Hetty est à la morgue, devant deux cadavres recouverts d’un drap blanc. Hunter apparait derrière elle, et Hetty parait heureuse d’entendre sa voix. Lauren est terriblement énervée de ce qui lui est arrivé. On comprend qu’Hetty l’a tirée d’un orphelinat quand elle avait 7 ans et qu’elles étaient vraiment proches ; qu’Hetty se noie dans un océan de culpabilité avec cette 4ème mort dans les rangs de ses agents (après Sullivan, Dom et Renko) ; qu’elle parle ainsi quelquefois aux esprits des personnes mortes…
Granger la rejoint, hors de lui parce que le Caméléon n’a pas voulu donner un seul mot d’explication. Il veut envoyer Callen prendre le relais. Hetty soupire, il prend ça comme une critique : elle pense que c’est une erreur ? Mais pour elle tout ça est une lamentable erreur…
Ainsi, à l’annexe, Callen s’est assis en face du Caméléon, Sam reste debout, appuyé contre le mur. L’homme ne répond à aucune question. G sait qu’il finira par lui parler puisque le fin mot de l’histoire se situe entre eux deux. Kensi les interrompt, ils doivent la suivre. Avant qu’ils aient franchi la porte, le Caméléon demande l’heure. Il est 6h10. Il ricane : dans exactement 6 heures, c’est lui qui sortira de cette pièce, et c’est Callen qui lui tiendra la porte…
Dans la salle d’observation, Granger, par vidéoconférence, briefe Callen et l’équipe : un agent du renseignement de la NSA, Kelvin Atley, a disparu depuis 6 semaines. L’agence a découvert depuis qu’il avait eu accès à un dossier ultraconfidentiel baptisé Cherokee. Or ceci est le nom d’une taupe occupant une fonction de haut rang en Iran, et ayant notamment accès au programme nucléaire du pays. Atley connaît tout de Cherokee, jusqu’à son vrai nom. Hunter a retrouvé sa piste à Paris grâce à une source anonyme, et l’a suivi à New-York 2 jours plus tôt. Ce tuyau pourrait provenir du Caméléon – et, même s’ils n’ont pas la certitude qu’il détenait Kelvin, il faut absolument s’en assurer et retrouver l’agent du NSA afin de sauver Cherokee. Le lien avec Renko n’est pas établi : peut-être simplement le moyen d’attirer l’attention du NCIS...
Du coup, c’est un Callen beaucoup plus combatif qui retourne à l’assaut du Caméléon, en lui jetant le nom d’Atley. Mais le type choisit de commencer par les Mayfield, avec lesquels il avait un arriéré ; il voulait les piéger, suffisamment pour que Renko y fourre son nez – le but étant que Rich découvre qu’il était du NCIS. Comme cela ne s’est pas fait, il a envoyé le texto dénonciateur. Le fait d’abattre Mike était son 1er coup- contré par G qui est parti sur sa trace ; son 2ème coup, la mort d’Hunter- le contre, l’arrestation. Callen hésite à comprendre, le Caméléon lui explique qu’ils sont en train de jouer une partie d’échecs à l’aveugle (celui qui ne voit rien étant l’agent du NCIS, bien sûr) ; c’est à lui de jouer : il écrit le nom d’un hébergeur de dossiers sur le net – et lui donne le mot de passe, « Muley Hassan ».
De nouveau dans la pièce d’à côté, la liaison avec la salle des OSP permet à Eric d’accéder au dossier. Au passage, on apprend que « Muley Hassan » est le dernier émir de Grenade (XV ème siècle), éminent joueur d’échecs – particulièrement cruel aussi puisque ses pions étaient des prisonniers vivants, et qu’un pion capturé avait aussitôt la tête tranchée...
Le dossier stocké est en fait une vidéo. Hunter, assise dans un fauteuil, a les mains liées. Elle s’excuse d’avoir bousillé l’affaire. La voix du Caméléon lui ordonne de suivre ses ordres : elle leur révèle alors qu’il s’appelle Marcel Janvier, qu’il est français, né à Lyon. Il détient Atley et réclame 50 millions de dollars versables au plus tard à midi ce jour même; sinon il le vendra au plus offrant. Hunter ajoute précipitamment des mots en une langue inconnue, avant d’être violemment giflée par le Caméléon qui coupe la vidéo. Hetty a eu le temps de comprendre, ce sont des chiffres, comme un numéro de téléphone. Lauren a parlé en Rom.
