Rappel de la fin de saison 3 :
Le Caméléon tient son téléphone en l’air pendant que dans une voiture un peu plus loin Lauren Hunter hurle pour demander de l’aide ; Janvier appuie sur une touche et dans un fracas abominable le véhicule explose, ne laissant aucune chance à son occupante.
Ce fameux Janvier détient Atley, sur lequel le NCIS doit absolument remettre la main avant qu’il ne compromette un agent du nom de code Cherokee au rôle crucial en Iran.
Janvier s’est débrouillé pour se faire arrêter par Callen afin d’entamer avec lui une partie d’échec à l’aveugle –jusqu’à ce que l’agence n’ait d’autre choix que de verser 50 millions de dollars au Caméléon et de l’échanger contre Atley.
Le NCIS s’aperçoit trop tard que Janvier avait d’abord vendu les infos d’Atley à Vaziri, un iranien à la fois homme d’affaires et espion.
Callen, qui ne supporte pas l’idée que le meurtrier de Renko et Hunter puisse s’en tirer aussi bien, commet l’irréparable : il abat Janvier publiquement. Il est arrêté par des policiers pendant qu’Hetty remet sa démission à Granger.
Callen sort d’un bâtiment de la police ; Sam l’attend, avec de mauvaises nouvelles : il est suspendu ; et Hetty est partie. Ils ont de la compagnie de l’autre côté de la rue : Vaziri et ses hommes, dans deux véhicules différents. Mais G s’en moque, et reproche à son équipier d’être venu. Ils échangent des mots peu amènes, avant que G hurle à Sam de lui lâcher les baskets!
Il monte dans un taxi et se fait conduire à Venice- aussitôt pris en filature par les hommes de Vaziri. Sam traverse et s’approche de l’iranien : il le menace, lui dit de laisser Callen tranquille ; et se débarrasse d’un seul mouvement des deux types armés qui protégeaient leur chef. Il vide les chargeurs, et s’éloigne tranquillement. Les iraniens sont prévenus…
Au QG, Eric a mis sur écran, en bas, une vidéo appelée « un flic abat un homme sur LiveTV » ; les visages des agents sont floutés mais il y a 34 secondes de l’arrestation de G. Les grandes chaines de télé ont accepté de ne pas diffuser le document au nom de la sécurité nationale et Eric efface les copies au fur et à mesure de leur apparition sur internet, mais il est vite dépassé. Il ne lui reste qu’à mettre au point un programme-tueur ; la nouvelle de la démission d’Hetty s’est répandue comme une trainée de poudre : la moitié des policiers de LA sont déjà au courant.
Granger est assis au bureau d’Hetty ; Sam le rejoint et attend qu’il termine sa conversation téléphonique. Manifestement, Vance est mis sous pression par la CIA, qui veut récupérer son traitre, et tente de convaincre l’Iran que Cherokee n’est pas un espion ; ils savent que Vaziri a été prié d’obtenir une certitude. Et le directeur aimerait vraiment savoir pourquoi un de ses agents a abattu un homme désarmé sous l’œil d’une caméra.
Granger répète tout ça à Sam – la CIA les rend responsable de tout et veut la tête de G au bout d’une pique – s’ils ne l’obtiennent pas, le secrétaire d’état va dissoudre leur unité – et Granger ne sait pas s’il va pouvoir les retenir bien longtemps…
Atley est à l’annexe, interrogé par Kensi et Deeks. Ceux-ci le menace de le remettre à la CIA, ce qui le décide à parler : il a donné le vrai nom de Cherokee aux iraniens, mais pas « le dossier » qu’il a mis en sécurité, et qui représente son assurance-vie : la copie de toutes les communications cryptées entre Cherokee et Langley, qui prouvent qu’il est un espion, et la liste de tous les contacts des Etats-Unis là-bas. Une vraie grenade dégoupillée, dont les iraniens connaissent l’existence, actuellement au fond d’un coffre de banque.
