Rappel : Callen et Kensi sont allés chercher Marcel Janvier en Iran ; l’homme, qui a eu la main tranchée jointure par jointure par Vaziri, accepte de reprendre contact avec lui afin de le convaincre de se porter acquéreur des bombes nucléaires volées par Sidorov. En échange il réclame au NCIS que l’argent de la commission soit versé à sa fille de 16 ans qui vit à Paris, et à l’iranien la promesse de le laisser tranquille. Mais Janvier réussit à prévenir Sidorov que Sam, infiltré dans son équipe aux côtés de Quinn, est un agent spécial. Du coup Sam est torturé, avec Deeks qui l’a empêché de se noyer. Quinn est elle suspendue dans le vide, suite à une bagarre avec deux russes aux ordres de Sidorov. Kensi arrive à sa rescousse.
Kensi appelle Michelle, tout en forçant les russes à se mettre à l’abri de ses balles. Michelle hurle en réponse, toujours agrippée désespérément à son plastique. Elle commence à se hisser, lentement, pour regagner l’intérieur du bâtiment pendant que Kensi, aux prises aux 2 jeunes femmes, est en mauvaise posture : la blonde l’étrangle par derrière. Elle a réussi à éloigner son arme des mains de la brune, mais celle-ci a regagné du terrain en sa direction. Michelle, dans un dernier effort désespéré, regagne l’étage juste à temps pour donner un coup de pied dedans ; avant de faire de même dans la jeune femme et de la saisir par derrière avec du plastique. Elle serre, l’étrangle…Du coup Maya prend ses jambes à son coup, libérant Kensi qui reprend difficilement son souffle mais se lance à sa poursuite. Michelle achève son adversaire avant de la suivre.
Maya a pris l’ascenseur, la porte s’est refermée avant que Kensi puisse y pénétrer. Elle dévale donc l’escalier, arrive dehors à temps pour voir Maya filer sur sa moto. Elle enfourche la sienne et la poursuite s’engage. Maya en voulant éviter une voiture qui débouche de sa droite donne un coup de guidon sur la gauche, et ne peut éviter une voiture en stationnement : elle s’envole par-dessus sa moto qui heurte l’obstacle et roule sur la chaussée. Elle grogne, semble incapable de se relever. Kensi se précipite à ses côtés. Elle demande à Hetty de lui envoyer une ambulance…
GÉNÉRIQUE
Dans une ambulance qui file dans les rues, Maya est immobilisée dans une coquille. Kensi se fait rabrouer quand elle dit à la russe qu’elle va passer le reste de sa vie en prison, sauf si elle lui dit où trouver Sidorov. Le rapport de l’infirmier à l’hôpital est alarmant ; on lui demande de vérifier s’il y a des signes d’atteinte de la moelle épinière. C’est son collègue qui s’en charge- il n’est autre que Granger ! Celui-ci prend une aiguille et fait semblant de l’enfoncer dans le pied de Maya ; qui forcément ne sent rien. Il recommence, toujours sans enfoncer l’aiguille, mais en demandant encore si la jeune femme sent quelque chose…Celle-ci s’inquiète, lui demande si elle est paralysée. Pour toute réponse il lui dit qu’il faut l’emmener d’urgence à l’hôpital – puis il donne des indications à l’hôpital qui finissent d’affoler Maya. Mais Kensi sort son arme et menace les ambulanciers : elle leur ordonne de s’arrêter.
Ils obéissent sous la contrainte mais protestent : la jeune femme va rester paralysée si elle n’est pas soignée très rapidement. Kensi est déterminée : il y a la vie de deux agents fédéraux en balance : elle veut l’adresse de Sidorov, sinon, ils resteront là, et Maya passera le reste de sa vie dans un fauteuil roulant. La russe craque et lui apprend ce qu’elle veut savoir.
Dans les OPS, Eric et Nell se mettent aussitôt au travail. Il y a bien une carrosserie à l’endroit indiquée- et la voiture de Sidorov est garée à l’arrière.