Voilà donc ce qui rend Marcel Janvier si confiant : il veut être échangé contre Atley, et il est persuadé que le NCIS n’a aucune autre alternative...
Eric a vérifié, les chiffres correspondent à un téléphone portable brulé, activé 3 jours plus tôt. Peut-être une piste à remonter lors de son achat... G s’inquiète : ils ne vont quand même pas laisser partir un type comme lui ? Hetty s’y refuse aussi mais Granger leur rappelle que ce genre de décision ne leur appartient pas. G marmonne alors que parfois il déteste vraiment cet homme – Sam s’étonne du « parfois » !
Retournés dans la salle d’interrogatoire, les 2 équipiers se frottent encore au Caméléon. Comment a-t-il pu mettre la main sur Atley ? De la même manière que pour Renko, Hunter ou même Callen : tout le monde a un point faible. Quel était celui d’Atley ? Janvier évite de répondre, il tente de déstabiliser G en lui disant que si, à cet instant, il est certain de ne pas l’échanger, c’est parce qu’il est lié émotionnellement à ses collègues décédés ; mais ceux qui prendront l’ultime décision n’auront pas ce genre d’attaches...Callen noie le poisson en analysant avec Sam qui aurait le plus « envie » d’acheter Atley, entre les chinois, les israéliens et les iraniens. Ceux-ci étant largement vainqueurs. Puis il repose la question du point faible d’Atley. Janvier répond qu’il l’a fait chanter pour rapports sexuels avec une fille mineure, en lui faisant miroiter une association. G se lève pour clore la discussion : Kevin est gay – ce qu’il a tu à la NSA mais se trouve dans son dossier personnel. Le Caméléon apprécie : G entre dans la partie...
Au QG, dans la salle des OSP, Hetty reproche à Granger d’avoir gardé pour lui ses infos, ce qui a conduit à cette tragédie. Le sous-directeur s’offusque : qu’elle pense qu’en s’en mêlant elle aurait modifié le cours des choses, est révélateur d’un égo hypertrophié, son point faible...Eric les interrompt : le téléphone a été activé et il a ses coordonnées GPS, un entrepôt abandonné. Prévenu, G veut s’y précipiter avec les autres, parce qu’ils n’ont pas vraiment le choix, ils se doivent de vérifier. Granger l’arrête, il faut accentuer la pression sur Janvier. Callen est furieux et ouvre la bouche pour protester, mais l’autre gronde de ne pas le tester. L’agent le fusille du regard. Puis Granger se tourne vers Hetty : est-ce qu’elle a encore autre chose sur l’estomac ? L’air pincée, celle-ci tourne les talons. G regarde le Caméléon sur l’écran – celui-ci lève les yeux vers la caméra et sourit, comme s’il avait senti ce regard...
L’entrepôt est un vaste bâtiment isolé qui donne des frissons à Kensi comme à Sam.
Janvier nargue G : il l’a déjà laissé partir une fois – sans savoir à l’époque qui il était. Maintenant, il le sait mais devra quand même encore le laisser partir...G jure que non.
Sam passe par l’arrière, Kensi et Deeks entrent dans la partie principale des lieux. Le QG est en liaison son et vidéo.
G demande des nouvelles de sa blessure à Janvier – surtout pour lui faire remarquer qu’il a fait une erreur le jour où il lui a tiré dessus. Le malfrat avoue avoir encore des maux de tête soulagés par l’air marin. Et qu’il ne fera plus aucune erreur...
Deeks repère le téléphone posé sur un bureau. Il se met à sonner. Sam apparaît au fond.
Au même moment, Janvier fait remarquer qu’il faut parfois sacrifier une pièce, et avant tout prévoir le coup suivant de son adversaire avant qu’il ne le joue. Le sang de G ne fait qu’un tour : il hurle à la caméra qu’il s’agit d’un piège, qu’il faut les sortir de là. Eric relaie aussitôt l’avertissement, et Kensi et Deeks courent aussi vite qu’ils le peuvent jusqu’à la porte. Ils l’atteignent quand les premières déflagrations pulvérisent l’autre partie du bâtiment. Ils n’ont pas le temps de s’éloigner, le souffle les envole quand dans leur dos tout explose.