Hetty est sur un Yacht magnifique (le Lady H.), où deux hommes à l’avant sont en train de plier une voile. Granger la rejoint ; il la met en garde : les iraniens sont dans tous leurs états, inquiets d’avoir été leurré par Atley, inquiet de ne pas avoir le bon espion- ce que la CIA bien sûr les encourage à croire. Vaziri veut obtenir une confirmation, ce qui pourrait mettre Hetty en danger. Mais la vieille femme le jette : le merdier actuel, ils en sont tous responsables, lui compris puisqu’il n’a peut-être pas fait suivre sa lettre de démission ! Il essaie en vain d’insister et doit battre en retraite toute la scène a été photographiée à distance par un homme armé…
Un homme sur la plage de Venice surfe une vague et sort de l’eau : c’est Callen, qui retourne à ses affaires posées sur le sable, où Vaziri lui tend sa serviette. Accompagné de deux gardes du corps, l’iranien tente de sonder l’agent, qui n’a rien à lui dire. Mais l’homme est patient : il suffit de trouver son point faible…Du haut de la jetée, Sam observe.
Kensi, Deeks, Granger et Sam sont réunis autour de Nell et Eric dans la salle des OPS. La banque où le dossier d’Atley est au coffre est sous surveillance des iraniens : ils sont prêts à le prendre des mains de quiconque ayant la clé. Granger soupire : ils ont intérêt à récupérer ce fichu dossier en premier sinon…Eric s’inquiète : sinon quoi ? Mais le directeur assistant charge Kensi et Deeks de mettre au point un plan, et de le tenir au courant. Il sort, et comme Eric repose sa question, Deeks le met au courant : sinon, ils devront tous se chercher un nouveau travail…
Hetty revient sur la terre ferme où 3 iraniens l’attendent. L’un d’eux la salue par son prénom – et elle le reconnait : Hosein Khadem. Un type prétendument mort. Arrêté pendant la révolution, il avait « reconnu ses erreurs » et était devenu un fervent partisan des Ayatollahs. Et à la minute même il aimerait bien parler avec Hetty de l’ex agent Callen. Mais elle refuse l’invitation. Sans insister, il repart avec ses comparses. Hetty soupire de soulagement : elle serrait une arme prête à l’emploi dans la poche de sa veste.
Elle dit à Sam qu’il peut se montrer ! Celui-ci aussi était armé. Il constate qu’ils lui ont envoyé une vieille connaissance, elle rétorque qu’elle aurait dû le flinguer il y a des années ; elle ne lui a jamais fait confiance. Par contre elle se fait confiance pour se prendre en charge, comme elle le dit à l’ex-SEAL. Sam lui donne les dernières nouvelles, qu’elle avait déjà anticipées. Elle le renvoie : G et elle se débrouilleront tous seuls – avec un peu de chance, quand chacun est rattrapé par ce genre d’histoires, c’est un autre qui meurt et on peut s’en sortir…Pour la joindre, il suffira de regarder dans le bar le plus proche.
Et c’est effectivement dans un bar qu’elle entre un peu plus tard. Elle rejoint Callen qui n’a pas l’air plus content que ça de la voir. D’autant que Vaziri et Khadem sont dans son sillage. Elle lui parle de la visite de son vieil ennemi. Elle l’a connu avant la révolution, il faisait partie de la SAVAK, la police militaire du Shah (formée par la CIA). Une nuit il a changé de bord ; d’allié il est devenu ennemi, trahissant une douzaines de types bien et leurs familles ; beaucoup d’entre eux étaient ses amis ; il est son propre Janvier – à ceci près que l’abattre de sang-froid serait un meurtre. Donc elle va attendre qu’il bouge le premier, elle n’a pas le choix. G s’insurge: lui, il a le choix, et ne voit pas d’inconvénient à ajouter la trahison à son curriculum vitae.
