se racle la gorge et annonce que Renko a eu une crise cardiaque à la sortie du bloc, et qu’ils n’ont rien pu faire pour lui. Elle sort lentement de la salle, au milieu du silence pesant qui accueille ses paroles.
G et Sam sont dans la salle d’interrogatoire en compagnie de Mara. Kensi dans la salle d’observation a des doutes : membre d’une telle famille, il y a peu de chance que la jeune femme parle, préférant aller en prison. Deeks lui propose de parler de Renko mais elle botte en touche. En fait Mara n’a aucune sympathie pour son beau-père et ne fait aucune difficulté pour expliquer que ses comptes étaient truqués ; et tellement mal que le NCIS n’aura aucun mal à remonter les fraudes. Pour elle, sa mère a fait la pire de ses erreurs en entrant dans cette famille de demeurés. Elle ne s’était aperçue de ça qu’après avoir commencé à bosser pour Rich ; mais seule avec un enfant, elle avait besoin de gagner sa vie, et la paie était très confortable. Autrement dit, il achetait son silence, ce qui prouve un certain bon sens quand même…
Au QG, Granger est assis face à Hetty dans son bureau. Rich avait confié à Renko avoir la nette impression qu’il y avait une pomme pourrie parmi ses employés, un fruit gâté qui pourrait faire tomber son entreprise. Mais Mike ne s’était pas senti repéré. Nell et Eric se pointent, Granger veut savoir s’ils ont pu tirer quelque chose du téléphone portable de Rich. Mais comme en même temps Hetty lui demande si les parents de l’agent ont été prévenus, il répond que son bureau s’en occupe. Hetty voit rouge ; il prend le temps de préciser que c’est lui en personne qui l’a fait. Du côté des renseignements donnés par le téléphone, un message leur a appris que l’affaire devait se conclure très bientôt ; aucune indication sur le lieu. Le texto était parti d’un téléphone brûlé – dont le propriétaire avait désactivé le repérage par GPS. Une lueur dans ce tableau très sombre : le dernier employé du stand de tir venait de se servir de sa carte bleue pour louer une chambre dans Sun Valley.
A l’annexe, Sam et Callen en sont informés, et demandent à Mara ce qu’elle sait de ce collègue. Encore un sacré numéro : bipolaire, il ne prend pas ses médicaments parce qu’il n’aime pas l’état dans lequel ils le mettent. Il peut donc passer du rire à la rage folle dans la même minute, ce qui, dans un magasin rempli d’armes, ne manquait pas d’effrayer la clientèle. Il gardait de sa formation de sniper une adresse au tir impressionnante, et faisait tout ce que son patron lui demandait ; y compris des trucs très vilains selon la rumeur. Au moment où les agents gagnent la porte, Mara ajoute qu’elle aimait bien Renko, si différent des autres.
Au motel, le gérant dresse lui aussi le portrait d’un client complètement taré. Comme il est dans une chambre avec fenêtre, G envoie Kensi et Deeks surveiller la cour, le type pouvant avoir l’idée de sauter, même du 2ème étage. Deeks est justement en train de confier qu’il n’est jamais venu là – que ce soit pour une opération sous couverture ou sous les couvertures (lesquelles étant beaucoup plus fun pour les parties impliquées). Kensi le fait taire, mais il a quand même réussi à lui tirer un sourire, ce dont elle le remercie.
Sam et Callen investissent la chambre : G remarque la fenêtre brisée, Sam le corps par terre, atteint d’une balle dans la tête…
Deeks et Kensi les rejoignent ; la jeune femme constate que la rigidité du corps indique une mort survenue juste après son entrée dans les lieux. Autrement dit, un sniper a descendu le sniper ayant tué Renko et le neveu, ce dernier ayant tué un employé…L’homme mort ici était instable, peut-être que son patron avait embauché quelqu’un pour qu’il se taise après ses forfaits. Sauf que Rich étant mort avant Renko, tout ceci n’avait guère de sens…
Au QG, Hetty, Granger, Nell et Eric sont dans le même état d’esprit. Si le début de l’histoire paraît cohérent – Rich envoie son neveu tuer un employé qu’il pense être un pourri- ensuite tout se trouble. Le neveu a sur son téléphone un message qui indique que le fruit gâté, c’est Renko. D’ailleurs le patron était prêt à le descendre avant l’intervention du NCIS. Or le neveu, puis Renko puis un employé-sniper ont été abattus par la même arme. Il faut donc croire que quelqu’un en veut au stand de tir. Compte tenu de l’activité de la famille, la liste doit être fournie.