Du coup dans l’ambulance, Granger tord le pied de Maya en lui disant que la bonne nouvelle, c’est que tout ira bien pour elle. Elle est soulagée malgré la douleur : elle a très bien senti ça ! Granger ajoute que la mauvaise nouvelle, c’est qu’elle va aller en prison. Et là, Maya comprend qu’elle s’est fait avoir…
Dans les OPS, Hetty appelle Callen pour lui dire qu’ils ont localisé Sidorov. G, qui attendait dans la salle d’observation de l’annexe, se dirige alors dans la salle d’interrogatoire et lance un téléphone à Janvier : il faut qu’il finisse leur affaire. L’autre ricane : sinon quoi ? Il va encore le frapper ? Et puis, s’ils le libèrent, cela lui donne une nouvelle chance de s’échapper. G le prévient qu’il sera en laisse, et lui ordonne d’appeler Sidorov puis Vaziri et de mettre au point une rencontre. Janvier s’exécute, et pendant que la ligne sonne, il demande innocemment s’ils ont déjà retrouvé le corps de Sam…
Plus tard, dans un parc, Janvier marche, surveillé de loin par Callen dans sa voiture. Il vérifie que G le suit à la trace en lui lançant encore des piques. Callen reste calme, mais lui rappelle que le spray de localisation ne s’enlève pas. Il repère Vaziri et un des ses hommes avec Sidorov et Andros. Il presse Janvier de les rejoindre, appelle Kensi et lui dit un seul mot : « Go ! ».
Granger et Kensi investissent la carrosserie – se précipitent vers Sam et Deeks toujours chacun sur leur chaise. Kensi appelle Deeks, qui reprend ses esprits, et la supplie de l’emmener loin de là. Granger a plus de mal à réveiller Sam. Kensi a la voix brisée quand elle explique à Deeks qu’il va devoir rester encore un peu ici.
G appelle Kensi : le meeting se termine, les hommes se séparent.
A l’arrière de la carrosserie, Michelle attend Sidorov (et Andros) – arme au poing. Elle lui reproche de lui avoir envoyé des Barbies – elle déteste les Barbies ! Enfant, elle avait l’habitude de leur arracher la tête. Sidorov fronce les sourcils : comment l’a-t-elle trouvé ? Quinn lui explique qu’une des Barbies lui a donné cette adresse- juste avant qu’elle lui arrache la tête ! Et elle réclame une explication. Sidorov lui jette à la tête que son copain est un agent fédéral. Quinn feint la surprise, puis l’incrédulité. Ce n’est pas possible. Elle baisse son arme, suit les hommes à l’intérieur. Elle raconte qu’elle a vu une fois Deeks à l’extérieur d’un hôtel où ils résidaient ; elle l’avait pris pour un flic. Sidorov lui annonce qu’il est le contact de son homme, ils ne savent pas de quelle agence ; ils voulaient être certains qu’ils pouvaient lui faire confiance. Michelle s’approche de Sam, exige la vérité. Il marmonne qu’elle a exécuté un membre du congrès, qu’il est du FBI…Deeks leur propose de partir en les laissant là – Sam ajoute que tuer des agents fédéraux revient à signer son arrêt de mort. Mais Quinn lui envoie deux balles dans la poitrine. Deeks s’exclame, il reçoit à son tour deux projectiles et s’écroule. Michelle se tourne vers Sidorov : il a intérêt à se rappeler que Sam aussi lui a dit qu’il l’aimait. Puis elle les entraine vers la sortie : il est temps d’aller se faire un peu d’argent…
Kensi et Granger reviennent aussitôt à la carrosserie avec une équipe de premier secours qui s’affaire très vite autour de Sam et Deeks. L’état de celui-ci va nécessiter de la chirurgie buccale, avec une possible fracture d’une mandibule et de nombreuses dents abîmées. Sam essaie déjà de se lever : il interpelle Deeks, il veut savoir s’il a donné Michelle. Il insiste quand Marty répond par la négative, est-ce que Sidorov était seulement en train de la manipuler ? Mais Deeks ne peut que répéter qu’il n’a pas donné sa femme. Forcé de se rasseoir, Sam murmure un merci sorti du fond du cœur…
Les deux hommes sont amenés à l’hôpital dans la même salle. Deeks refuse absolument d’ouvrir la bouche quand le médecin le lui demande. Au point que celui-ci envisage de lui donner un sédatif. Sam intervient, il a juste besoin d’un peu de temps. Kensi prend la main de Marty, le supplie de se laisser faire. Deeks garde la tête tournée vers Sam, sans la regarder. Granger ordonne à Kensi de le suivre, ils ont du travail. Elle soupire profondément, et obéit…
Granger et Kensi rejoignent Callen dans sa voiture, près du centre commercial qui doit servir de lieu d’échange. Janvier est sur le parking supérieur, Vaziri et Sidorov sont en retard. Ils ont peut-être été mis au courant du piège : lors de la rencontre précédente, G n’avait pas pu tout entendre. L’agent spécial demande des nouvelles - il se reproche ce qui vient d’arriver. Granger lui dit que c’était le prix à payer pour l’accomplissement de la mission. G réplique qu’il est trop élevé. Mais les chiffres plaident en faveur de la vie de centaines de personnes contre celle de deux agents. Cela tourne en boucle dans l’esprit des deux hommes.