Il se lève et aborde Vaziri : s’il laisse Hetty tranquille, il lui donne ce qu’il veut. L’iranien réclame le dossier d’Atley, ce que bien sûr Callen ne peut pas lui donner. Alors Vaziri réclame la confirmation de l’identité de l’espion américain. G hésite, regarde Hetty et finalement donne le nom : Général Sanjar Esfahani. Vaziri parait content. G se tourne alors vers Khadem : il a intérêt à rester loin d’ « elle ». L’autre s’écrie que c’est évident, mais son sourire dément ses paroles. Ils quittent le bar, laissant Hetty inquiète…
Sam, Kensi et Deeks sont en plein entrainement au stand de tir du QG quand Granger et Nell les interrompent. La CIA ayant intercepté un appel entre Vaziri et Téhéran disant que l’identité de Cherokee a été confirmée par un agent du NCIS, l’agence lance un mandat d’arrêt sur Callen. Les autres protestent mais Granger a reçu l’ordre du Secrétaire d’Etat à la Marine en personne, donc il ne va pas y déroger. Leur seule manière d’aider G et leur unité serait de récupérer le dossier d’Atley, et de le remettre dans les bonnes mains. Ils n’auront droit qu’à une tentative. Il prend Sam à part : est-ce que leur plan va marcher ? Il paraît vraiment inquiet. Sam le rassure. Puis Granger dit à Nell de préparer un mandat – pour meurtre et trahison…
Et l’opération à la banque débute : Sam est dans un 4X4, garé près de la banque. Eric a mis sur grand écran les alentours, les iraniens sont là, une voiture stationne aux pieds des marches. Kensi est habillée très court, Deeks est en costume, une mallette à la main ; ils entrent séparément et s’installent à deux guichets voisins. Kensi a choisi une femme, et Deeks a pris quelques instants pour laisser à l’employé male d’à côté tout le loisir de se rincer un peu l’œil. Kensi joue une femme trompée cassante et bientôt hystérique qui veut absolument se faire ouvrir le coffre de son mari, dont elle n’a pas la procuration ni même la clé. Elle finit par renverser le contenu de son sac à main sur le comptoir, et plonge ramasser les objets ayant roulé à terre. En prenant soin de donner à l’employé qui s’occupe de Deeks un panorama parfait sur ses cuisses et ses fesses.
Du coup le jeune homme fasciné n’a pas le temps de vérifier la pièce d’identité de Deeks qui la lui reprend avant qu’il ne s’aperçoive qu’il n’est pas Atley. Comme il s’est dit pressé, l’employé le conduit immédiatement dans la salle des coffres. Deeks trouve une enveloppe avec une clé USB, qu’il met dans sa mallette. Il ressort de la banque au moment où Kensi se fait jeter dehors par la sécurité. Ils n’ont pas noté un homme au téléphone qui manifestement transmet l’info à l’extérieur.
Et les iraniens descendent de leur voiture pour intercepter les agents. Sam demande à Kensi et Deeks de les laisser approcher mais d’un second véhicule arrivé en trombe descendent de nouveaux hommes de Vaziri. Sam dit à la radio de partir sur le plan B, au grand déplaisir de Deeks qui se met pourtant à courir avec Kensi. Ils sont poursuivis par 3 types à pied, les autres remontent dans la voiture qui se lance aussi dans la poursuite. Sam démarre aussi, mais à l’opposé.
Kensi et Deeks se sont réfugiés dans le parking en sous-sol, et essuient les coups de feu des iraniens, y compris ceux d’une arme automatique. Deeks appelle Sam à l’aide ; il arrive très vite dans un crissement de pneus, et abat un homme. Il en force un autre à remonter dans sa voiture et à se crasher dans un véhicule garé. En même temps il hurle à Deeks et Kensi d’embarquer. Ceux-ci se précipitent, toujours sous le feu nourri de leurs assaillants. Mais Deeks trébuche et lâche la mallette qui glisse à découvert.
Sam lui crie de la laisser, il faut vraiment y aller. Et ils battent en retraite, laissant un sentiment amer au QG où sur l’écran ils ont suivi toute l’action et contemplent les iraniens ramasser la mallette…
De retour au QG, Deeks au téléphone demande à ses anciens collègues de ne pas trop faire de zèle sur le mandat d’arrêt (tout frais) qui vise Callen. Kensi apprend de Nell qu’ils ont perdu la trace du véhicule des iraniens. Deeks propose de faire la tournée des urgences puisqu’il est certain d’en avoir touché un. Granger les interrompt, il faut qu’ils montent dans la salle des OPS.