Ils retombent lourdement, un peu groggys, sur le bitume du parking. Au QG, plus personne ne respire. Lentement, avec force grognements, Deeks relève la tête, rampe en direction de Kensi, qui à son tour donne signe de vie. Ils vont « bien ». Mais la jeune femme lance un cri : Sam ? L’angoisse l’étreint, aucune réponse. Ils se relèvent, marchent vers les ruines en feu, hurlant le prénom de l’agent manquant. Enfin un bruit de pas : Sam chancèle, il tousse, mais il est bien vivant ! Il tombe à genoux, pendant que les sirènes des secours approchent...
Callen, en proie à une rage froide, retourne dans la salle d’interrogatoire, empoigne le Caméléon, le colle contre le mur et lui met son flingue sous le nez. Il lui ordonne de prendre son flingue, de le butter lui. L’autre n’est pas dupe : dès qu’il aura l’arme en main, G aura le bon prétexte pour lui briser le cou en état de légitime défense. G rétorque qu’il n’a pas besoin de nouvelle excuse – alors Janvier enfonce le clou : les vies d’Hunter et Renko avaient donc moins de valeur que celles de ses collègues. G est prêt à appuyer sur la détente – le Caméléon le nargue encore : il tire, et c’est le méchant qui gagne. Callen hésite quand Hetty apparaît à la porte : elle lui dit de laisser tomber – et répète l’ordre puisqu’il fait la sourde oreille. Il obéit et quitte la pièce. Hetty se tourne vers Janvier : il parle Rom, c’est ça ? Il lui répond dans cette langue ; puis lui demande si quelqu’un a été tué. Il est déçu par la réponse...
Hetty rejoint alors son agent à côté – toujours très énervé, son arme à la main. Elle lui dit de la ranger avant qu’elle ne le prenne et aille flinguer elle-même ce salaud. Ils ont compris tous les deux que le Caméléon s’était débrouillé pour qu’Hunter découvre ce numéro de téléphone ; pour qu’elle pense qu’il était important ; pour les piéger...
Ils s’assoient face à face. Hetty a perdu 2 nouveaux agents – elle a conservé sa lettre de démission...G lui demande à quel point Lauren était « spéciale » pour elle ; elle commence à dire qu’elle n’a pas de chouchou mais ça le fait rire : lui dire ça à lui après toutes ces années ! Hetty veut savoir si la jeune femme a vu la mort en face, si elle a eu peur...Il répond franchement. Elle soupire, elle l’a tirée d’un orphelinat 30 ans plus tôt...Ses derniers mots dans la vidéo, destinés à Hetty, ont été : je suis désolée. G sent alors la colère monter à nouveau en lui : jamais ils ne vont libérer ce type, c’est impossible. Sa chef le reprend : bien sûr que si, ils ne peuvent pas laisser un homme très courageux mourir à Téhéran, ils n’ont pas le choix. Le regard dur, G gronde qu’elle aurait dû le laisser l’abattre.
Pendant ce temps au QG Eric et Nell se penchent sur les vidéos des caméras de circulation juste au moment de l’explosion- et trouvent un SUV qui grille un feu rouge. Ils alertent aussitôt Sam, Deeks et Kensi, en train de se faire soigner pendant que les pompiers sont encore au travail sur le brasier. Avant qu’Eric ait pu finir le numéro de la plaque minéralogique du SUV, Deeks la complète : il a le véhicule sous les yeux ! Eric lance une recherche pour en connaître le propriétaire. Les agents notent deux types qui pourraient être autre chose que de simples badauds et s’approchent. Bingo : les deux hommes se sentent repérés, se mettent à courir jusqu’à leur voiture et démarrent sur les chapeaux de roues. Le temps pour les agents de se jeter dans leur propre SUV, la poursuite s’engage. Ils refont assez vite leur retard, et la chance leur sourit quand le fugitif s’engage dans une gare de triage. Bien vite, cela se révèle être un piège, les trains côte à côte ne laissant pas assez de place pour une grosse voiture. Le conducteur y laisse une aile et finit par stopper. Sam pile derrière, Deeks et Kensi jaillissent armes au poing. Sans opposer de résistance, les deux hommes sortent du SUV.
Seulement au QG Nell et Eric ouvrent des yeux ronds en découvrant le nom du propriétaire de leur véhicule. Sam n’en croit pas ses oreilles quand Eric lui dit qu’ils vont devoir laisser partir les types qu’ils sont en train de fouiller : ils font partie du Consulat israélien...