Finalement vendeur et acheteur arrivent. G annonce que dès qu’ils entendent où sont les bombes, ils interviennent et tout sera terminé. Granger ajoute que du point de vue professionnel ces hommes sont tous armés et dangereux, ils doivent agir avec d’extrêmes précautions, mais que de son avis personnel, aucun d’entre eux n’a besoin de passer un jour de plus sur terre.
Vaziri a amené l’or ; Sidorov prend le temps de recompter. L’iranien lui fait remarquer qu’il n’a aucun intérêt à l’arnaquer dans la mesure où ce n’est pas cher payé pour faire de son pays une puissance nucléaire. Sidorov donne 2 millions de dollars à Janvier en bons du trésor hollandais – impossible à tracer.
Personne ne mentionne les bombes, ce qui rend les agents très nerveux.
Vaziri ricane : c’est dommage que Janvier ne puisse pas se payer une nouvelle main avec son argent. Quand l’autre lui dit « rendez-vous en enfer » il réplique « peut-être avant ». Janvier grimace : il avait promis que l’Iran le laisserait tranquille. Vaziri le tranquillise : il ne revient jamais sur sa parole. Sauf que son regard exprime l’inverse...
L’iranien reçoit un appel – il se tourne vers les autres : le matériel a été vérifié et est en route pour le bateau. Dans la voiture, c’est la consternation : ils ne peuvent pas intervenir, il faut d’abord retrouver les bombes qui vont donc être chargées quelque part sur un navire. Ils doivent se séparer : Granger prend Vaziri, Kensi, Michelle et Sidorov ; G presse Nell et Eric de retrouver d’urgence ce bateau.
C’est l’effervescence dans les OPS. L’Iran utilise des navires sous pavillon de complaisance pour contourner l’embargo, inutile de chercher une immatriculation nationale. Nell et Eric essaient donc de voir si un gros camion vu près de la carrosserie peut être repéré aussi près d’un quai- de n’importe quel quai de n’importe quel port…
Dans le même temps, Eric se rend compte que Janvier ne se dirige pas vers la voiture de G mais est entré dans le centre commercial.
Il a toujours la signature Overwatch, et comme le centre est éclairé par de la lumière naturelle, Eric le voit aller vers la sortie nord. G se lance à sa poursuite. Janvier descend, se rend dans une zone de maintenance interdite au public. Eric perd le signal Overwatch, heureusement, il lui reste la caméra-bouton. G a toujours un tour de retard, mais suit les indications que lui donne Eric, qui blêmit : Janvier s’est approché d’un employé qui se changeait dans un vestiaire, il attrape un cutter posé sur un carton et lui tranche la gorge. Il s’empare de son badge et de son téléphone, se plante devant un miroir – et enlève sa veste. Nell et Eric ont perdu tout contact. Mais l’homme va forcément refaire surface, il est dans une impasse.
Finalement le signal réapparait sur l’écran d’Eric. Nell repère Janvier habillé en employé du centre commercial au volant d’un petit tracteur qui tire une remorque de sacs poubelle. G se précipite, le jette à terre en le menaçant de son arme – mais ce n’est pas Janvier ! Pourtant Eric est formel : le spray le positionne juste en face de G. Celui-ci se met à fouiller entre les sacs poubelles et se fige : il a trouvé quelque chose qui ressemble à de la peau…Oui, c’est bien un morceau de peau. Janvier a enlevé la signature Overwatch – il est maintenant impossible à pister !
