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#209 : L'Espion qui m'aimait (1/2)

Dans la première partie de cet épisode (qui en compte deux), suite au meurtre d’un marchand d’antiquités, Hetty et l’équipe du NCIS se lancent à la recherche d’un de ses livres qui pourrait contenir des informations top-secret.

** Captures de l'épisode **

Popularité


4 - 10 votes

Titre VO
Absolution

Titre VF
L'Espion qui m'aimait (1/2)

Première diffusion
16.11.2010

Première diffusion en France
12.03.2011

Vidéos

Promo Absolution (2.09)

Promo Absolution (2.09)

  

Photos promo

Callen avec Hetty Lange qui menace quelqu'un  avec une arme

Callen avec Hetty Lange qui menace quelqu'un avec une arme

Hetty Jouée par linda Hunt prépare son arme

Hetty Jouée par linda Hunt prépare son arme

Plus de détails

Scénariste : R. Scott Gemmill 

Réalisateur : Steven DePaul

Guests :

Renée Felice Smith ............................ Nell Jones
Jurgen Prochnow ............................ Matthias
Raymond J. Barry ............................ Branston Cole
Mark Pinter ............................ Sebastian Renner
Scott Connors ............................ Agent de la NSA Hyams
Theo Breaux ............................ Boyle
Dario Deak ............................ Frederick Harbin
Candace Edwards ............................ Infirmière

 

Une table encombrée d’épais dossiers, une bouteille de vin ouverte à leurs côtés, de la musique classique... Devant une immense baie vitrée, Monsieur Renner contemple les lumières de la ville à ses pieds, un verre presque vide à la main. Boyle, son secrétaire/chauffeur le rejoint. Il lui dit que l’avion n’attend que lui, qu’il a déjà chargé ses bagages, puis se retire. Renner regarde sa montre,  termine son verre  de vin, prend un dossier sur la table, le fourre dans un cartable en cuir, puis quitte l’immense pièce, où un feu de bois crépite dans la cheminée.

                                  

Le soleil se lève. Conduite par Boyle, la voiture descend la route sinueuse. Renner essaie de lire, et se décide à couper la musique : contrairement à son chauffeur, il trouve qu’il est un peu tôt pour Mahler ! Soudain, un coup de feu, une balle traverse le pare-brise qui se remplit de sang... La voiture fait une embardée et s’arrête brutalement dans le talus. Renner appelle Boyle, sans réponse. Il sort précipitamment de la voiture, serrant son cartable contre lui. Des crissements de pneus l’affolent une peu plus : un 4x4 se gare devant sa voiture. Renner se met à courir du côté opposé. Du véhicule descendent deux hommes en costume-cravate, ils le poursuivent. Renner s’est engagé dans un chemin, toujours en courant, mais cela monte, et les hommes sont plus rapides. Ils pointent leurs armes sur lui. D’un geste désespéré, il met son cartable en protection, dérisoire bouclier, il supplie, adossé au grillage qui borde le chemin. Les hommes font feu, Renner s’effondre. Derrière lui, des antennes relais. Juste un peu plus bas, les grosses lettres blanches d’Hollywood brillent au soleil...

 

Générique.

 

Au QG, Nell bricole sur une espèce de grosse boite rectangulaire. Eric s’arrête, intrigué. Il s’agit d’un détecteur de potentiel électrique, capable d’indiquer les changements de champs électriques des battements de cœur. Elle pointe l’appareil sur Eric, dont la poitrine s’orne d’un rond rouge de visée laser. Il lève les mains en l’air, mais déjà Nell ne s’intéresse qu’au résultat. Eric est à 72 battements/minute, tout-à-fait dans la norme. Baissant les bras, Eric compare le détecteur à un stéthoscope « high tech », mais c’est bien plus que cela. Chaque être humain a un rythme cardiaque propre (comme une empreinte digitale ou  vocale). L’appareil peut le capter, l’enregistrer et l’analyser à très grande distance, et même à travers des murs ! Eric tend un feuillet à Nell : il vient d’avoir une alerte, sur une « personne à suivre » : le nom de « Sebastian Renner » est apparu dans un rapport de police. Mais ce n’est pas lui qui a mis son nom dans la liste ; pas plus que Nell, ce qui les laisse perplexes, jusqu’à ce qu’Hetty fasse son entrée impromptue habituelle. C’est elle la responsable. Nell la passe direct au détecteur, sous l’œil vaguement réprobateur d’Eric, qui craint une réaction peu amène d’Hetty ; mais celle-ci sourit. Nell est impressionnée : 46 battements/minutes ! Hetty explique que c’est grâce au Tsa Lung Trul Khor (le yoga tibétain). Redevenant sérieuse, elle ajoute que Renner est un antiquaire suisse. Etait, il vient d’être retrouvé mort. A cette nouvelle, Hetty  ordonne de rassembler la troupe.

 

Une rue de Los Angeles, Sam, en short et débardeur, court (en montée) quand la voiture de Callen ralentit à sa hauteur. Il semble qu’ils avaient rendez-vous, mais Sam pour faire du running avant d’aller travailler, et Callen au resto pour le petit déjeuner... Sam dit qu’ils ont encore le temps de faire quelques kilomètres, mais le petit déjeuner pris par son équipier (saucisses et gaufres) lui pèse sur l’estomac. Et de toute façon, le téléphone de G. sonne, il faut aller bosser. Callen veut donner une serviette à Sam, pour protéger le cuir des sièges, mais celui-ci s’installe, et frotte même consciencieusement son dos sur son dossier...

 

Parc de Los Angeles. Un cours de yoga, fréquenté par des jolies filles, et... Deeks, qui roule son tapis alors que Kensi arrive. Elle est énervée : elle vient le chercher parce qu’il le lui a demandé, alors elle pensait qu’il avait des ennuis de voiture, mais pas du tout, elle doit servir d’appât ! Il reconnaît qu’il attend un coup de main, cela se fait entre équipiers. Il faut juste qu’elle se fâche, que les filles qui lorgnent dans leur direction aient envie de consoler ce pauvre gars qui se fait larguer. Kensi n’a pas de mal à l’engueuler, mais quand il se défend en disant qu’il comprend, que ce n’est pas facile pour elle, comme il est toujours sur les routes avec son groupe, (les filles ne dissimulent plus l’intérêt qu’elles portent à la dispute), Kensi hurle : je m’en fous... c’est juste que tu m’as trompée (les filles les fixent) ... avec mon frère ! (les filles se détournent !). Deeks est pris de court, Kensi s’éloigne en levant les bras au ciel en signe de victoire, et finalement le jeune homme en sourit, même s’il trouve ça déloyal !

 

Au QG, le dossier de Renner est sur grand écran. Hetty précise qu’il est aussi connu sur le marché noir, en plus de son activité officielle d’antiquaire. Après la diffusion de la vidéo de son meurtre, enregistrée par des caméras de surveillance des lieux, sur laquelle on voit les hommes fouiller le cadavre et la sacoche de cuir, Nell explique que Renner était un spécialiste (sous le manteau) de l’achat et de la vente d’armes (récupérées ou volées après la chute de l’Empire soviétique). Hetty surprend tout le monde en affirmant qu’ils doivent avant tout récupérer le petit livre noir de Renner,  la liste des vendeurs et acheteurs de ces armes, avant tous les barbouzes du monde entier ; l’arrestation de son meurtrier n’étant que « secondaire »...Si les assassins de Renner l’ont déjà, il faut le leur reprendre. Hetty s’éloigne déjà,  G. la rappelle, il veut en savoir plus. Mais Hetty l’envoie bouler, il faut faire vite, les questions attendront. Alors Callen envoie Deeks et Kensi sur la scène de crime, se réservant avec Sam la maison de Renner.

 

Un petit parc charmant, avec bassin et jet d’eau, des fleurs, des bancs, les extérieurs d’une résidence, manifestement. Hetty entre dans un bâtiment où elle salue le gardien qui paraît bien la connaître. Elle se dirige, par un couloir,  vers une porte ouverte, où une femme ausculte un vieil homme aveugle assis dans un fauteuil roulant. La femme reconnaît Hetty, paraît heureuse pour l’homme qu’elle appelle Monsieur Cole, et surprise de voir Hetty ici en pleine semaine. Hetty voulait faire une surprise à ...son mari !

 

La maison de Renner a manifestement subi une fouille en règles, peu soigneuse, comme le constatent Sam et Callen à leur arrivée. Le vin était un Pauillac... Il manque l’ordinateur, une photo dans un cadre. Par contre le même visage d’un jeune homme d’une trentaine d’années figure régulièrement sur les autres photos. Les agents les transmettent à Eric, pour identification, particulièrement intéressés par le trentenaire, mais aussi par ces associés ou clients de Renner qui n’a pas de famille. Un bruit venu de la mezzanine au bout de la pièce les fait réagir : ils sortent leurs armes et mettent en joue le ou les intrus, tout en s’identifiant. Mais ce sont deux bergers allemands qui apparaissent. Ils commencent à grogner, puis aboient en montrant les dents, sourds aux paroles apaisantes de Sam et Callen, qui se décident à prendre leurs jambes à leur cou ! Dans un sprint désespéré, ils atteignent la grille qu’ils franchissent in-extremis, essoufflés mais sains et saufs ! Sam ironise sur les gaufres de Callen, celui-ci se venge en montrant à Sam que sa voiture est restée là-bas, du même côté de la grille que les deux chiens...

 

Au QG, Kensi et Deeks déballent devant Eric et Nell les affaires personnelles de Renner récupérées par la police sur la colline. Pas de téléphone portable. Nell montre une photo où Renner a le bras sur l’épaule du jeune homme repéré par Sam et Callen. Eric a trouvé qu’il s’agit de Sander Lee, un décorateur d’intérieur de Los Angeles, qui possède une boutique dans le Pacific Design Center, et dont le visage est sur beaucoup de clichés chez Renner. Deeks pense qu’il pourrait être un client, mais Kensi flaire une piste. Elle demande à Eric de transmettre cette info à Callen. Et cherche des yeux Hetty. Mais, et c’est vraiment inhabituel,  Hetty est partie depuis la fin du briefing du matin, sans dire où elle allait...

 

On la retrouve dans le petit parc de la résidence de Cole, assise sur un banc, lui faisant la lecture. Lui, dans son fauteuil roulant, n’a pas l’air passionné. Elle referme le livre, et attaque les choses sérieuses, en lui apprenant que Sebastian Renner est mort ce matin. On apprend de cette conversation que Renner a aidé Cole à entrer illégalement aux Etats-Unis, en échange du petit livre noir qui contient les souvenirs de l’allemand. Que Cole pourrait être le suivant, si ceux qui ont tué Renner retrouve sa trace. Et que Cole qui dit ne se souvenir de rien, n’a pas paru surpris d’apprendre ce meurtre. Hetty le soupçonne de n’avoir aucun trou de mémoire...Cole se dit séduit par l’idée de mourir, et  vraiment fatigué d’être le prisonnier d’Hetty. Mêlant l’anglais et l’allemand, il s’énerve, l’insulte, se débat, attirant la femme qui était dans sa chambre auparavant. Elle le calme en lui parlant doucement, en caressant son bras, s’excuse auprès de Hetty. Celle-ci propose à son « mari » d’aller se reposer ; elle lui tapote la jambe dans un geste d’affection qui l’irrite au plus haut point. Hetty reste seule, plongée dans des pensées peu réjouissantes ; on entend la voix de Cole la traiter de « nain de jardin » !

 

Le Pacific Design Center, que Callen découvre, est gigantesque, avec ses 11 hectares de superficie. Sam, d’abord surpris que son équipier ne soit jamais venu là, se ravise : un type qui ne possède aucun meuble ne peut pas y avoir mis les pieds. Callen serait presque intéressé par une chaise qu’il trouve à son goût, jusqu’à ce que Sam lui en lise le prix (3.700 dollars). Finalement, il n’a pas besoin de chaise ! A l’approche de l’entrée de « Sander Lee Design », ils entendent un homme demander « Combien tu lui en a donné ? Une voix répond «Comme d’habitude !  Il doit faire une réaction », le premier reprend « Son pouls est faible ». Sortant leurs armes, Sam et Callen font irruption dans le bureau où Sander est évanoui sur une chaise. Une fusillade éclate, un homme s’écroule, 2 autres disparaissent dans un entrepôt par une porte latérale. Sam prend le pouls de Sander, il est à peine perceptible, il faut lui porter assistance pendant que Callen poursuit ses assaillants. Il touche l’un d’eux, l’autre disparaît, pendant que Callen force le blessé à lâcher son arme. Dans le bureau, Sam pratique le massage cardiaque sur Sander.