Sam a beau plaider le fait qu’on ne prend pas la fuite quand on n’a rien à se reprocher, Granger se montre inflexible au téléphone: les deux hommes doivent être immédiatement libérés. Deeks et Kensi fouillent le coffre du véhicule, qui contient notamment un appareil photo. Sam raccroche et se met à bluffer : les types vont être poursuivis pour tentative de meurtre sur des agents fédéraux. Les autres hurlent au scandale mais Sam n’en a rien à cirer : il y a déjà eu deux morts dans leur camp et eux ne veulent pas les tenir au courant de ce qui se passe ? Le voilà le vrai scandale. Bien sûr l’affaire n’ira pas jusqu’au procès, mais il faudra bien 3 ou 4 mois pour éclaircir les choses. Et il veillera à les faire patienter dans une petite place en enfer, comme Guantanamo...
L’un des israéliens craque : il ne savait absolument pas ce qui allait arriver, sinon ils les auraient prévenus ! Ils étaient là parce qu’ils cherchaient quelqu’un. Comme ils ne veulent pas en dire plus, Sam ordonne à Deeks de les menotter. Alors ils expliquent être sur la piste d’un français qu’ils ont vu pour la dernière fois la veille dans cet entrepôt avant de le perdre. Ils étaient revenus pour mettre les lieux sous surveillance, dans l’espoir de le retrouver. Cette fois Sam les laisse partir. Les types se montrent arrogants, mais n’ont pas vus la très belle manœuvre de Deeks : il a subtilisé la carte mémoire de l’appareil photo – comme l’avait espéré Sam.
Et celle-ci révèle bientôt des clichés intéressants sur le grand écran du QG. Une rencontre sur la jetée de Santa Monica entre le Caméléon et un homme mystérieux. Granger préfère ignorer comment ils ont mis la main dessus. Callen est en visioconférence depuis l’annexe avec eux. Il y a 6 hommes avec Janvier, qui a constitué une nouvelle équipe autour de lui. Les trouver, c’est mettre la main sur Atley. Eric a une idée pour mettre un nom sur le contact dont le visage n’apparaît jamais : se servir de toutes les photos prises ce jour là à cette heure là par la foule de touristes présents, et mises en ligne depuis. Nell se charge de retrouver l’équipe avec le kaléidoscope : les gangsters ont plusieurs véhicules, il sera plus facile de chercher un groupe de voitures stationnées ensemble. Et Callen dit de commencer par le bord de mer, suite aux confidences du Caméléon qui s’y s’en mieux...
Il retourne en salle d’interrogatoire. Janvier se penche vers lui : il veut connaître son prénom ? Bien sûr il n’en sait rien, et ça le fait rire, cette obsession d’un nom, quand lui en a eu tellement ! Il menace, il nargue, et met en garde l’agent sur le peu de coups qui lui restent dans cette partie...
Nell a trouvé : les 3 véhicules du gang sont garés dans le parking d’une résidence. Branle-bas de combat pour l’équipe, à laquelle cette fois G se joint.
Le concierge a reconnu Atley, et les membres de l’équipe sont dans leur appartement du 18ème étage. En guise de clé, Deeks explosent les gongs et la serrure de la porte au fusil à pompe : elle s’écrase à l’intérieur et ils se ruent en avant. Mais il n’y a que des cadavres – et pas celui d’Atley. Il a été emmené ailleurs. Dans la chambre, de grandes lettres rouges sur le mur : « échec » !! Le visage de G indique qu’il reçoit le message 5/5...
Du côté du QG les Geeks ont fait un travail de fourmis qui commence à payer : plus de 100 photos de touristes et un logiciel qui recrée un panorama de la jetée finissent par livrer un visage : il n’y a plus qu’à lancer la reconnaissance faciale. Pas étonnant qu’Eric se sente l’âme d’un héros.
Granger et Hetty sont dans la salle d’observation de l’annexe. Visiblement, le sous-directeur se fait souffler dans les bronches par le ministère des affaires extérieures ; il encaisse et dit tout ignorer d’une carte mémoire d’appareil photo qui aurait disparu...Cela fait sourire Hetty. Ni l’un ni l’autre n’ont souvenir d’un type aussi abject que le Caméléon. Le diable en personne pour Granger ; Hetty est plus directe : ce type est beaucoup de chose, sauf ce qui lui irait vraiment : mort !