A l’hôpital, Sam ouvre les yeux et aux prix de gros efforts attrape le téléphone. Il appelle Hetty pour savoir où est Michelle. Quand il apprend qu’elle est avec Sidorov, il ne comprend pas : elle aurait dû être sortie de la mission. Mais Hetty lui explique que les bombes sont sur un bateau sans doute pour l’Iran, et qu’ils ne savent pas lequel – peut-être que le russe laissera échapper un indice. Elle se fâche quand il demande où ils sont : il a été sévèrement blessé, elle lui ordonne de rester à l’hôpital. Il grogne pour toute réponse avant de raccrocher. Hetty soupire et joint Kensi : pas question de dire à Sam qu’elle se trouve devant un hôtel où séjournent Sidorov et Michelle…
Au même moment G entre dans les OPS. Malheureusement, Nell et Eric n’ont rien de neuf sur le navire – il faut dire qu’avec 8 millions de containers qui y transitent chaque année, le port de Los Angeles est le plus important du pays. Sans compter le port de Long Beach. Granger est toujours sur les talons de Vaziri – mais inutile de l’arrêter, avec son passeport diplomatique, il serait libéré très vite ; et il ne faut pas s’attendre à ce qu’il admette avoir acheté des engins nucléaires. Quant à Janvier, il a quitté le centre commercial à pied puis a disparu. Un mandat d’arrêt a été délivré et les frontières et aéroports sont surveillés. Hetty s’inquiète de ce qui paraît être une obsession, il vaut mieux se concentrer sur les bombes. Mais G a une bonne raison de vouloir retrouver le français : il ne vit que pour sa vengeance, et représente une menace pour lui comme pour tout agent qui lui est proche…
A l’hôpital, Deeks est allongé, les yeux perdus dans le vague. Il renifle, quand la porte s’ouvre : Sam entre, il veut lui dire qu’il lui doit une reconnaissance infinie pour ce qu’il a fait. Deeks évite son regard. Sam n’insiste pas, il se dirige vers la porte quand Marty murmure qu’il pense en avoir fini avec le métier de flic. Sam réplique que ce serait une énorme erreur : il est un super flic ; il sera un super agent. Deeks soupire ; il lutte contre les larmes. Il n’aurait jamais cru entendre ça de la part de Sam. Celui-ci s’excuse ; c’était une erreur qu’il ne refera jamais. Ils échangent un long regard, puis Sam s’en va. Deeks, les larmes aux yeux, secoue la tête…
Sidorov sert un verre de grand vin à Michelle. Ils s’embrassent – la jeune femme en profite pour lui subtiliser son téléphone, et prétexte un besoin urgent d’aller à la salle de bain. Elle s’y enferme en composant un numéro en toute hâte.
Dans la salle des OPS, Eric répond au téléphone – personne ne parle, mais l’appel provient de l’Hôtel où sont Kensi et Michelle. Celle-ci tape à toute vitesse un message qui s’affiche sur l’ordinateur d’Eric : « téléphone de Sidorov, faites vite ». Hetty comprend aussitôt et ordonne à Eric de tirer au plus vite tout ce qu’il peut du téléphone.
A l’hôtel, Sidorov a perdu patience et menace d’enfoncer la porte de la salle de bain.
A l’extérieur, à la grande surprise de Kensi, c’est Sam qui gare la Challenger à côté d’elle. Il lui demande aussitôt le numéro de la chambre. Kensi lui explique la situation, mais il ne s’intéresse qu’à ce fameux numéro. Elle ne le connait pas, et s’inquiète plutôt d’Hetty. Elle aimerait bien qu’elle ne sache jamais qu’il est venu ici. Mais pour Sam, cela semble impossible.
Pendant ce temps Nell fait une étrange découverte : une Adeline Janvier était sur un vol en provenance de Las Vegas qui s’est posé 10 minutes plus tôt à Los Angeles. Pourtant la fille de Janvier était bien à Paris quand le NCIS a vérifié…
Eric termine de copier toutes les données du téléphone de Sidorov. Michelle reçoit un « je l’ai » qui la soulage. Elle remet le téléphone dans sa poche et ouvre enfin à Sidorov. Ils reprennent leur baiser ; seulement en apparence : Michelle pousse un cri, le russe vient de la mordre. Le climat a changé : il la pousse rudement sur le lit, sort son arme et appelle Andros. Il s’est rendu compte qu’elle avait pris son téléphone, et sait maintenant qu’elle n’est pas véritablement « Quinn »…
Finalement Eric et Nell isolent un quai où les bombes sont – ou étaient. Hetty veut que les équipes de détection de radioactivité prennent le relais, et que Michelle soit sortie au plus vite du voisinage de Sidorov. Elle appelle Sam pour le lui signifier (Kensi ne comprend pas comment elle a bien pu savoir qu’il était là). Sam est plus qu’heureux de recevoir cet ordre.