 

Quand ils regagnent le QG, Callen explique à Kensi  que Sander est encore dans un état critique. Sans l’intervention de Sam, il serait déjà mort. On lui a injecté un sérum de vérité. Manifestement, « on » pensait qu’il savait où est le petit livre noir de Renner. A ce sujet, quel genre de livre peut bien valoir les morts qui s’enchainent ? Kensi a contacté les parents de Sander, qui ont pris un vol à Phoenix pour venir à ses côtés ; ils ont confirmé une relation entre lui et Renner qui dure depuis plusieurs années. Eric a identifié les hommes du Design Center. Le mort est Dars Talbert, le blessé Frederick Harbin, deux attachés en agriculture, en fait des « BundesNachrichtenDienst ». (Deeks ne peut s’empêcher de dire « Gesundheit ! » (À vos souhaits !). Le BND, ce sont les services secrets allemands. L’affaire devient un « incident » international...Le bon côté des choses, c’est que les allemands semblent toujours être à la recherche de ce qui pourrait être le petit livre noir de Renner. Ou, en tant qu’allemands, ils laissaient libre cours à leurs bizarrerie...Eric n’apprécie pas trop cette dernière remarque de Deeks, comme il est à moitié allemand ! Hetty se pointe, leur donne rendez-vous dans 10 mn, le temps qu’elle briefe le Directeur Vance. Pendant ce temps, il faut qu’ils jettent un œil sur le dossier « diner de fête 76 », mot de passe « Haruspex 77981 ». Nell sait qu’un Haruspex est une personne dans la Rome antique qui lisait l’avenir dans les entrailles de moutons sacrifiés...Le dossier est un rapport de surveillance sur Bernstrom Kohl. Un « StatsSicherheit » (2ème Gesundheit de Deeks, qui promet que le 3ème, selon la célèbre règle de 3, sera super drôle...). La Stasi, c’était la police secrète de l’Allemagne de l’est pendant la guerre froide. Celle-ci, pourtant terminée depuis 20 ans, semble se réchauffer... Kohl était un élément très prometteur au sein de l’ancienne URSS, jusqu’à ce qu’il entre en conflit avec ses supérieurs. Il semble que Kohl possédait un petit livre noir sur ses anciens compagnons de la Stasi, mais aussi sur des services secrets de nombreux pays, rempli de preuves d’affaires tristement célèbres, bien que secrètes, impliquant le KGB, les Etats-Unis et Israël, y compris des assassinats.

                                

Alors pourquoi Hetty leur a-t-elle dit qu’ils cherchaient une liste de marchands d’armes ? Celle-ci arrive à point pour s’expliquer : parce que le contenu réel de ce livre va bien au-delà de leurs niveaux de responsabilités...Kohl a donné le livre à Renner en échange de son passage à l’ouest. Renner l’a conservé comme une sorte de sauf-conduit anti-emprisonnement. Personne ne voulant prendre le risque de fuites sur le contenu du livre, on l’a laissé tranquille. Pourquoi les allemands l’ont-ils flingué maintenant ? Hetty hasarde un « on ne sait jamais avec les allemands » qui reste en travers de la gorge d’Eric. Elle s’excuse aussitôt. Bernstrom Kohl vit  aux USA depuis de nombreuses années sous le nom de Branston Cole, infirme et aveugle depuis qu’il a été victime d’une attaque. Ce qui a peut-être contribué à l’apparition d’un Alzheimer précoce, quoi que ce dernier point soit sujet à caution. En tout cas, il attend à l’annexe, elle aimerait que Callen et Sam essaient d’en tirer quelque chose d’utile. Et comme la maison de Renner a été débarrassée de ses chiens par les services compétents, il serait bien que Kensi et Deeks aillent y approfondir les recherches. G. reste encore un peu perplexe devant l’attitude d’Hetty. Celle-ci lui assure que ce qu’elle a en tête, c’est de prévenir la mise à sac de la ville par les agences des services secrets du  monde entier en quête de ce livre, et qu’elle aimerait que lui et son équipe ait le même but.

 

Kensi est frappée par l’intérieur de la maison de Renner, qui ressemble plus à un musée qu’à un havre de paix...Les antiquités sont pour elle synonyme de « seconde main », et elle ne voit pas l’intérêt d’avoir quoi que ce soit d’occasion. Deeks apprécie la beauté des pièces, certaines valant certainement une fortune. Ils se chicanent, comme d’habitude, quand Deeks met la main sur des documents médicaux qui laissent penser que Renner avait une tumeur cancéreuse au cerveau. Ce qui pourrait expliquer le « réveil » des allemands, paniqués à l’idée que le livre noir refasse surface si Renner venait à mourir. A moins que Renner ait voulu laisser un petit pécule à Sander en vendant le livre (improbable vu le luxe des lieux), ou qu’il ait voulu en finir à jamais avec le livre pour protéger Sander, auquel cas il s’y était pris un peu trop tard...Une porte qui claque, des bruits de pas...Kensi et Deeks sortent leurs armes ; un homme crie « Agents fédéraux, ne bougez-plus » en faisant irruption devant eux, et en les braquant. Derrière lui, un autre homme armé. Deeks hurle « LAPD », l’homme « NSA », Kensi « NCIS » et Deeks conclut par « M-O-U-S-E », s’attirant un regard mitigé de Kensi. Tous les 4 sont extrêmement tendus ;  finalement les deux hommes sortent une carte de la NSA et Kensi son badge du NCIS...Un des hommes explique à Kensi que l’affaire est devenue la leur, comme Renner était un étranger et une menace potentielle contre les USA. Il propose toutefois de collaborer. Mais brutalement il s’interrompt, plié en deux par un violent  coup de pieds de Kensi dans son entre-jambes, suivi de coups de pieds et coups de poings qui l’alignent pour le compte. Deeks s’occupe du deuxième homme qui avait sorti son arme, en le plaquant par-dessus la table basse ; lui aussi est KO. Deeks est furieux contre Kensi, elle a frappé des types qui sont de leur côté, et peut-être pire, elle a frappé dans les parties intimes. Kensi a la très nette impression que ces deux gars appartiennent à des services secrets étrangers...

 

A l’annexe, Cole est dans la salle d’interrogatoire, avec Sam et Callen. A l’odeur, il reconnaît une « maison-bateau ». Cela lui rappelle la sinistre journée du 22 novembre 1989, à San Francisco, le jour où il est devenu aveugle et impotent, suite à une attaque cardiaque...provoquée par une hémorragie consécutive à 2 balles en pleine poitrine ! Renner, il sait que c’était un antiquaire. Etait, il sait qu’il est mort, or ce décès date du matin même, donc la mémoire à court-terme de Cole n’est pas si défaillante que ça...Cole propose un marché aux deux agents : il leur dit ce qu’ils veulent savoir, en échange « Sylvia » termine ce qu’elle a commencé. Sylvia ? Ce gnome malfaisant le lui doit bien!

 

Callen et Sam sont sortis de la salle d’interrogatoire. G. sait que Sylvia est un des pseudos de Hetty. Il semble que cette affaire contienne beaucoup d’éléments encore cachés...Kensi fait irruption, suivie par Deeks.  Sur l’écran, elle met la carte de deux agents de la DGSE (les services secrets français), les deux faux membres de la NSA qui étaient dans la maison de Renner. Elle avait donc bien entendu leur pointe d’accent que Deeks n’avait pas remarquée, et Hetty avait raison, les agences étrangères sortent du bois...Deeks les a faits coffrer par ses ex-collègues du centre-ville, où ils devraient sans aucun doute devoir patienter un bon moment avant de pouvoir utiliser un téléphone, et donc leur immunité diplomatique. Mais il recommande que Kensi ne les approche plus : il raconte le coup de pieds dans les parties sensibles d’un des hommes, et les 3 agents sont d’accord pour trouver cela indécent (un bon coup de crosse dans le visage aurait été plus indiqué...). Devant cette unanimité, Kensi préfère changer de sujet, et demande ce que Cole leur a appris. A part qu’il joue avec eux, pas grand-chose...Et Callen pense qu’il n’est pas le seul : il appelle Eric pour savoir si Hetty est au QG, mais elle est partie depuis une heure, sans daigner dire où elle allait.

 

On la retrouve dans le Pacific Design Center, précisément dans le bureau de Sander Lee. Elle allait ouvrir un tiroir quand une étiquette de la boutique attire son attention : un gros « Herta » est écrit, bien visible. Il accompagne un numéro de téléphone. Hetty la fourre dans sa poche en entendant une porte claquer. Elle se précipite dans un placard, où elle s’enferme. Des pas résonnent déjà dans la pièce, des ombres passent devant la porte qui protège Hetty. Au point que celle-ci sort une arme, enlève la sureté à l’instant où la porte du placard s’ouvre...sur Callen et Sam ! Elle s’écrie « salauds »...Elle a failli faire sauter la tête de G., heureusement, une bouffée de l’odeur de bébé de Sam l’a arrêtée. N’empêche, Callen est en colère, et veut lui parler. Ils se retrouvent dans l’armurerie du QG, où Hetty range soigneusement son arme, au-milieu d’autres diverses et variées (y compris très anciennes), protégées par une grille. Callen voudrait commencer par Cole, mais Hetty n’a rien à en dire tant qu’ils n’ont pas obtenu du nouveau de sa part. Alors G. comprend : c’est Hetty qui lui a mis deux balles dans la poitrine, puis qui l’a maintenu en vie ; elle l’a ensuite mis dans un lieu de vie médicalisé, pour pouvoir lui soutirer des informations. Sauf que c’est rendu difficile parce qu’il est à peu près impossible de savoir dans quelle mesure sa maladie d’Alzheimer est réelle, et dans quelle mesure il simule...Hetty confirme, elle est patiente, elle a réussi à le prendre quelque fois en défaut. G. a l’impression que l’un et l’autre apprécient ce jeu, voire leurs rencontres. Là Hetty est catégorique, il est en plein délire. Elle  fait la lecture à Cole  chaque semaine depuis toutes ces années simplement parce que c’est le rôle de Sylvia. Seulement, ces derniers temps, la santé physique de Cole se dégrade, comme son état d’esprit. Callen lui lance qu’il veut coopérer, elle réfute l’idée par un regard, mais il ajoute « si vous finissez ce que vous avez commencé ». Troublée, elle avoue que tuer dans le feu de l’action est une chose, mais qu’elle ne se voit pas en meurtrière. Le sort de Cole est dans les mains de quelqu’un de bien plus grand qu’elle. La réplique de Callen la touche : « je ne pensais pas qu’une telle personne puisse exister... ». Il reprend en abordant le sujet du petit livre noir. Hetty pense que Cole ne sait pas ce que Renner en a fait. Par contre son contenu pourrait à la fois causer des dommages irréversibles dans les relations internationales, et mettre en danger la sécurité du pays. Que Callen utilise son imagination pour avoir des détails. A la question de savoir si elle est dans ce livre, elle répond que plus on dure dans ce métier, plus on a un placard plein d’ossements. Le sien ressemble à celui des Catacombes. Ce qui les ramène au placard de Sander. Est-ce qu’elle a trouvé quelque chose là-bas ?

 

La voix de Nell « j’ai trouvé quelque chose ! » les interrompt. Se rendant compte qu’elle les a arrêtés, elle propose de revenir plus tard, mais Hetty saute sur l’occasion d’éviter de répondre. Et c’est devant l’écran près des bureaux que Nell et Eric expliquent à tous les agents ce qu’ils ont découvert. En se penchant sur les manuscrits de Renner, écrits en boustrophédon [changement de système d’écriture et donc de sens de lecture à chaque ligne, comme les sillons de labour tracés par des bœufs], ils se sont aperçus que l’élément important était le marque-page, et non les manuscrits. Celui-ci contient un minuscule dictionnaire, lequel a une ponctuation beaucoup trop importante. C’est là que sont dissimulées des « micro-pointes ». Malheureusement, l’analyse d’une de ces micro-pointes n’a  révélé que des informations obsolètes sur la guerre froide...Le bon côté des choses, c’est que Renner a pu dissimuler des infos sur le petit livre noir de cette manière. Le mauvais côté, c’est que la bibliothèque contient une telle quantité de livres qu’ils sont devant une montagne de travail. Mais c’est une piste, un os à donner à ronger à Washington, où l’on s’arrache les cheveux à l’idée du nombre d’agences étrangères ayant investi Los Angeles...Ce qui donne une petite idée à Callen : faire croire que le livre noir a été découvert, qu’il est à vendre, en donnant comme preuve les micro-pointes mises au jour, pour mieux enfumer toutes ces agences. Hetty donne son accord d’un signe de tête.