Il s’agit de ce qui se passe à Téhéran. Une heure après que Vaziri ait mis la main sur le dossier d’Atley, il y a eu un flot de communications à tous les niveaux, comme s’ils n’avaient pas aimé son contenu. Et il y a 30 mn Vaziri a reçu un mail codé, que la NSA est encore en train de décrypter. Granger demande à Eric d’y accéder, illégalement bien sûr. Et Sam rassemble le Farsi qui lui reste pour lire le texte au fur et à mesure du décryptage. C’est une demande de confirmation par tous les moyens possibles des informations contradictoires qu’ils ont reçues – à obtenir de Callen. Sam, Deeks et Kensi veulent se précipiter mais Granger leur ordonne sèchement d’attendre. Il fait essayer un coup de fil à G par Eric, mais son téléphone est mort. Granger parle alors doucement, gentiment, à Sam : le mail est arrivé depuis ½ heure : c’est trop tard. Sam opine tristement…
Effectivement, Callen a été amené dans un sous-sol, on enlève la cagoule qui lui cachait le visage. Il n’a pas le temps de parer le coup de poing qui le cueille près de l’œil. 2 hommes lui tiennent les bras. Vaziri est là : il veut savoir qui est l’espion de la CIA à Téhéran. Et fait frapper à nouveau G qui renâcle à se répéter. L’agent en perd le souffle, il est poussé sur une chaise. Il nomme alors le général ; Vaziri rétorque que celui-ci nie. G ricane, qui ne le ferait pas ! L’iranien veut savoir ce que Callen sait d’Atley – G lui répond : agent de la CIA qui a trahi son pays, vendu le nom de Cherokee à Janvier qui lui-même le leur a vendu. Et Cherokee est bien le général. Vaziri le refait frapper. Il sait qu’il ment, Téhéran sait qu’il ment. Il appelle Khadem au téléphone et lui demande de mettre en route sa caméra : il montre à G Hetty en train de lover un cordage sur son yacht ; il lui laisse une dernière chance de tout lui avouer. Callen jure que c’est la vérité. Vaziri ordonne à Khadem « tue la ». Callen hurle : attendez !!!
Complètement hors de lui, il supplie d’arrêter Khadem –et il dira tout. Vaziri a beaucoup de mal à convaincre Khadem d’attendre ; enfin il accepte de patienter. Dans le sous-sol, l’iranien gronde que G a intérêt à lui donner une version satisfaisante sinon Hetty mourra.
Callen avoue tout : il n’y a jamais eu d’espion. Toute l’opération montée par la CIA consistait à convaincre Téhéran qu’il y en avait un, et que c’était le général, l’homme que l’agence craint le plus en raison de sa loyauté envers les ayatollahs et les militaires. S’il était soupçonné d’espionnage, il serait exécuté. Il fallait donc convaincre Téhéran et avant tout Vaziri lui-même. En faisant passer l’information par Janvier, donc en la faisant payer très chère, elle devenait d’autant plus crédible.
Vaziri gifle Callen : tout n’est que mensonge, il l’a vu de ses yeux abattre Janvier. G a un dernier argument, un homme peut prouver tout ce qu’il vient de dire : Janvier !