Les agents se précipitent à la réception, montrent une photo de Sidorov et obtiennent un numéro de chambre et une clé. Mais quand ils pénètrent dans la suite, elle est vide. Sam fixe avec amertume le rouge à lèvres sur le verre de vin…
Il exige d’Eric qu’ils les localisent – mais la caméra devant leur chambre a été désactivée, et il n’y en a pas beaucoup dans tout l’hôtel. Il cherche dans le salon, le garage…Sam lui conseille les caméras de surveillance routière à l’extérieur. Il souffre encore terriblement. Puisque Sidorov a trouvé un moyen de quitter l’hôtel, il est urgent qu’Eric découvre lequel.
Dans les OPS, la perplexité est montée d’un cran devant la photo de la prétendue Adeline Janvier qui est arrivée à Los Angeles : ce n’est pas la vraie. Nell l’a vue prendre un taxi une demi-heure plus tôt. Forcément il s’agit d’un piège que leur tend Janvier. Mais Hetty veut savoir qui est cette femme, et où elle s’est rendue.
Eric trouve un avion réservé par Sidorov et alerte Sam, qui lui demande de faire interdire le décollage. Mais très vite plusieurs autres réservations apparaissent – laquelle choisir ? Sam ne sait pas trop par laquelle commencer, mais il exige qu’aucun de ces appareils ne quittent le sol…
Granger, lui, a suivi Vaziri jusqu’à un appartement dans Hollywood. Il compte bien s’occuper de lui dès que les bombes auront été formellement localisées.
Nell a trouvé des infos sur la fausse Adeline : voleuse, escroc et prostituée, ce n’est pas une enfant de cœur…Pourquoi a-t-elle été embauchée ?
Eric a du nouveau : le vol de San Diego a reçu l’avis que ses passagers le rejoignent dans moins d’une heure. Sam ne comprend pas : c’est à deux heures de route. A moins que le voyage se fasse par la voie des airs ! En effet l’hôtel a un héliport, et Eric repère de grosses valises au bord de la piste d’atterrissage. L’or iranien. Un hélicoptère est à deux minutes de vol. Sidorov et Michelle apparaissent aussi sur la vidéo.
Kensi et Sam arrivent sur le toit en même temps que l’hélicoptère – Kensi demande à Eric de les en débarrasser. Ce qu’il fait avec succès, l’engin s’éloigne. Sidorov avec Michelle en bouclier et Andros, font face à Sam et Kensi. Tous ont leurs armes pointées les uns vers les autres.
Sam ricane : le russe vient de perdre son moyen de transport. Mais Sidorov garde les meilleurs atouts : il sait que Sam va baisser son arme parce que l’amour qu’il porte à Michelle est son point faible. Il est prêt à mourir pour elle ; Sidorov, lui, est prêt à la tuer. Effectivement, Sam baisse son arme, et demande à Kensi de faire de même. Sur l’ordre du russe, ils tournent pour s’éloigner de la porte, pour la laisser libre. Mais au moment où Andros allait mettre la main sur la poignée, elle s’ouvre brutalement : Deeks apparait et descend Andros. Surpris, Sidorov laisse Michelle faire un pas de côté : Sam lui met aussitôt 4 balles dans la poitrine. C’est fini…
Sam s’approche de sa femme, tranches les menottes en plastique…pendant que Kensi demande à Deeks si tout va bien. Oui, ils vont bien…Ils regardent Sam étreindre Michelle…
Dans les OPS, Nell a trouvé l’endroit où le taxi a déposé la fausse Adeline : il s’agit de l’appartement d’Hollywood où Granger a suivi Vaziri. Elle y est arrivée quelques minutes avant l’iranien. Callen demande qu’Owen soit prévenu que Janvier peut être à l’intérieur ; et qu’il l’attende. Il sait que c’est un piège – mais doit y aller.
Granger n’a pas vu Janvier, mais il y a une entrée par derrière. Il prévient Callen que Janvier peut vouloir mourir par « suicide par un policier »…ils n’ont rien contre.