 

Callen est de nouveau dans l’armurerie. Sam le rejoint au pas de charge, il a déjà répandu le bruit  de la vente auprès des coréens et des arméniens. Est-ce que Callen a contacté Kolcheck, il pourrait se révéler utile ? Callen, tête basse, se contente de renifler pour répondre. Sam s’inquiète aussitôt. C’est Hetty qui préoccupe Callen, quelque chose ne va pas. Il quitte la pièce rapidement, prévoyant de revenir très vite. Il croise sans les voir Deeks et Kensi qui arrivent. Hetty n’est pas dans son bureau, ni en haut : elle a disparu.

 

C’est dans les gradins du Hollywood Bowl qu’on la retrouve. L’endroit est désert, mais un homme est assis, révolver à la main. Il saute sur ses pieds quand Hetty arrive à sa hauteur. Souriants, ils se serrent la main : Mattias/Herta. C’est lui qui a laissé un numéro de téléphone dans le bureau de Sander. Hetty lui remet son arme, ce qui lui évite d’être fouillée. De leur conversation, on comprend que leur première rencontre a eu lieu à Vienne, des années auparavant, à l’opéra, où manifestement Hetty devait le « descendre », mais Mattias avait réussi à s’enfuir avant...Mattias veut mettre la main sur Cole. Hetty lui dit qu’elle l’a tué elle-même, mais Mattias sait  qu’il n’est pas mort, et que c’est grâce au « nain de jardin ». Il a d’ailleurs eu une chance à laquelle beaucoup n’ont pas eu droit (à part lui...). Mattias est bien conscient qu’Hetty ne va pas livrer ce traitre, même s’il ne voit pas ce qu’elle trouve à un infirme aveugle, celui-là même qui lui a donné son surnom d’ailleurs. Mais il est persuadé que son équipe sera beaucoup plus coopérative, surtout s’il l’encourage en lui faisant parvenir une oreille ou un doigt ; il obtiendra Cole avant même que le cadavre d’Hetty soit froid : il n’a pas besoin qu’elle reste en vie pour la découper. Hetty refuse de bouger, il doit la tuer sur place. Ce qu’il se dispose à faire, après tout, même s’il aurait préféré ne pas avoir à le faire lui-même, on meurt toujours tout seul.

 

L’arrivée tranquille de Callen dans les gradins, bras ballants, bouscule un peu ses plans. Il lui intime l’ordre de s’arrêter sinon il tue Hetty, sur la tête de laquelle il braque son arme. Mais celle-ci lui hurle de ne pas l’écouter, qu’elle lui a déjà dit de tirer et qu’elle est toujours là. En fait Callen attire l’attention de Mattias. Un coup de feu claque, une balle touche le bras de l’espion et fait voler son pistolet. C’est l’œuvre de Sam et de son fusil à lunettes ! Deeks et  Kensi remontent les gradins, s’assurant que tout va bien, et de sa cachette, Sam indique qu’il n’y a rien à signaler. Callen fouille Mattias, sans égard pour sa blessure ; il trouve une deuxième arme ; il le menotte. Hetty regarde Mattias : elle est là, la différence entre eux, malgré ses efforts pour tenir « ceux-là » (de la tête elle désigne son équipe) à distance, elle n’est pas seule ! Mattias en réponse la traite de « SchweinePriester » (F*** de P***). Deeks aboie son 3ème « Gesundheit », s’attirant un commentaire élogieux de Callen.

 

Au QG, Sam, Kensi, Deeks et Callen travaillent à leurs bureaux, quand Eric s’approche, rejoignant Nell. Le FBI et La NSA leur viennent en aide pour s’occuper des agences étrangères qui trainent encore en ville. Mattias et les deux français devraient être renvoyés dans leurs pays respectifs lors d’un échange d’espions. Quant au petit livre noir, ils vont continuer à le chercher, même s’ils doivent pour cela passer au crible la bibliothèque de Renner. Hetty qui arrive les rassure, la sécurité nationale est un marathon, pas un sprint. N’empêche, ils ont fait du bon boulot ! Ils devraient aller se reposer, pour se remettre au travail dès demain. Elle s’éloigne. Deeks est le premier à fermer son ordinateur : il a envie d’un verre. Sam l’avertit qu’il est dangereux de noyer son stress dans l’alcool, mais Deeks n’est pas stressé ; par contre c’est lui qui invite ! Aussitôt Sam et Eric sont partants (au grand plaisir de Deeks). Kensi dit à Nell qu’elle est obligée de venir, il est hors de question pour elle de se retrouver la seule fille du groupe (là, c’est Nell qui est heureuse). Sam se tourne vers G. qui n’a encore rien dit : c’est donc lui qui va les emmener. Callen s’en déclare ravi, et se lève pour proposer à Hetty de se joindre à ce qui deviendrait les 7 Mercenaires.

 

Celle-ci est à son bureau, elle vient de reprendre son identité de « Sylvia ». Elle dit à G. qu’elle va bien, le remercie de ne pas l’avoir demandé. Il lui répond qu’il venait l’inviter à se joindre à eux pour prendre un verre, que c’est lui qui emmène. L’offre si généreuse est alléchante, mais elle a d’autres plans. Callen s’énerve : elle a failli mourir et ne veut même pas partager un moment avec ceux qui l’ont sauvée ? C’est qu’elle a déjà un engagement...Qu’elle le pardonne, mais il est un peu réticent à la perdre de vue...Elle veut aller voir Cole. Ce qui veut dire quoi, exactement ? Elle ne le sait pas vraiment, mais elle doit y aller seule, et elle est confiante : G. va respecter son souhait. Elle lui sourit gentiment, lui souhaite une bonne nuit, et s’en va. Il la suit des yeux, la regarde franchir la porte, disparaître. Il fixe encore l’endroit un moment, le visage triste et inquiet...

 

Hetty arrive dans la résidence où Cole est soigné. Les couloirs sont déserts, il n’y a aucun bruit. Quand elle ouvre la porte de la chambre de l’allemand, un hoquet d’horreur lui échappe : la femme qui s’occupe de Cole est par terre, le corps criblé de balles. Sur le lit, Cole est mort, lui aussi abattu. Hetty fait demi-tour, referme la porte sur l’affligeant spectacle, et s’immobilise. Elle est bouleversée. L’image se fige sur sa douleur.

                                    

                                                                                                                           ------------            A suivre            --------- 

 

 

(De la musique classique joue doucement).

 

[Dans une maison luxueuse. Sur un bureau, de nombreux dossiers épais, une bouteille de vin. Un homme regarde vers le bas les lumières de la ville, de grandes fenêtres ; la vue est incroyable. Un autre homme entre dans la pièce.]

Boyle : L'avion est prêt quand vous l'êtes M. Renner. J'ai chargé vos bagages.

Renner : Je serai là dans quelques minutes.

Boyle : Okay. [Il sort.]

 

(La musique continue.)

[Renner regarde sa montre, il a terminé son verre de vin. Il met un dossier dans une sacoche en cuir, quitte une pièce où un bon feu dans la cheminée est presque la seule lumière.]

(musique classique dramatique)

[Lever de soleil; une voiture descend une colline. Boyle est au volant, Renner est assis à l'arrière lisant un journal. Il pousse un bouton. La musique s'arrête.]

Renner : Pardonnez-moi Boyle. Il est trop tôt pour écouter du Mahler.

Boyle : Bien sûr, monsieur.

[Un coup de feu retentit. Un trou apparaît dans le pare-brise, puis du sang. La voiture s'arrête brusquement].

Renner : Boyle? [Pas de réponse, le sang de Boyle qui coule laisse entendre que Boyle ne parlera plus jamais. Renner sort de la voiture.]

[Un SUV s’approche ; il s'arrête près de la voiture de Renner. Avec son sac dans les mains, Renner va aussi loin qu'il le peut. Deux hommes en costumes le poursuivent et le rattrapent. Il leur fait face, en essayant d'utiliser la sacoche comme un bouclier. Ils le visent.].

Renner : No! No!

 

[M. Renner tombe. Dans son dos, une station relais. Ils étaient juste au-dessus des lettres Hollywood].

 

♪ NCIS: LA 2x09 ♪ Absolution / L’espion qui m’aimait ♪

 

[OPS Center: Nell travaille sur une boîte en métal. Éric s'arrête, perplexe.]

Éric : Qu'est qu'on a ici Inspecteur Gadget?

Nell : C'est un capteur électrique. Ça peut lire les changements d'un champ électrique produit par vos battements de cœur. [Elle le vise avec l’appareil et une lumière rouge apparait sur sa poitrine. Il lève les mains en l’air, mais déjà Nell ne s’intéresse qu’au résultat.] Hmm. 72 battements par minute. C'est plutôt normal.

Éric : (baissant les bras) Donc c'est comme un stéthoscope haut de gamme?

Nell : Euh, non. Bien plus que ça. Okay. Les battements de chacun sont uniques, non? Comme des empreintes ou la voix. Et bien, ce capteur est assez performant pour capter des enregistrements et analyser votre rythme cardiaque d'une distance considérable. Même au travers des murs.

Éric : Wow. Je pensais que Mr micro était fun.

Nell : (perplexe) Je suis désolé mais qui?

Éric : C'était ce microphone qui amplifie votre voix à travers la radio. [Nell ne semble pas voir ce dont Éric parle.] Oublie. [Il lui donne une feuille.] J'ai une alerte pour une "Personne de haute importance ". Le nom "Sebastian Renner" s’est mis en valeur dans un rapport de police.

Nell : Hmm. Cela ne me dit rien. [Elle lui rend la feuille.]

Éric : Moi non plus.

Hetty : (venant de nulle part comme d’habitude) Mais moi oui.

[Nell la vise avec le capteur ; Éric fronce les sourcils légèrement, mais Hetty sourit.]

Nell : Whoa! Voudriez-vous regarder à cela? 46 battements par minute?? C'est incroyable.

Hetty : Ah, c'est le Tsa lung Trul khor. Yoga tibétain. Sebastian Renner est un antiquaire suisse.

Éric : Plus maintenant. Il a été retrouvé assassiné près de l'emblème d'Hollywood.

Hetty : Tu ferais mieux de rassembler les troupes.

 

[A Los Angeles, Sam court en short et T-shirt sans manches. Une voiture ralentit près de lui.]

Callen : (au volant de la voiture) Est ce que cela t'aiderait si je chantais la chanson de Rocky ?

Sam : (arrêtant de courir) : Où; étais-tu??

Callen : Je t'attendais.

Sam : Nous étions supposés nous rencontrer, et aller courir avant de travailler.

Callen : (sortant de la voiture) Nous étions supposés nous rencontrer au "Patrick's Road house" pour le déjeuner.

Sam : (regardant sa montre) Si nous essayons, nous pouvons toujours y être dans quelques kilomètres.

Callen : Pas moyen. Je viens d'avoir des gaufres fourré au porc. Je suis un peu rempli.

Sam : Tu n'es en aucun cas rempli, et ce n'était pas des gaufres.

Callen Tu sais quoi? (son téléphone sonne) Tu deviens un peu grincheux0 Quand ton taux de sucre dans le sang baisse. (répondant au téléphone) Yeah, Éric?

Éric : (voix off) Hetty veut tout le monde au centre d'opération aussi vite que possible.

Callen : Ok. On est en route.

[Sam a entendu et veut monter dans la voiture.]

Sam : Hey, arrête-toi.

Callen : Laisse-moi mettre un essuie.

Sam : Pourquoi?

Callen : C'est du bon cuir.

Sam : (rigole) C'est bien.

[Aussitôt assis dans la voiture; il se frotte le dos contre le cuir...]