Les agents entrent, et ce qu’ils craignaient se dessinent aussitôt : le compte à rebours est terminé, il faut donner au Caméléon ce qu’il réclame et récupérer Atley. Quel que soit leur sentiment vis-à-vis de ça. Callen s’insurge que Renko et Hunter soient morts pour rien, mais pour Granger, ils ont permis de sauvegarder la vie d’un homme qui à cette minute est le seul rempart entre les USA et une nouvelle guerre au Moyen-Orient.
Eric les interrompt : l’homme qui a rencontré Janvier à Santa Monica est un homme d’affaires iranien considéré comme proche des services des renseignements de son pays. Autrement dit, peut-être que ceux-ci ont déjà en main le nom de Cherokee, peut-être même qu’il est déjà torturé là-bas, voire déjà mort ! Le Caméléon pourrait avoir vendu l’info aux iraniens, et ensuite vendre Atley aux USA. Hetty charge Eric de vérifier les comptes de Janvier. Mais Granger ne peut plus attendre. Malgré Callen qui explose de colère, il se rend près du Caméléon. Hetty ne peut que murmurer qu’elle est désolée.
Granger tend à Janvier les preuves du virement des 50 millions de dollars et la promesse d’échapper à toute poursuite. Le type réclame un téléphone – que Granger lui jette, et à Callen un verre d’eau – qu’il demande au planton d’apporter. En français, Janvier reçoit confirmation du paiement, et en anglais ordonne de faire amener Atley. Puis il sort la carte SIM du téléphone, la plie et la jette dans le verre d’eau. Il se lève et toise G : c’est à lui de jouer, cette fois...
Kensi est au volant d’un fourgon, Deeks à ses côtés, Sam derrière elle, et au fond, le Caméléon avec G. Le QG suit de près le déplacement sur grand écran. Ils vont en centre ville, s’arrêtent sur une place. Ils découvrent le dernier piège de Janvier : une équipe de reporters d’une chaine d’infos « pour les forcer à respecter leurs paroles ». Atley est dans un véhicule de l’autre côté du square.
Sam envoie d’un signe de tête Deeks et Kensi le récupérer. Callen est décomposé, et son équipier s’inquiète. Atley est extirpé de la voiture, visiblement drogué. Au QG Eric a une autre mauvaise nouvelle : Janvier a reçu la veille un virement de 50 millions de dollars via une banque de Moscou ; l’émetteur était à Téhéran. Callen avait raison, mais il est trop tard pour reculer.
Sam sort à son tour, puis G et enfin Janvier, qui jouit de chaque seconde. Sam avance vers Deeks et Kensi qui sont obligés d’aider Atley à marcher, Callen se retourne vers le Caméléon. Il ne peut pas, il ne peut pas laisser faire ça. Il sort son arme. Sam lui hurle « non », le reporter braque aussitôt sa caméra sur la scène, qui devient publique sur tous les écrans de télés du pays. Janvier demande à G s’il veut vraiment le flinguer devant le monde entier. Une voiture de police en patrouille stoppe et les deux agents mettent en joue l’agent, lui demandant de baisser son arme. Du coup Kensi et Sam sortent leurs plaques, hurlent de ne pas tirer, que la situation est sous contrôle.
Callen hésite, et puis les images des meurtres de Renko et de Lauren viennent le hanter – il tire. 5 balles dans la poitrine de l’homme qui bascule en arrière sur le plancher du fourgon.
Puis une dernière balle à bout portant. Sam sent le sol se dérober sous lui ; mais il faut encore sauver G des policiers : il lui crie de jeter son arme, ce qu’il fait. Il se laisse menotter sans un mot, écoute ses droits, pendant que Kensi se penche sur le Caméléon et secoue la tête. Sam soupire...
Au QG, Hetty soupire aussi ; elle gagne son bureau, prend sa lettre de démission, change la date, et la glisse dans une enveloppe au nom de Granger. Avant de partir, elle contemple l’écran de télévision devant lequel de nombreux employés du NCIS sont assemblés.
Tous suivent en direct la fin de l’arrestation de l’agent Callen, menotté, et emmené dans une voiture de police. Il fixe la caméra ; son dernier regard est pour Hetty : « je suis désolé ». La vieille dame le reçoit en plein cœur...
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