Car celui-ci n’est pas mort : il avait été revêtu d’un gilet pare-balles, et quand Kensi a regardé son pouls, en fait elle lui a injecté un somnifère dans la cuisse. Et en ce moment il est extrait de l’annexe où il était détenu. Il part faire un tour avec Sam, Deeks et Kensi…
Vaziri cherche à comprendre pourquoi G aurait fait semblant de tuer le Caméléon. Il fallait faire croire aux iraniens qu’ils avaient à disposition un agent suspendu, avec une enquête sur le dos pour une vilaine affaire ; un homme aux abois, d’accès facile, et forcément plus prêt à se vendre…Callen ajoute que quelqu’un va devoir rendre des comptes à Téhéran pour tout ça. Si Vaziri veut éviter d’endosser le costume du responsable, il faut qu’il rende à sa hiérarchie les 50 millions de dollars déboursés…et l’homme qui les leur a fait débourser. Que Vaziri rappelle Khadem, qu’il se tienne pour toujours loin d’Hetty, et le NCIS lui donne Janvier ; en échange de Callen quand même…
A l’écart de la ville, dans l’enceinte d’un générateur électrique, Sam gare son van face à une voiture qui patiente. Ils descendent tous, Sam avance avec Janvier. Celui-ci se réjouit quand Sam lui dit qu’ils le laissent partir, et qu’il voit Callen descendre de la voiture. Son sourire s’évanouit quand Vaziri se montre. Il prend peur mais se rend bien compte qu’il vient de se faire avoir, et n’a plus le moindre moyen d’échapper à son destin. D’ailleurs, Callen lui glisse « échec et mat » quand ils se croisent. Janvier est embarqué par les iraniens qui repartent aussitôt.
Callen étreint brièvement Kensi, puis échange un regard avec Sam, qui lui rend son insigne et son arme…L’affaire est terminée.
Au QG Granger est en train de lire un dossier, assis au bureau d’Hetty. Elle arrive en souriant, mais lui dit sévèrement qu’elle espère qu’il n’a pas dérangé ses affaires ; il n’est pas si fou !!Elle tend la main, il soupire et tire une enveloppe de sa poche.
Il trouve qu’il suffirait de la réimprimer au-lieu de changer la date… Il se lève, elle s’assoit …et disparait avant de remonter son assise. Il se permet un sourire discret. Il se dispose à partir, elle le retient : ils pourraient faire un débriefing de l’affaire. Il accepte et prend place face à elle.
Il a de bonnes nouvelles : Cherokee a été libéré et a même obtenu une promotion au titre de dédommagement. En charge du contre-espionnage, sa principale mission va être de protéger Téhéran des espions étrangers. Quant à la CIA, heureuse d’avoir toujours un homme à elle proche du gouvernement en Iran, elle voudrait savoir quand ils ont monté ce plan et pourquoi elle n’y a pas été incluse.
Hetty sourit : quand Granger a hurlé qu’ils n’avaient plus le temps et pas d’autre plan, à l’annexe, avant d’échanger Janvier contre Atley, G avait murmuré qu’il devait bien y avoir quelque chose à tenter. Et Hetty était intervenu : peut-être que oui, mais alors cela impliquerait qu’elle devrait démissionner et lui, G, tirer sur Janvier…
Il faudra dire à la CIA qu’ils ont mis ça au point autour d’une tasse de thé !
Quant au fameux dossier d’Atley, quand Deeks était dans la salle des coffres, Eric a modifié un dossier dans la clé USB : le dossier Cherokee est devenu un manifeste de 2 pages de la CIA sur la manière de faire arrêter par les gouvernements étrangers de prétendus espions…Il fallait ensuite qu’il atterrisse dans les mains iraniennes. D’où la bévue de Deeks dans le garage…
Ils ont eu de la chance, mais comme dit Hetty la chance sourit aux braves.
G arrive à cet instant au QG. Il croise deux agents qui le saluent avec entrain. Un homme et une femme ; Callen réclame des menottes moins serrées la prochaine fois : les deux policiers qui l’ont interpelé juste après le « meurtre » de Janvier étaient en fait des agents du NCIS ! Qui trouvent qu’ils méritent un verre, ce que leur accorde bien volontiers G ! Il sourit à Hetty…
Celle-ci demande à Granger ce qu’il en est à son sujet. Eric ayant réussi à limite son exposition, il est opérationnel. Quant à Vaziri, ils vont attendre que la poussière retombe et s’occuper de son cas.
Granger se lève, mais tient à ajouter une chose : un corps a été repêché dans la Marina. Khadem. Tué par balles. Hetty fronce le sourcil. Granger n’a pas fini : pour lui il a été victime d’un désaccord avec Vaziri. Hetty retrouve le sourire : elle propose à Owen une tasse de thé….ou quelque chose de plus fort !
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