 

[Dans un parc, les jeunes filles pratiquent le yoga. Deeks déploie un tapis; Kensi arrive, un peu contrariée.]

Deeks : Bonjour chérie.

Kensi : Tu m'as menti.

Deeks : Autant qu'un "bonjour"? Je t'ai déjà appelé "ma chérie"

Kensi : Tu as dit que tu avais besoin de faire un tour.

Deeks : Je sais.

Kensi : Deeks, je suis ta partenaire, pas ton chauffeur. Je pensais que tu avais des ennuis.

Deeks : Nope.

Kensi : Qu'est-ce que tu fous?

Deeks : (regardant les filles) Hmm?

Kensi : Ne me dis pas que tu...

Deeks : Quoi?

Kensi : (remarquant que les filles la regardent) Oh mon dieu, il m'utilise comme appât?

Deeks : No, no, no. Pas un appât. Comme une pièce maitresse. C'est ce que les partenaires font.

Kensi : Sais tu que c'est totalement amateur de notre part?

Deeks : Tu aurais dû me le dire.

Kensi : Je ne pouvais... quoi??

Deeks : Ne t'arrête pas. Continue de parler. Deviens folle. Joue comme ça si on rompait. Met toi en colère. Prête? Vas-y.

Kensi : C'est pour de vrai?

Deeks : Equipier?

[Kensi soupire, secoue la tête et s’en va.]

Deeks : (fort) Oh, allez ! Ma chérie! Attends!

Kensi : (le regardant) Reste loin de moi. C'est fini! Je ne peux plus le supporter! [Elle s’éloigne.]

Deeks : Ecoute, je suis. Désolé. D'accord? Je sais que c'est dur quand je suis sur la route, tout le temps, [Il regarde les filles qui semblent intéressées.] en tournée avec le groupe.

Kensi : (lui faisant face) Je m'en fous de cela! Tu m'as trompée, [les filles écoutent] avec mon frère! [Les filles sont déçues, Deeks aussi.]

Deeks : (rigolant) Ce qui veut dire.

 

[OPS center. Le dossier de Renner est sur l’écran géant.]

Hetty : Sebastian Renner était aussi connu comme fraudeur. Éric?

[Une vidéo apparaît sur l'écran. Renner court et est abattu par un homme.]

Éric : La vidéo que vous êtes en train de voir est prise d'un périmètre de surveillance autour de l'emblème d'Hollywood. La police est toujours présente sur la scène.

Sam : Ca ressemble à une exécution.

Kensi : Ouais, mais il recherche également quelque chose. [Renner est fouillé et son sac inspecté.]

Nell : (lisant un dossier) Apparemment, Renner a utilisé ses anciennes relations d'antiquaires comme couverture pour passer des accords sur des ventes d'armes. Il est spécialiste dans les armes, récupérées et volées, suivant la chute de l'union soviétique.

Hetty : Trouver qui a tué Renner ce n’est pas primordiale mais trouver son petit livre noir des acheteurs et revendeurs d'armes. Chaque fait d'espionnage et son frère seront recherchés pour cette information et nous avons besoin de la trouver en premier.

Deeks : Et si jamais les gens qui l'ont tué l'ont déjà ?

Hetty : Alors nous le leur prendrons. [Elle s’en va.]

Callen : Attendez un instant. C'est tout? Fin de la conversation?

Hetty : L'heure tourne, M. Callen, et vous êtes déjà en retard. Les questions attendront. [Elle part.]

Callen : Okay, Deeks et Kensi, voyez ce que vous pouvez trouver du LAPD sur la scène de crime. Sam et moi allons faire un tour à la maison de Renner.

[Deeks et Kensi s’en vont doucement, étrangement silencieux.]

Callen : Ya un problème?

Deeks : Non, c'est ok.

Kensi : (s’éloigne en marmonnant) Mouais. Vous allez l'air plutôt tendu.

Deeks : Donc, donc c’est tout? Ou alors tu penses que je suis "hot ". [Il hausse les épaules.] Ca roule.

 

[Un petit parc, des gens assis sur des bancs ou se promenant, un bassin avec une fontaine, une table sous un parasol, des fleurs, des arbres].

[Hetty arrive dans un petit bâtiment, un garde de sécurité surveille l'entrée.]

Hetty : Bonjour, Ray. [Elle lit un journal; le garde sourit, il est évident qu'il la connait.]

[Une chambre, une dame avec un stéthoscope, un homme vieux et aveugle dans un fauteuil roulant.]

Femme : Devinez qui est là pour vous voir, M. Cole?

Cole : (avec difficulté) J. Edgar Hoover?

Femme : Nous ne vous voyons généralement pas en semaine, Mme Cole.

Hetty : Je pensais que ça allait surprendre mon mari.

 

 

[Sam et Callen sont chez Renner. La maison a été fouillée.]

Sam : Il semble qu'on ait eu le LAPD, mais quelqu'un d'autre nous a eus.

Callen : Hetty avait raison. Nous sommes en retard pour la fête.

Sam : Mmmh [Il regarde une bouteille de vin.] Mouton Rothschild Pauillac. Très goûtu. Très rare. [Il la hume.] Très cher.

Callen : Peut-être que Renner fêtait quelque chose.

Sam : Peut-être que Sebastian Renner savait qu'il était à court de temps, et il voulait le fêter autant qu'il pouvait.

Callen : Qu’est ce qu'il manque sur ce plan?

Sam : Imprimante, scanner, câbles... pas d'ordinateur. En parlant de photo manquante... [Il montre un cadre vide.]

Callen : (regardant les autres photos) Renner n'a pas de famille... Ils doivent être tous des amis ou des associés.

Sam : (parlant de la photo manquante) Qui était celui-là ?

Callen : (prenant un autre cadre) Ce mec est présent partout. Probablement un bon départ. [Callen prend une photo de l’homme sur la photo et Sam téléphone.]

Éric : Yo.

Sam : Éric, Callen t'envoie des photos. On a Besoin d'identifier les joueurs. Concentre-toi sur le gars sur son 31. Celui qui est présent le plus.

Éric : Je l'ai.

Callen : Agents fédéraux! Sortez les mains en l'air.

[Deux bergers allemands apparaissent.]

Sam : Salut les gars. Comment ça va?

[Les deux chiens aboient fort sur eux.]

Callen : Doucement. Doucement.

Sam : Vous êtes de bons chiens, n'est-ce pas ? Oui, vous l'êtes.

[Les chiens aboient.]

[Sam et G courent aussi vite que possible vers la porte de la propriété et saute pardessus ensemble.]

Sam : Comment vont les gaufres maintenant?

Callen : Ha. Tu sais ce qui est vraiment marrant? Ta voiture est toujours là-bas. [Il montre la voiture restée avec les chiens de garde et s’en va.]

 

[OPS center. Deeks, Kensi, Nell et Éric.]

Nell : Qu'est-ce que c’est que tout ça?

Deeks : Les effets personnels de Sebastian Renner. [Le papier qu’il lisait dans la voiture.] La police de Los Angeles est plus qu’heureuse de ne pas traiter ce cas. Deux homicides en moins à s’occuper.

Éric : Pas de GSM ou d'ordinateur portable?

Kensi : Et ben, si ils y étaient, les voleurs ont dû les emporter.

Éric : Ok. Je vais voir ce que je peux trouver à propos de GSM, d'internet, et des enregistrements de voyage.

Nell : Qui est avec ce Renner? [Elle prend la photo de Renner et du jeune trentenaire.]

Éric : C'est Sander Lee. Callen et Sam ont trouvé sa photo partout dans sa maison. C'est un architecte d'intérieur ici à L.A. Il a un magasin au Pacific Design Center.

Deeks : Peut-être un client.

Kensi : Ou quelque chose de plus intime. (à Éric) Appel Callen. Fait lui savoir ce que tu as trouvé. Où est Hetty?

Nell : Uh, elle est partie directement après le briefing de ce matin. Elle n'a pas dit où elle partait.

[Résidence de Cole. Hetty est assise sur un banc, Cole est sur un fauteuil roulant, il l’écoute. Elle lit à haute voix.]

 

Hetty :They wrenched "the flag furiously from the dead man, and as they turned again, the corpse swayed forward with bowed head. One arm swung high, and the curved hand fell with heavy protest on the friend's unheeding shoulder."

[Hetty ferme le livre.]

Hetty : Sebastian Renner est passé à la trappe ce matin. Tu te souviens de lui?

Cole : C'était un antiquaire.

Hetty : Et plus encore. Je crois que tu marchandais avec lui par le passé. Ai-je tort?

Cole : Je ne m'en souviens plus.

Hetty : Il t'a aidé à entrer dans ce pays. En échange d'un livre que tu lui as donné. Un livre dans lequel tu as noté des informations à propos de ton passé.

Cole : Je te l'ai déjà dit, je ne me souviens de rien.

Hetty : Et bien, Renner est mort. Il fut assassiné. Tu pourrais être le suivant... S’ils voulaient te trouver.

Cole : Je préférerais mourir de cette façon. Ca arrivera sans surprise pour toi, Sylvia.

Hetty : Non. Ce qui me surprend c'est le fait que tu n'as pas demandé qui a tué Renner et pourquoi.

Cole : Peut-être que je m'en fous.

Hetty : Ou peut-être que tu sais qui l'a tué, et peut-être que tu te rappel de beaucoup plus que ce que tu me dis.

Cole ; Je suis fatigué d'être ton prisonnier! (fort) Assez! [Il crie en allemand.]

Femme : (accourant) Tout va bien, Mr. Cole. Essayez de vous calmer. (regardant Hetty) Je suis désolée.

Hetty : Oh, ce n'est rien. Il devient... frustré quelques-fois.

Femme : Oui.

Hetty : C'est peut-être mieux que tu rentres et te reposes mon cher. Je reviendrai plus tard.

Cole : GartenZwerg.

 

[Callen et Sam marchent dans le Pacific Design Center.]

Callen : Cet endroit est énorme.

Sam : 1.2 million de mètres carré. Tu n'as jamais été au "Pacific Design Center"? Evidemment, qu'est-ce que je dis. Bien sûr que tu n'as jamais été ici.

Callen : Très belle chaise.

Sam : Qu'est ce que tu en sais ? Tu n'as aucuns meubles.

Callen : Et ben, il est peut-être temps d'acquérir une chaise. [Il continue de regarder autour.]

[Sam regarde le prix et rigole.]

Callen : Ah ouais?

Sam : $3,700.

Callen : Pas besoin de chaise. Sander Lee Design. C'est par ici.

 

[La porte de la boutique est ouverte. Sam et Callen entendent des voix, ils s’arrêtent.]

Homme 1 : Combien lui as-tu donné?

Homme 2 : La dose habituelle. Il doit avoir une réaction.

Homme 1 : Son pouls est faible.

[Sam et Callen n’attendent pas plus longtemps, ils entrent.]

Sam : Agents fédéraux!

[Les hommes tirent, les agents aussi et un homme est tué.]

Homme 1 : Go! Go! Vite!

Sam : (penché sur Sander assis et inconscient) Il a un pouls, mais il est très faible.

Callen : Reste avec lui. [Il court.]

[Un des hommes attendait Callen et lui tire dessus. Callen réplique et arrive à le blesser. Il garde son arme dans sa main.]

Callen : Lâche ton flingue!

[Callen s’approche de l’homme prudemment.]

Callen : Lâche-le! Maintenant!

Homme : Okay. Okay. [Il pousse son arme loin de lui. Il n’est pas capable de bouger, Callen essaye de trouver l’autre homme, mais c’est trop tard. Il retourne à la boutique.]

[Sam est à genoux, il fait un massage cardiaque à Sander.]

Sam : Les as-tu eus ?

Callen : Un d'eux s'est échappé. L'autre un besoin d'une ambulance. Il va survivre?

[Sam regarde son partenaire mais ne répond pas.]

 

[Sam et Callen sont de retour au NCIS.]

Kensi : Quelle est la situation de Sander Lee?

Callen : Le gars est un état grave. Il serait mort si Sam ne l'avait pas gardé en vie jusqu’à l’arrivée de l’ambulance.

Sam : Il n'est pas prêt de s'en sortir. Le Docteur a dit qu'il était rempli de drogue.

Kensi : un sérum de vérité?

Callen : Ouep. Ils devaient penser qu'il savait où se trouvait le livre noir de Renner.