Ils enfoncent la porte, et tombent sur la fausse Adeline morte, gorge tranchée. Deux types ont été flingués. Des hommes de Vaziri. Ils montent précautionneusement à l’étage. Vaziri est là, étendu sur le lit, la bouche fermée par de l’adhésif. Il lui manque les deux mains…Une scie ensanglantée est posée à ses côtés. Il a les yeux fermés. Le piège était pour lui. Janvier a utilisé la fille pour l’attirer et se venger méthodiquement. Les agents sont au bord de la nausée. Vaziri grogne : il est en vie ! G lui arrache l’adhésif. Il ne comprend pas ce que l’iranien murmure, mais l’homme répète : « balcon ».
Granger et Callen s’y précipitent. Un homme sur le trottoir les interpelle : est-ce qu’ils cherchent le type qui vient de sauter ? Il a descendu la rue et pris la Beemer noire- qui quitte à l’instant son lieu de stationnement. G saute du balcon, Granger prend les escaliers. Callen se plante au milieu de la chaussée ; Janvier lui fonce dessus. L’agent tire, en visant le conducteur, qui accélère dans une tentative désespérée de le renverser. Mais G plonge à temps. La voiture continue sur son élan, quelques mètres, avant de s’immobiliser sur le trottoir. Callen s’approche doucement. Janvier le regarde : il a pris plusieurs balles, il parle d’une voie faible pour demander que G l’achève. Puisqu’ils le veulent autant l’un que l’autre. Callen lève son arme…
Au QG, Deeks ouvre son casier. Kensi arrive. Il lui demande s’ils ont retrouvé les bombes : elles étaient en route pour l’Iran via l’Afrique et sont maintenant en cours de sécurisation. Kensi s’inquiète : pourquoi Marty est-il en train de rassembler ses affaires ? Le jeune homme ne semble pas le savoir lui-même. Kensi lui dit qu’elle sait ce qu’il vient de traverser – il réplique qu’il espère qu’elle ne le saura jamais. Mais s’il a besoin d’en parler, ou de ne parler de rien, elle est là pour lui. La seule chose qu’il désire, c’est partir d’ici. Elle l’encourage à prendre un peu de vacances. Mais en fait, ce qu’il veut, c’est tout laisser derrière lui. Elle accuse le coup, les larmes aux yeux : y compris les gens ? Il ne répond pas. Elle comprend, le regarde une dernière fois, puis tourne les talons. Il la rappelle : pour tenir, pour échapper à la douleur, il s’est raccroché à son sourire, à son rire, à elle toute entière. Il n’a pas arrêté de penser à elle, c’est comme ça qu’il a résisté. Il soupire : pour ce que en valait le coup !
Ils sont interrompus : Sam et G sont de retour. L’ex-SEAL est au téléphone avec sa femme – il promet d’être bientôt rentré. Elle est en train d’aider leur fille à faire ses devoirs. G ricane : combien de temps va-t-elle simplement être Madame Hanna ?
Sam hèle Deeks : il lui a amené un cadeau. Il lance à Marty un dentier…Marty le contemple, commence une phrase – que Sam termine : c’est un peu trop tôt…Callen, qui vient de mettre d’énormes fausses dents, se dit que donc ce n’est pas très cool. Mais Deeks sourit : non, ça c’est génial. G enlève ses dents : ça fait du bien de rire, lance-t-il à Marty. Puis il les invite à aller boire un verre. Deeks fait quelques pas puis précise: pas de chaud, pas de froid, rien à mâcher…Ils rient ; Hetty qui les observe d’en haut, soupire avec soulagement…
Quatre mois plus tard, dans une prison, Janvier, lourdement enchaîné, est conduit dans une cellule où Callen l’attend, l’air très satisfait. 2 mètres 60 sur 3 mètres 60, enfermé 23 heures sur 24, pour purger une triple peine de réclusion à vie – ça n’a pas de prix ! Janvier lui dit qu’il ne pensait pas le revoir, mais G avait trop envie de voir ça de ses propres yeux. Le français ricane : 2 heures d’avion pour le voir pénétrer dans une cellule, il ne se passe pas grand-chose chez lui…Touché, G sort. Janvier s’amuse : est-ce qu’il connait le Comte de Monte-Cristo ?
L’histoire de l’homme qui au bout de 21 ans de prison s’évade pour accomplir sa vengeance ?! Callen claque la porte derrière lui. Il s’éloigne.
Janvier le rappelle : la partie n’est pas terminée ! G ne se retourne pas mais son visage montre qu’il prend la menace très très au sérieux…
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