Eric les interrompt : l’acheteur a donné un lieu et une heure pour la vente. Granger est catégorique : il faut aller au rendez-vous. Seulement, sans armes, l’affaire parait mal engagée…
Du coup, Sam, Callen, Deeks, Kensi et Mara se rendent au stand de tir. La comptable pense qu’il s’agit d’AR-15s, puisque deux douzaines de ces articles ont été vendus à divers individus (imaginaires) en 3 semaines, alors que la fréquence maximum habituelle est d’un par mois. En plus les reçus sont de la main de Rich, alors qu’elle ne l’a vu que deux fois derrière le comptoir depuis qu’elle travaille avec lui. Reste à les localiser. Les agents l’encouragent à se rappeler d’un fait inhabituel, d’une nouvelle construction, de maintenance…Mara se souvient qu’une des pistes de tir avait eu un problème quelconque, et que Rich en personne s’en était occupé, au lieu de laisser faire un de ses employés comme d’habitude. Les agents se précipitent…
Au QG, Granger se demande quelle manie d’Hetty est la plus légendaire, entre son obsession pour les thés exotiques et sa capacité à descendre les single malts…Elle se demande pourquoi il partait pour Washington. Il peut juste lui révéler un problème avec un de leurs agents, sans vouloir dire s’il s’agit d’un des siens. Elle soupire qu’il y a eu un temps où il le lui aurait dit. Il sourit : c’est bien loin – mais il regrette ce temps là. Elle n’en croit pas un mot !
Au stand de tir, Sam finit par mettre la main (enfin, le pied) sur les caisses dissimulées dans les bottes de paille.
Du coup ils se retrouvent à l’armurerie du QG où Nell les briefent en compagnie d’Hetty et Granger. Le rendez-vous doit se dérouler dans un vaste parking entouré de bâtiments. Hetty exige que des tireurs d’élite se postent sur les toits afin de prévenir toute nouvelle mort d’un de ses agents. Granger est réticent, il ne veut pas risquer de perdre son acheteur en lui mettant la puce à l’oreille, et puis ils ne savent pas s’il est aussi le sniper. Callen ironise : à cette minute, ils ne savent pas ce qu’ils ne savent pas- n’est-ce pas ? Granger cède quand Hetty ajoute que sinon, elle préfère tout annuler. Elle n’apprécie pas du tout que, Kensi ayant souligné qu’il est impossible de couvrir tous les angles, Sam réponde qu’ils doivent tenter leur chance- encore moins que Callen ajoute « comme Renko »…
Deeks et Kensi, armés, protégés par des gilets pare-balles, sont assis dans un fourgon derrière Sam et Callen. Sous le regard attentif des caméras du QG, ils se garent sur le parking. 3 individus viennent à leur rencontre. Jeunes, au look d’étudiants, ils serrent cordialement la main de Rich/Callen : ils vont donner un coup de main à transporter les caisses dès que Carlo aura ramené le camion : il est allé chercher des cafés. Hetty, dans la salle des OSP, résume alors la pensée de chacun : ils se sont fait avoir…
Un peu plus tard, menottés sur le parking, les jeunes essaient de réaliser ce qui leur est arrivé. Pour se faire un peu d’argent, ils ont proposé leurs services par petite annonce ; Carlo les a embauchés pour charger des caisses, et puis il est allé chercher les cafés. Ils comprennent maintenant qu’il s’agissait sans doute de drogue ! Or l’un d’eux s’est fait choper sur le campus en possession de marijuana, mais il a une ordonnance pour elle suite à divers troubles. En fait ce sont bien des étudiants sans histoire.
Au QG Eric et Nell se mettent à la recherche du camion de location de Carlo. Ils le trouvent stationné une demi-heure plus tôt non loin du parking. Le conducteur n’est pas reconnaissable. Callen qui a suivi par téléphone devient soucieux. Il veut savoir comment ont été touchées les personnes atteintes par le sniper : toutes d’une balle dans la mâchoire. Aussitôt des flashbacks s’enchaînent dans sa tête – l’homme qu’il a interrogé à l’hôpital, dont la bouche ne fonctionnait plus correctement, qui n’était soi-disant que le chauffeur de sa bande, qui lui a promis de le tuer…L’ordinateur d’Eric bipe : l’acheteur a rebranché le traqueur GPS de son téléphone. Granger soupire qu’ils ont de la chance mais G sait qu’il a fait ça volontairement pour qu’ils le trouvent ; Granger s’y perd ; Hetty lui souffle la réponse : le Caméléon !
Sam, G, Deeks et Kensi grimpent aussitôt dans le fourgon pour se rendre où l’homme les attend. Sam s’inquiète un peu pour son équipier mais G le rassure, il va bien. Ils sont entrés dans une carrière, le Caméléon les attend dans un espace dégagé, bras levés, souriant. Ils sortent, armés, s’approchent ; il tient un téléphone dans un des ses mains- ils exigent qu’il le pose, surtout quand il se met à sonner. Mais le Caméléon « doit » répondre. Il appuie sur la prise d’appel et une voix connue hurle « Callen » !! Le Caméléon leur montre une voiture garée au fond de l’esplanade ; effarés, ils se rendent compte que c’est Lauren Hunter qui appelle à l’aide. Elle a les mains liées au volant. Le Caméléon les nargue. Avec un dernier sourire en direction de G, il lance qu’il suppose qu’en fait il ne veut pas lui parler- son regard se charge de haine. Il raccroche…et la voiture se transforme en une boule de feu monstrueuse qui décolle et retombe sur le toit en un brasier gigantesque.
Au QG les visages reflètent toute l’horreur que chacun ressent – comme ceux des agents sur place qui sont paralysés une seconde par cet acte abject. Seul le Caméléon a retrouvé le sourire, il laisse tomber le téléphone, et les bras toujours bien haut, mains ouvertes, il se met à genoux devant les armes pointées sur lui…
---------------------------------- FIN DE LA 1ère PARTIE -------------------------------