Sam : (assis à son bureau) Ce petit bouquin de Renner doit être une sacrée lecture, s’ils sont capables de tuer des gens pour se l’approprier.

Callen : (à Kensi) Tu as trouvé quelque chose?

Kensi : Ouaip. J'ai parlé aux parents de Sander. Ils sont en route de Phoenix pour être près de lui. Ils ont confirmé qu'il avait une relation avec Sebastian Renner depuis quelques années.

[Éric descend l’escalier en courant.]

Callen : Éric, qu'est-ce que tu as?

Éric : j'ai essayé d'identifier les deux gars de Sander Lee. [Il met 2 photos sur l’écran, Deeks se rapproche.] Le gars mort est Dars Talbert. Le gars qui vous avez blessé et capturé est Frederick Harbin. Ils sont tous les deux dans le pays comme Attaché agricole, mais ils sont suspectés d'être des Bundesnachrichtendienst.

Deeks : "Gesundheit".

Sam : BND le service fédéral allemand des services de renseignements.

Callen : En d'autres mots, des espions.

Kensi : Ça devient un incident international.

Deeks : Tu sais, il y'a un bon côté à cela. Si ces gars interrogeaient Sander Lee, ça suppose qu'ils cherchent toujours quelque chose.

Kensi : Il a raison. Peut-être qu'ils n'ont pas trouvé le petit livre noir de Renner

Deeks : Et encore, ils sont allemands. Ils pourraient seulement garder leur.

Éric : Je suis à moitié Allemand.

Sam : Je l'ai remarqué.

Nell : Directeur Vance au téléphone.

Callen : Où est encore Hetty?

[Hetty fait peur à Deeks et Éric en apparaissant.]

Hetty : Je suis juste là. Laissez-moi négocier avec le directeur. Je vous retrouve au centre d'opérations dans 10 minutes. Éric, accède à un dossier nommé "Dinner Party 76." Le mot de passe est Haruspex 77981.

 

[OPS center. Callen, Deeks, Sam, Kensi et Nell.]

Callen : (à Sam) "Dinner 76" ça vous dis quelque chose?

Sam : Pas la moindre idée.

Éric : (tapant sur son clavier) C'est enterré dans un groupe des dossiers de l'administration. Qu'est le mot de passe?

Kensi : Haruspex 77981.

Nell : Dans la Rome ancienne, un haruspex était quelqu'un qui pouvait prédire le futur en lisant dans les entrailles d'un mouton sacrifié.

Deeks : Vous ne pensez pas qu’Hetty...?

Nell : (allant près de l’écran géant où Éric a mis le dossier) Okay. Et voilà. [Elle met the « Diner 76 » sur un autre grand écran] C'est dans un dossier de surveillance sur Bernstrom Kohl.

Callen : Bernstrom Kohl. Ce gars était un Staatssicherheit.

Deeks : Gesundheit. [Ils le fixent tous.] Attendez juste. Règle de trois. Le troisième sera hilarant, je vous le promets.

Sam : La STASI était la police secrète Est Allemande pendant la guerre froide.

Kensi : La guerre froide est terminée depuis 20 ans.

Sam : Il me semble que cela se réchauffe de nouveau.

Nell : Bernstrom Kohl était une étoile montante dans l'ancienne république soviétique, avant qu'il ne tombe en désaccord avec ses supérieurs. Apparemment, Il a un petit livre noir concernant certain de ses operateurs STASI, connu comme des agents de terrain de différents pays.

Callen : Le petit livre noir que Sébastian Renner prétend posséder.

Nell : Kohl a des preuves sur certains des plus officieux, secret d'albeit, opérations du KGB, des USA et d'Israël, incluant des assassinats.

Éric : C'est encore une belle pagaille.

Kensi : Donc pourquoi Hetty voudrait nous dire que ce livre a des listes de marchands d'armes?

[La porte s’ouvre, Hetty pénètre dans l’OPS center.]

Hetty : Parce que toutes les caractéristiques de ce livre sont hors de notre moyen, Mademoiselle Blye.

Sam : Ou Renner reçu le livre?

Hetty : Bernstrom Kohl échangea l'information à notre ami Renner en échange d'un passage sur vers l'ouest. Renner garda le livre comme "bon de sortie de prison".

Callen : Personne ne voulait prendre le risque que l'information ne soit divulguée, donc ils l'ont laissé seul.

Deeks : Mais pourquoi les allemands reviennent à large maintenant?

Hetty : Ah, on ne sait jamais avec les allemands.

Deeks : (pouffe) Bien.

Éric : Allez les gars. Je suis là.

Hetty : Mes excuses, Herr Beale.

Éric : Danke.

Callen : Où; se trouve Bernstrom Kohl maintenant?

Hetty : Il vit dans ce pays depuis plusieurs années sous le nom de Branston Cole. C-O-L-E. Il a eu une attaque il y'a un moment qui l'a laissé paralysé et tout à fait aveugle. Ca a sans doute contribué à développer Alzheimer, mais c'est discutable. Il attend au hangar à bateaux. [Callen et Sam échangent un regard.] (à Callen) Interroger Cole, voyez si vous pouvez tirer quelque chose d'utile de lui. Oh, la SPA a déplacé les chiens de la propriété de Renner. Peut-être que Mlle Blye and M. Deeks peuvent en tirer plus des recherches.

Kensi : Tout à fait.

Deeks : Ok. [Ils s’en vont tous les deux.]

 

[Hetty se dirige vers la porte.]

Callen : Hetty? [Elle se tourne vers lui.] Avez des détails du plan que vous voulez partager ?

Hetty : Oui. Mon plan est de prévenir un assaut des forces étrangères. Dans notre ville pour trouver ce livre. Je suggère que vous et votre équipe en fassiez de même.

[Callen et Sam échangent un autre regard.]

 

[Kensi et Deeks sont dans la maison de Renner.]

Kensi : Cet endroit ressemble plus à un musée qu’à une maison. Comment veux-tu relaxer dans un endroit pareil?

Deeks : Tu n'aimes pas les antiquités?

Kensi : Antiquités est un juste un mot fantaisistes pour les objets de seconde mains. Pourquoi sur terre voudrais-je avoir quelque chose que quelqu’un d'autre à?

Deeks : Nous ne parlons pas à propos de brosse à dents. Je veux dire, fais un tour. Tu ne trouves plus une habilité comme ça de nos jours. Quelques un de ses objets valent plus qu'une fortune.

Kensi : Raison numéro deux. Pourquoi voudrais d'une table de salon, sur laquelle je ne pourrais pas mettre mes pieds? ou se soucier de ma bière qui laisse des traces?

Deeks : Tu es une fille assez chic.

Kensi : Je le suis.

Deeks : Tu es plus impertinente que chic.

Kensi : Oh, et ces bonnes du yoga que tu matais auparavant-- elles sont chics? [Ironiquement] C'est vraiment dur quand tu es sur la route tout le temps en tournée... avec le groupe.

[Kensi fait semblant de vomir.]

Deeks : Comme j'ai dit, chic.

[Kensi et Deeks fouillent tout en discutant et lisent des documents.]

Deeks : Whoa. Regarde ça. C'est une demande pour un essai clinique centre de cancer d'UCLA Johnson

Kensi : Renner avait un cancer?

Deeks : Je ne sais pas. Si c'était le cas, ce n'était pas bon. Cet essai implique le placement d'implants de chimiothérapie dans le cerveau après l'ablation d'une tumeur métastatique.

[Deeks donne le dossier à Kensi qui jette un coup d’œil.]

Kensi : Cancer du cerveau.

Deeks : Cela expliquerait pourquoi les allemands en avaient après Renner. S’ils ont appris que Renner était mourant, ils ont peut-être eu peur qu'il se débarrasse du bouquin.

Kensi : Et, le vendre aurait fourni à son compagnon Sander Lee un pécule assez sympa.

Deeks : (regardant la maison) Bah, il déjà un pécule assez sympa ici. (regardant Kensi) Peut-être que Renner planifiait de s'en débarrasser comme ça personne ne s'en serait pris à Sander Lee.

Kensi : Et bien , il a attendu trop longtemps.

[Kensi et Deeks prennent leurs armes.]

Deeks : Je pensais que Hetty avait dit que les chiens étaient partis.

Kensi ; Les chiens ne portent pas de chaussures.

Deeks : Et bien ce n'est pas forcement vrai. As-tu déjà vu ces petites bottes pour chien? Qui ont des petites cloches.

Kensi : Shh. Shh.

[Ils regardent dans la direction du bruit. Ils vont dans la pièce arme en mains.]

Homme : Agents fédéraux! Ne bougez pas!

Deeks : LAPD!

Homme : (se rapprochant de Kensi et la gardant en joue) NSA! [Il y a un autre homme derrière le premier, également armé.]

Kensi : NCIS!

Deeks : M-O-U-S-E. [Kensi le fusille du regard.]

[Les hommes sortent leurs badges de la NSA de leurs poches, Kensi montre sa plaque du NCIS.]

Homme 1 : Que faites-vous ici?

Kensi : C'est notre affaire.

Homme 1 : Sebastian Renner était un étranger avec des informations considérées comme des menaces envers les Etats-Unis d'Amérique.

Kensi : C'est toujours notre enquête.

Homme 1 : Pas besoin d'être des adversaires. Apres tout, nous sommes du même côté. Peut-être que nous devrions travailler ensemble. Avez-vous trouvé quelque chose qui pourrait—[Kensi le frappe à l’entre-jambe.]

Deeks : Whoa!

[Kensi frappe l’homme dans la poitrine, il trombe, évanoui. L’autre homme essaye de prendre son arme mais Deeks le met KO.]

Deeks : (en colère) Qu'est-ce que tu fous? Tas entendu le gars. On est du même côté.

Kensi : Je suis presque sûre qu'il n'est pas de la NSA.

Deeks : Presque sûre ? Parce que tu t’es rué sur lui comme si tu frappais dans un ballon vers le goal.

Kensi : Deeks, j'ai eu un pressentiment ils sont des opérations internationales, ok?

Deeks : Un pressentiment? Tu ne frappes pas un gars dans ses "bijoux de famille" sur un pressentiment. Geez. Parfois, je ne te connais pas. [Ils se regardent.] Qui fait ça ?

 

[Hangar à bateaux. Cole est assis dans la salle d’interrogatoires avec Callen et Sam.]

Cole : Cet endroit sent le poisson et l'essence. Je peux entendre l'eau en dessous de moi. Où suis-je bon sang, un hangar à bateaux ?

Sam : Quelque chose du style.

Cole : Réduction budgétaire, ou avez-vous l'intention de de me hacher en " chum "?

Callen : (souriant) On vous juste vous posez quelques questions, M. Cole. Etiez-vous un agent allemand de l'est?

Cole : (avec un petit sourire lui aussi) L'étais-je? Je ne me souviens pas des choses.

Sam : Dites-nous de quoi vous vous souvenez.

Cole : Je me souviens de... San Francisco. 22 novembre, 1989. Ça sentait comme ça. Mais il faisait froid and brumeux. Le dernier jour, j'ai eu des visions et le soleil ne brillait pas beaucoup.

Sam : C'est quand vous avez eu votre attaques?

Cole : Mon attaque fut causée par une perte de sang due à deux trous de balles, avec les compliments d'un agent américain.

Callen : Vous êtes chanceux de vous en sortir.

Cole : (avec un fort accent allemand) Le suis-je?

Callen : Pourquoi ne pas nous parler de Sebastian Renner.

Cole : Il était un antiquaire.

Sam : Etait?

Cole : Il est mort, n'est-ce pas?

Callen : Supposons, il a un de vos livres.

Cole : Je ne me souviens d’aucun livre. Désolé.

Sam : On vous a dit que Sebastian Renner est décédé ce matin. Habituellement, les patients atteints d’Alzheimer ont plus de problèmes Avec la mémoire à court-terme.

Cole : Je ne suis pas médecin.

Callen : Non, vous étiez un espion.

Cole : J’étais beaucoup de choses. Maintenant, je ne suis plus que ça. Vous voulez mon aide? Ainsi soit-il. Nous faisons un marché. Je vous dis ce que vous avez besoin de savoir et, en échange, Sylvia finit ce qu'elle a commencé.

Callen : Sylvia?

Cole : Cette vicieuse se joue trop de moi.

[Sam et Callen échangent un regard.]

 

[Sam et Callen sont sortis de la salle d’interrogatoire et regardent Cole sur l’écran de la pièce d’à côté.]

Callen : Sylvia est un des alias de Hetty.

Sam : Hmm. Il semble qu'il y a beaucoup de vieux dossiers dignes d’un film d’espionnage. Cela, nous n'allons pas en parler.

 

 

[Kensi et Deeks arrivent dans la pièce.]

Callen : Comment vous en êtes-vous sortis? As-tu tiré quelque chose de chez Renner?

Kensi : Ouep. Ces deux gars. [Sur l’écran, elle met la carte de deux agents de la DGSE qui étaient dans la maison de Renner] Ces deux rigolos pendant que nous étions là, ont essayé de nous duper comme agents de la NSA, mais ils sont de la DGSE. Agence de renseignements française.

Sam : Comment as-tu su qu'ils étaient bidons?

Kensi : Leurs accents.

Deeks : Ils n'avaient pas d'accents.

Kensi : Sais-tu la différence entre "French open syllabic organization" et "English trochaic speech patterning", Deeks?

Deeks : Ce vieux truc? [Kensi soupire.]

Callen : Hetty avait raison. Ils sortent du bois.

Sam : Où sont-ils maintenant?

Deeks : Mes potes du LAPD les ont enfermés dans la ville pour quelques heures. Tu sais? Donne-leur un avant-goût de L.A. Ce n'est pas le tour des stars.

Callen : (se servant du café) Ils ont sans doute leur immunité diplomatique.

Deeks : C'est exactement pourquoi nous les avons mis à la prison du comté. Ce qui veut dire, qu’ils seraient chanceux s’ils arrivaient à passer un appel avant Noël.

Sam : (souriant) Hmm.

Deeks : Juste, uh, Ne laissez pas Kensi les interroger.

Callen : Pourquoi ça?

Deeks : A cause du gars sur la droite? Elle l'a frappé dans les "nom de plumes".

Sam : Non.

Deeks : Le mec n'avait même pas dégainé son arme.

Callen : Vraiment?

Kensi : Eh...

Deeks : Mm-hmm. Juste dans "le cul-de-sac". Elle l'a frappé si fort que j'en ai eu mal au ventre.

Kensi : Et quoi? Ça aurait été mieux si je l'avais frappé avec la crosse de mon pistolet dans le visage?

Sam, Deeks et Callen : (ensemble et convaincus) Oui!

Kensi : (surprise) Qu'est qu'il y'a avec les gars et votre... Vraiment, ce n'est pas... Ce n'est pas grave, croyez moi. Et vous les gars, avez-tiré quelque-chose de Cole?

Sam : Pas grand-chose. Il se joue de nous.

Callen : Il ne doit pas être le seul.

Deeks : Que veux-tu dire?

[Callen ne répond pas et parle dans son téléphone.]

Éric : Yo.

Callen : Éric, j'ai besoin de parler à Hetty.

Éric : Elle est encore partie.

Callen : Il y'a combien de temps?

Éric : Uh, il y'a plus ou moins une heure.

Callen : Elle a dit ou elle partait?

Éric : Non. Que je lui ai demandé, elle m'a envoyé me faire voir.

[Callen soupire ennuyé.]

 

[Hetty est dans le bureau de Sander. Elle allait ouvrir un tiroir quand une étiquette de la boutique attire son attention : un gros « Herta » est écrit, bien visible. Derrière il y a un numéro de téléphone. Hetty la fourre dans sa poche en entendant une porte claquer. Elle se précipite dans un placard, où elle s’enferme. Des pas résonnent déjà dans la pièce, des ombres passent devant la porte qui protège Hetty. Au point que celle-ci sort une arme, enlève la sureté à l’instant où la porte du placard s’ouvre...sur Callen et Sam.]

 

Hetty : Merde! [Elle sort du placard.]

Callen : (en colère) Ne me dites pas que vous êtes ici parce que tu veux ta chaise rembourrée.

Hetty : C'était vraiment stupide de votre part M. Callen. Vous vous êtes approché trop près au risque d'avoir votre tête explosée. Vous êtes chanceux, j'ai eu une bouffée d'odeur du parfum frais pour bébé de votre partenaire.

Callen : Vous et moi avons besoin de parler.

 

[A l’armurerie du NCIS. Hetty range son arme.]

Callen : Devons-nous commencer avec Branston Cole ?

Hetty : Non, à moins qu'il vous ait dit quelque chose d'utile.

Callen : Et bien, pas autant que ce qu'il ne m'a pas dit.

[Hetty enclenche la sécurité qui protège les armes, certaines sont très anciennes.]

Callen : C'était vous.

Hetty : Je suis désolée.

Callen : Vous lui avez tiré dessus. C'est votre blessure qui a conduit à son attaque. Ce qui suggère que c'est vous aussi qui l'a gardé en vie.

Hetty : C'est une bien belle théorie, M. Callen.

Callen : Vous l'avez mis sous assistance de vie comme votre mari, sous un nouveau nom, comme vous pouvez encore le travailler pour avoir des informations. Mais seulement c'est difficile, parfois, de dire que quand c'est son Alzheimer, il se joue de vous. [Regardant Hetty dans les yeux] Dites-moi si j'ai tort.

Hetty : [Elle fixe Callen, hésite, regarde ses pieds, regarde à nouveau Callen.] C’est un vieux salaud têtu. Mais je suis patiente. Parfois, il joue des tours, et je l'attrape.

Callen : Et si je ne vous connaissais pas mieux, je dirais Que vous jouez tous les deux le jeu. Vous vous tenez compagnie tous les deux.

Hetty : (souriante, elle s’assoit) Vous tomber dans le mélo M. Callen. Cole est un atout du passé, rien de plus.

Callen : Vous avez lu pour lui pendant des semaines, pendant des années.

Hetty : C'est une couverture. Et il s’amenuise. Il est devenu de plus en plus en retrait ces derniers temps. Comme son état physique s’aggrave, son esprit également.

Callen : Il veut bien coopérer. A condition que vous soyez d'accord de terminer ce que vous avez commencé.

Hetty : Oh...

Callen : Il vous l'a déjà demandé auparavant?

Hetty : Il y a à peu près un an. Prendre la vie de quelqu'un dans l'idée du devoir est quelque chose. Je lui ai déjà tiré dessus.

Callen : Deux fois.

Callen : Je ne suis pas une meurtrière, M. Callen. Mais je peux être une hypocrite. Le destin de Cole est maintenant entre des mains de quelque chose de beaucoup plus grand que moi.

Callen : Je ne pense pas qu'il y ait pareil personne. [Hetty le remercie avec un regard et un sourire puis baisse les yeux. Il commence à partir.] Et à propos de ce petit livre des secrets

Hetty : Je ne pense pas qu'il sache ce que Renner a fait avec.

Callen : (s’arrêtant devant elle) Est vraiment aussi important que tout le monde pense ?

Hetty : De ce que je sais, cela pourrait endommager de façon considérable les relations internationales et mettre en danger la sécurité politique de notre pays.

Callen : Comme quoi? Assassinats dictés?

Hetty : Utilisez votre imagination.

Callen : Etes-vous dans le livre?

Hetty : Au plus vous restez dans ce business, M. Callen, au plus votre placard ressemble à un ossuaire. Le mien, j’ai bien peur, est en train de commencer à ressembler aux catacombes de Paris.

Callen: En parlant de placard, avez-vous trouvé quelque chose avant de vous esquiver chez Sander Lee?

Nell : (les interrompant) J'ai trouvé quelque chose! (Ils la regardent tous les deux.) Je suis désolée. Je ne voulais pas vous interrompre. Je voulais juste...

Hetty : Non, non dites-nous ce que vous avez trouvé, Nell.

Nell : Donc, Je feuilletais le manuscrit, en pensant qu'il y'aurait quelque chose de cacher dans ceux-ci.

[Hetty et Callen se regardent.

Près des bureaux des agents, Nell a affiché un manuscrit sur l’écran. Hetty, Éric, Sam et Callen sont avec elle.]

Nell : Il m'a fallu un certain temps à comprendre ce qu'ils étaient, parce qu'ils étaient écrits en Boustrophedon.

Sam : Aller-retour, comme les sillons de labour tracés par des bœufs.

Nell : Exactement. Vieille école tout ça.

Hetty : Uh, Mlle Jones, au fait.

Nell : Bien. Donc, le manuscrit est légitime. Ce n'est pas un livre. C'est un signet. Éric.

[Éric met à l’écran le marque page.]

C’est de l'argent sterling et c'est très rare. Vous voyez? Il a une loupe de verre en compartiment qui contient un dictionnaire miniature. C'était un objet très utile à l’époque de l'Angleterre victorienne. C’est alors que Éric et moi-même avons commencé à parler à propos de Sherlock Holmes et de manteau vintage et de poignards. Et d'ailleurs, C’est Éric qui l'a trouvé.

[Éric met à l’écran une page du dictionnaire.]

Éric : C'était la ponctuation qui était l'astuce. Il y'en a juste beaucoup, trop. Et c'est là que notre discussion m'a laissé penser à propos des jeux d'espions de la guerre froide, et ensuite cela à tilter.

Callen : Miniature.

Nell : Exactement! Renner a utilisé les techniques de la vieille école pour cacher ses biens à la vue de tous. Il fut jugé négligeable par tout le monde.

Éric : J’ai essayé d'agrandir une des miniatures. (Il le met à l’écran.)

Callen : Donc nous l'avons trouvé?

Nell : Oui et non. J’analyse toujours la chose, mais, pour la majorité, ça ressemble plus à beaucoup d'informations désuètes de la guerre froide, dont la valeur est ce qui est le plus suspect. Mais cela pourrait signifier que l'information que nous recherchons est cachée d'une manière similaire.

Sam : Vous avez vu combien de livres il y'a avait chez Renner? Cela nous prendrait des années pour inspecter toutes leurs miniatures. C'est comme attrapé des mouches--

Hetty : Oui, Mr. Hanna, ce serait un travail intensif, pour dire d'une façon modeste. Mais nous devons faire quelque chose. Washington est en train d'avoir de fortes émotions suivant le nombre d'agents étrangers qui ont fait une descente dans notre ville.

Callen : Et si on mettait un mot dans la rue en disant que le livre Cole avait été trouvé et qu'il est en vente? Nous pourrions utiliser quelques-unes de ces informations comme preuve pour aider à renvoyer les agents qui se sont infiltrés dans la ville dans leur pays.

Sam : Ca ressemble à un plan. Faisons-le.

[Hetty fait signe qu’elle approuve.]

 

[Callen travaille à l’armurerie, Sam le rejoint.]

Sam : Je l'ai placé sur les Coréens et les Arméniens que le livre est en vente. T'as pas parlé à ton pote Arcady? Il pourrait être utile dans la propagation de la parole.

[Callen semble ne pas vouloir regarder Sam.]

Sam : (inquiet) Qu'est-ce qu'il y'a?

Callen : C’est Hetty.

Sam : A propos d'elle?

Callen : Quelque chose ne va pas. Je serai bientôt de retour. [Il sort et croise Kensi et Deeks qui arrivent.]

Kensi : Qu'est ce qui se passe?

Sam : Pas sûr.

 

[Callen cherche Hetty partout.]

Callen : Nell, avez-vous vu Hetty?

Nell : Elle était dans son bureau. [Le bureau est vide.]

Callen : (criant d’en bas) Éric?!

Éric: Yeah?

Callen : Hetty est en haut?

Éric : Yeah, elle y était... [Il regarde là où il l’a vu pour la dernière fois, elle n’est plus là.] Je suis désolé. Elle ressemble à un ninja.

 

[Gradins du Hollywood Bowl. L’endroit est désert, mais un homme est assis, révolver à la main. Il se lève prestement quand Hetty arrive à sa hauteur. Souriants, ils se serrent la main.]

Hetty : Mattias.

Mattias : Herta. J'espérais que vous trouviez mon mot. Vous semblez en forme.

Hetty : Assez bien, tout comme vous.

Mattias : Trop de soleil, trop de vins, trop de nourriture. (Il rigole.) Mais je n’ai pas pensé que l’un d’entre-nous vivrait si longtemps, alors, qui s'en soucie? Si vous déposez votre armes, cela nous épargnerait à tous les deux la vulgarité de devoir vous fouiller.

[Hetty sort son arme de sa poche et la donne à Mattias, qui semble incrédule, il s’attendait à une autre réaction.]

Hetty : C'est comme cela de nos jours. Et même alors, c'est surtout pour le gangster de petite zone

Mattias : (lui désignant un siège) S'il vous plait, prenez place.

Hetty : (s’asseyant) Merci.

[Mattias s’assoit également et les deux soupirent.]

Mattias : C'est une honte n'est pas ? Tellement de crimes et corruptions.

Hetty : Qu'est-il advenu de l'honneur des voleurs, hein?

Hetty : Ou le respect de ses aînés, sans parler de ses ennemis.

Mattias : Chevalier.

Hetty : En effet. [silence]

Mattias : Etes-vous déjà venue ici?

Hetty : Parfois.

Mattias : Rappel moi le premier moment où on s'est rencontré.

Hetty : Vienna, the Volksoper Wien.

Mattias : J'ai loupé le seconde acte de “Die Landstreicher” à cause de vous.

Hetty : (avec un petit sourire) J'espérais que vous resteriez. Evidemment vous auriez encore manque le deuxième acte. Je n'ai pas le livre, Mattias.

Mattias : Je ne m'en soucie plus dorénavant. Pour être honnête, je commence à penser que ce n'est rien de plus qu'une légende. Non, je ne veux pas le livre. (la regardant dans les yeux) Je veux Cole.

Hetty : Il est mort.

Mattias : Herta.

Hetty : Je l’ai tué moi-même.

Mattias : C'est en partie vrai, mais nos agents ont confirmé qu'il a survécu dans sa course avec le gartenzwerg.. avec toi. Cole a été plus chanceux. Je sais seulement que la plupart ne le sont pas.

Hetty : Excepté nous. Vous devez savoir que je ne vous dit pas tout.

Mattias : Je ne vous aurais jamais insulté en suggérant que vous le feriez. Je suis confiant, cependant, que vous vous donnez plus envers vos personnes qu'un homme paralysé, vieux et aveugle. C’est pourquoi je suis certain qu’ils seront prêts à l'échanger contre vous.

[Hetty sourit puis soupire.]

Mattias : Je suis désolé pour l'ampleur du désastre que cela cause mais nous devrions y aller. [Il se lève et montre la direction à Hetty.]

Hetty : Je ne vais nulle part. Vous allez juste me descendre juste ici.

Mattias : Herta, je pourrais vous embrasser, juste à l'instant si je n'avais pas peur que vous ne creviez mes yeux et me mordre dans la gorge si je suis trop proche. Est le fait que vous êtes tellement provocante, surtout quand on sait de quoi je suis capable. Vous êtes vraiment la dernière d'une espèce en voie de disparition.

Hetty : Nous sommes deux, Mattias.

Mattias : Nous le sommes, n'est-ce pas ? Ce n’est pas juste ma Nostalgie kodachrome pour une époque plus simple?

Hetty : Le monde a changé... et notre business a changé et pour une fois, j'ai vu assez d’effusions de sang au nom du Roi et du Pays.

Mattias : Laissez-moi faire appel à vous, comme survivante de la guerre froide tout comme moi. Que représente Kohl pour vous? Personne ne s'occupe d'un traitre paralysé et aveugle. Certes, vous n'avez pas développé des sentiments pour le vieil homme? Vous savez, il est celui qui vous a donné le surnom Gartenzwerg.

Hetty : (rigole) Des Bâtons et des pierres...

Mattias : Malheureusement, maintenant nous parlons à propos d'armes... et couteaux. Vous êtes tout aussi précieuse pour moi morte, ma chère. J'enverrai à votre peuple une oreille, peut-être un doigt, ils mettront la main sur Kohl avant que votre corps ne soit froid.

Hetty : Pourquoi maintenant? Qui se soucie de l'incohérence des balbutiements d'un vieil homme?

Mattias : Certaines blessures durent toute une vie. La trahison est l'un deux. Je suis désolé, Herta. Je trouve ça dur de faire ca moi-même. Mais à la fin, Nous mourrons seuls.

[Il pointe son arme sur la tête d’Hetty et parle à Callen qui descend lentement.]

Mattias : (fort) Encore un pas, et elle meurt.

Hetty : (criant) Ne l'écoutez pas. Je lui ai déjà dit de me tirer dessus, et je suis toujours là.

[Un coup de feu claque, une balle touche le bras de l’espion et fait voler son pistolet. C’est l’œuvre de Sam et de son fusil à lunette. Deeks et Kensi remontent les gradins, s’assurant que tout va bien.]

Kensi : RAS.

Deeks : RAS. 

Sam : RAS.

[Callen fouille Mattias, sans égard pour sa blessure ; il trouve une deuxième arme et il le menotte.]

Hetty : Je suppose que la différence entre nous, Mattias. Malgré mes meilleurs efforts de les garder à bonne distance... Je ne suis pas seul dans ce cas.

Mattias : “SchweinePriester”.

Deeks : “Gesundheit”.

Callen : Bien vu.

 

[Au QG, Sam, Kensi, Deeks et Callen travaillent à leurs bureaux, quand Éric s’approche, rejoignant Nell.]

Éric : So, le FBI et la vrai NSA ont été mis au courant, ainsi que les autres agences. J'espère que nous pourrons compléter le reste des agences étrangères qui trainent encore en ville.

Nell : Que va-t-il arriver à Matthias?

Callen : Et bien, s’il est chanceux, il sera renvoyé en Allemagne en sauvant quelque tête d’espion dans l’échange.

Deeks : Avec les petits amis français de Kensi. [Kensi sourit.]

Éric : Et à propos de ce livre?

Sam : Si il caché parmi les manuscrits de Renner ou dans sa bibliothèque, Ca pendra du temps avant de le trouver.

[Hetty fait son entrée.]

Hetty : Néanmoins, ce fut un travail bien fait. La Sécurité nationale est un marathon, pas un sprint. Je propose que vous alliez vous reposer. Le jeu reprend de nouveau demain.

[Elle sourit à tout le monde et s’en va.]

Deeks : Et bien, je ne sais pas votre opinion les gars, mais je prendrais bien un verre. [Il ferme son ordinateur.]

Kensi : Tu ferais mieux de dormir une bonne nuit.

Sam : Ne laisse pas l'alcool devenir ta façon de gérer le stress.

Deeks : Je ne suis pas un mec nerveux, mais j'offre.

Sam : Alors j'en suis.

Éric : Moi aussi. [Deeks est content.]

Kensi : Nell, ça veut dire que tu dois venir aussi. Je ne peux pas être la seule femme dans ce groupe.

Nell : (manifestement ravie) Vraiment ? Okay.

Sam : (à Callen) Il semblerait que tu sois désigné conducteur, G.

Callen : Super. [Il ferme son ordinateur.] Et bien si c'est le cas, je vais m'arranger avec Hetty et voir si elle veut former ce magnifique club des sept.

 

[Hetty est à son bureau, elle prend la carte d’identité de Sylvia.]

Hetty : Je vais bien, M. Callen. Merci de ne pas me demander.

Callen : Juste voir si vous voulez vous joindre à nous pour boire un verre. Je conduis.

Hetty : Une plus généreuse, invitation que je ne peux imaginer, mais j'ai des plans.

Callen : (un peu inquiet) Hetty, vous vous foutez de moi. Vous avez failli être tuée aujourd'hui-- qui mériterait un cocktail de célébration avec vos sauveurs?

Hetty : J'ai une dernière obligation.

Callen : Pardonnez-moi Si je suis, uh, hésitant de vous laisser hors de ma vue.

Hetty : Si vous voulez savoir, je vais aller voir Branston Cole.

Callen : Qui signifie quoi exactement?

Hetty : Je n'en suis moi-même pas sûr. Mais il y'a quelque chose que je dois faire seule cette fois-ci. Et je suis sûr que vous respectez mon choix. Bonne nuit... M. Callen.

 

[Hetty s’en va. Callen la suit des yeux, la regarde franchir la porte, disparaître. Il fixe encore l’endroit un moment, le visage triste et inquiet...

 

Hetty arrive dans la résidence où Cole est soigné. Les couloirs sont déserts, il n’y a aucun bruit. Quand elle ouvre la porte de la chambre de l’allemand, un hoquet d’horreur lui échappe : la femme qui s’occupe de Cole est par terre, le corps criblé de balles. Sur le lit, Cole est mort, lui aussi abattu. Hetty fait demi-tour, referme la porte sur l’affligeant spectacle, et s’immobilise. Elle est bouleversée. L’image se fige sur sa douleur.]

 

 (classical music plays softly)

 

[In a high price house. On a desk, many thick files, a bottle of wine. A man is looking down at the lights of the town, out of large windows; the view is amazing. Another man comes into the room.]

 

 

BOYLE : The plane is ready when you are, Mr. Renner. I've loaded your luggage.

 

 

RENNER : I'll be down in a few minutes.

 

 

BOYLE : Okay. [He walks out]

 

 

(music continues)

 

[Renner looks at his watch, finished his glass of wine, puts a file in a leather satchel, leaves a room where a nice fire in the chimney is almost the only light].

 

 

 

(dramatic classical music plays). [Sunrise; a car is going down a hill. Boyle is driving, Ms Renner sits in the back, reading a newspaper. He pushes a knob.](music stops)

 

 

RENNER : Forgive me, Boyle, but it's just too early for Mahler.

 

 

BOYLE : Of course, sir.

 

 

(shot fires) [A hole appears in the windshield, then blood]. (Tires screeching). [The car stops suddenly].

 

 

RENNER : Boyle? [no answer, but the blood shows Boyle will maybe never speak anymore].[Ms Renner throws himself of the car]

 

(tires screech) [A SUV is coming; it stops near Ms Renner's car. With his satchel in the hands, Mr Renner runs as far as he can. Two men in suits pursue him, catch him seconds later. He faces them, trying to use the satchel as a shield. They take aim at him.].

 

RENNER : No! No!

 

(Gun shots). [Mr Renner falls down. In his back, a relay station. They were just above the Hollywood letters].

 

 

-------------Zapping------------

♪ NCIS: LA 2x09 ♪ Absolution [Original air date on November 16, 2010].

-------------zapping------------

 

[OPS center : Nell is working on a metal box. Eric stops, puzzled.]

 

ERIC: What ya got there, Inspector Gadget?

 

NELL : (chuckles) It's an electric potential sensor that can read changes in the electric field caused by your heartbeat. [She aims with the sensor right Eric's chest , where a red ring appears].

(sensor whirring). [she looks at the sensor, then to Eric who had put his hands-up] : Hmm. 72 beats per minute. That's pretty normal.

 

ERIC [putting his hands down] : So it's, like, a high-tech stethoscope?

 

NELL : Uh, no. Way more than that. Okay. Everybody's heartbeat's unique, right? Like a finger or voice print. Well, this sensor is strong enough to pick up, record, and analyze your specific cardiac cycle from a considerable distance. Even through walls.

 

ERIC : Wow. I thought Mr. Microphone was fun.

 

NELL [puzzled]: I'm sorry. Who?

 

ERIC : It was this toy microphone that amplified your voice through the radio. [Nell is still puzzled] Never mind. [He gives her a paper]. I got a "Person of Interest" alert. The name "Sebastian Renner" popped up on a police report.

 

NELL : Hmm. I didn't flag him. [She gives him back the paper].

 

ERIC : Neither did I.

 

HETTY [appearing in her usual all of a sudden way]: But I did.

 

[Nell aims her with the sensor; Eric frowns slightly, but Hetty smiles]

 

NELL :  Whoa! Would you look at that? 46 beats per minute? That's incredible.

 

HETTY : Ah, that's Tsa lung Trul khor. Tibetan yoga.

Sebastian Renner is a Swiss antiques dealer.

 

ERIC : Not anymore. He was just found murdered near the Hollywood sign.

 

HETTY : You'd best rally the troops.

 

[In Los Angeles, wearing shorts and sleeveless T-shirt, Sam is running (Sam panting). A car slows up by him]

 

CALLEN [driving the car] Would it help if I sing the theme from Rocky?

 

SAM [stops running] (laughs) : Where the hell have you been?

 

CALLEN : Waiting for you.

 

SAM : We were supposed to meet, go for a run before work.

 

CALLEN [getting out of the car] : We were supposed to meet at Patrick's Roadhouse for breakfast.

 

SAM [taking a glance at his watch]: If we try, we can still get in a couple miles.

 

CALLEN : No way. I just had pigs in a blankets and waffles. I'm a little bit full.

 

SAM : You're full of something, and it ain't waffles.

 

CALLEN : You know what? [(phone ringing) in his pocket] You get a little grumpy when your blood sugar gets low. [Answering the phone call] Yeah, Eric?

 

ERIC ‘s voice : Hetty wants everyone in Ops-- ASAP.

 

CALLEN : All right. We're on our way.

 

[Sam understands and turns round the car to get in]

 

CALLEN :Hey, hold on. Let me get a towel.

 

SAM : For what?

 

CALLEN : This is nice leather.

 

SAM (chuckles): It's nice. [Already sit down in the car; he rubs his back on the nice leather…]

 

[In a park, young girls are practising yoga. Deeks is rolling a mat; Kensi is coming, a little upset]

 

DEEKS : Morning, Sunshine.

 

KENSI : You lied to me.

 

DEEKS ; Not so much as a "hello"? I even called you "sunshine."

 

KENSI : You said you needed a ride.

 

DEEKS : I do.

 

KENSI : Deeks, I'm your partner, not your chauffeur. I thought you were having car trouble.

 

DEEKS : Nope.

 

KENSI : What are you doing?

 

DEEKS [taking a glance at some girls] : Hmm?

 

KENSI : Please tell me you didn't...

 

DEEKS : What?

 

KENSI [noticing the girls, who watch them]: Oh, my God. You're using me as bait?

 

DEEKS : No, no, no. Not bait. As a wingman. This is what partners do.

 

KENSI : Do you know how utterly unprofessional this is?

 

DEEKS : You should tell me.

 

KENSI : I don't... What?

 

DEEKS : Don't stop. Keep telling me. Get mad. Act like we're breaking up. Get angry. Ready? Go.

 

KENSI : Are you for real?

 

DEEKS : Partner?

 

KENSI : (sighs)[shaking head].[She ‘s going].

 

DEEKS [loudly] : Oh, come on! Sunshine! Wait!

 

KENSI [facing him]: Stay away from me. It's over! I can't do this anymore! [Once more, she goes]

 

DEEKS : Listen, I-I'm sorry. All right? I know that it's tough when I'm on the road all the time, [looking at the girls who are carefully listening] touring with the band.

 

KENSI [facing him] : I don't care about that! You-You cheated on me. [Girls are interested] With my brother! [Girls are disappointed…so Deeks].

 

DEEKS [chuckling]: That's just mean.

 

[OPS center – Renner’s file is on a large screen]

 

HETTY : In addition to his antiques dealership, Sebastian Renner was also a known black marketeer. Eric?

 

 (computer trilling)[A video appears on the screen. Ms Renner is running and shot by a man]

 

ERIC : The footage you're watching is from a surveillance perimeter around the Hollywood sign. Police are still on the scene.

 

SAM : That looks like an execution.

 

KENSI ; Yeah. But they're also looking for something. [Ms Renner and his satchel are searched by the shooter and the other man, the one who (we know) shot  also Ms Renner].

 

NELL [reading a file]: Apparently, Renner used his antiques dealership as a front for brokering some major arms deals. He specialized in weapons, salvaged and stolen, following the breakup of the Soviet Union.

 

HETTY : Finding out who killed Renner is secondary to finding his little black book of weapon buyers and sellers. Every spook and his brother will be looking for that intel and we need to find it first.

 

DEEKS : What if the men who killed him already have it?

 

HETTY : Then we get it back. [She’s already going].

 

CALLEN : Hold on a second. That's it? End of discussion?

 

HETTY : The clock is ticking, Mr. Callen, and you're already late for the party. Any further queries will have to wait. [She’s gone].

 

CALLEN : Okay, Deeks and Kensi, see what you can find out from LAPD at the crime scene. Sam and I will take Renner's house.

 

[Deeks and Kensi move slowly, keeping an awkward silence]

 

CALLEN: Problem?

 

DEEKS : No. We're cool.

 

KENSI [walking away, mumbling] :Yeah. You're so the opposite of cool.

 

DEEKS [following] : So, that's hot? So, you think I'm hot. [He shrugs]. That's cool.

 

[A small park, people sitting on benches, or walking, a pond with a fountain, a table under a parasol, flowers, trees].

[Hetty comes into a small building, a security guard is watching the entrance]

 

HETTY : Morning, Ray. [She’s reading a newspaper; the guard smiles, obviously he knows her].

 

[A room, a Lady with a stethoscope, an old and blind man in a wheelchair]

 

LADY : Guess who's here to see you, Mr. Cole?

 

COLE [with difficulty]: J. Edgar Hoover?

 

LADY:  We don't usually get to see you during the week, Mrs. Cole.

 

HETTY : I thought I'd surprise my husband.

 

-------------------zapping------------

 

[Sam and Callen are at Renner’s place, which has been messed up]

 

SAM : Looks like we beat LAPD here, but somebody else beat us.

 

CALLEN : Hetty's right. We're late for the party.

 

SAM : Huh. [He looks at the bottle of wine] Mouton Rothschild Pauillac. Very fine. Very rare. (inhales) Very expensive.

 

CALLEN : Maybe Renner was celebrating.

 

SAM : Maybe Sebastian Renner knew his time was running short, and he wanted to enjoy it while he could.

 

CALLEN [pointing a furniture] : What's missing from this picture?

 

SAM: Printer, scanner, cables...No computer. Speaking of missing pictures...[He picks up and shows an empty frame].

 

CALLEN [looking around, he sees frames, with persons’ photos]: Renner had no family...these must all be friends or associates.

 

SAM [brandishing the empty frame] : Who was in this one?

 

CALLEN [he takes another frame] : This guy's in a lot of 'em. Probably a pretty good place to start.

 

 (keypad beeping)[Callen takes a picture of the man on the photo, Sam is dialling]

 

ERIC: Yo.

 

SAM : Eric, Callen's sending you some photographs. Need to identify the players. Concentrate on the guy in his 30s who appears the most.

 

ERIC: Got it.

 

(rustling)[very fast, both agents takes their guns out].

 

CALLEN : Federal agents! Come out with your hands up.

 

[two German shepherds appear]  (dog growling)

 

SAM : Hey, boys. How you doing?

 

 (barking) [The two dogs bark loudly at them]

 

CALLEN: Easy. Easy.

 

SAM : You're good doggies, aren't you? Yes, you are.

 

 (dogs barking)

 

Sam and G. run as fast as possible to the gate of the property and jump above it in time]

 

SAM : How those waffles feeling right about now?

 

CALLEN : Ha. You know what's really funny? Your car's still in there. [He points the car, still with the threatening dogs…and walks away]

 

[Deeks, Kensi, Nell and Eric. OPS center.]

 

NELL : What's all this?

 

DEEKS : Sebastian Renner's personal effects.[the paper he was reading in the car, etc] LAPD was more than happy to hand the case over. Two less homicides for them to worry about.

 

ERIC : No cell phone or laptop?

 

KENSI : Well, if he had either, the killers must have grabbed them.

 

ERIC : All right. I'll see what I can find in terms of phone, Internet, and travel records. [he uses straight away the computer he has in the hands].

 

NELL : Who's this with Renner? [She holds a photo with Renner and the young 30s man]

 

ERIC : That's Sander Lee. Callen and Sam found his photo all over Renner's house. He's an interior designer here in L.A. He's got a store in the Pacific Design Center.

 

DEEKS : Could be a client.

 

KENSI : Or something a little more significant. [Looking at Eric] Call Callen. Let him know what you found. Where's Hetty?

 

NELL : Uh, she left right after this morning's briefing. She didn't say where she was going.

 

Cole’s residence. Hetty is sitting on a bench, Cole in his wheelchair, listening to her. She’s reading out loud]

 

HETTY: "They wrenched "the flag furiously from the dead man, and as they turned again, the corpse swayed forward with bowed head. One arm swung high, and the curved hand fell with heavy protest on the friend's unheeding shoulder."

 

[Hetty closes the book, Cole sighs]

 

HETTY : Sebastian Renner passed away this morning. Do you remember him?

 

COLE : He was an antique dealer.

 

HETTY : Among other things. I believe you had dealings with him in the past.

 

COLE : Did I?

 

HETTY : Yes.

 

COLE : I don't remember.

 

HETTY : He helped smuggle you into this country. In exchange for a book you gave him. A book in which you'd recorded information about your past.

 

COLE : I told you, I don't remember.

 

HETTY : Well, Renner's dead. He was murdered. You could be next...if they were to find you.

 

COLE : I would prefer death over this. That should come as no surprise to you, Sylvia.

 

HETTY : No. What surprises me is that you haven't asked who killed Renner or why.

 

COLE : Perhaps I don't care.

 

HETTY : Or perhaps you know who killed him, and perhaps you remember a lot more than you're telling me.

 

COLE : I am tired of being your prisoner! [very loudly] Enough! (shouting in German) : SchweineHund ![he struggles]

 

LADY [hurrying] : It's okay, Mr. Cole. [She pats him gently, he calms down] Just try and relax. [looking at Hetty] : I'm sorry.

 

HETTY : Oh, it's quite all right. He gets...frustrated sometimes.

 

LADY : Yes.

 

HETTY : Perhaps it's best if you go back in and rest, dear. I'll come back later. [She pats him on the leg, he has a fit of bad temper, she sighs].

 

COLE : GartenZwerg.

 

 

[Callen and Sam are walking in the Pacific Design Center.]

 

CALLEN: Place is enormous.

 

SAM : One point two million square feet. You've never been to the Pacific Design Center? Look who I'm asking. Of course you've never been here.

 

CALLEN : That's a nice chair.

 

SAM : What do you know? You don't own any furniture.

 

CALLEN : Well, maybe it's time I get a chair.[He’s still looking around].

 

SAM: (laughs) [He looks at the price of the chair]

CALLEN: Yeah?

SAM: (clears throat) : $3,700.

 

CALLEN : I don't need a chair.

 

Sander Lee Design.

 

This is it through here.

 

[The door of Sander’s shop is open, Sam and Callen heard voices, they stop, worried]

 

MAN 1: How much did you give him?

 

MAN 2: The usual. He must have had a reaction.

 

MAN 1: Pulse is weak.

 

[Sam and Callen don’t waste more time, they dash into the place].

 

SAM : Federal Agents!

 

[Men shoot, the agents shoot, and kill one man]

 

MAN 1 : Go! Go! Quickly! [2 men run]

 

SAM [leaning over Sander sitting unconscious] : He's got a pulse, but it's thready.

 

CALLEN : Stay with him. [He runs].

 

[One of the men wait for Callen and shoots at him. Callen manage to wound him. He kept his gun in his hand, tho].

 

CALLEN : Drop the gun!

 

[Callen moves close to the man, very carefully].

 

CALLEN : Drop it! Now!

 

MAN : Okay. Okay.[He pushes his gun away from him. He ‘s unable to move, Callen tries to find the other man, but it’s too late, he’s gone. He goes back in the shop].

 

[Sam is kneeling, he gives a cardiac massage to Sander].

 

SAM : Did you get them?

 

CALLEN : One of 'em got away. Other one needs an ambulance. He gonna make it?

 

[Without answering, Sam stares at his partner].

 

---------------zapping------------

 

[Callen and Sam are back in the OPS center. They almost collid with Kensi].

 

KENSI : What's the word on Sander Lee?

 

CALLEN : The guy's in critical condition. Would have been dead if it hadn't been for Sam keeping him alive until the paramedics got there.

 

SAM : He's not out of the woods yet. Doctors say they pumped him full of a narcosynthetic.

 

KENSI : A truth serum?

 

CALLEN : Yeah. They must have thought he knew where Renner's black book was.

 

SAM [sitting down at his desk] : This little black book of Renner's must be one hell of a read, if they're willing to keep killing people to get it.

 

CALLEN [speaking to Kensi] : You find anything?

 

KENSI : Yeah. I talked to Sander's parents. They're flying in from Phoenix to be with him. They did confirm that he'd been in a relationship with Sebastian Renner for the past several years.

 

[Eric is running down the stairs].

 

CALLEN : Eric, what have you got?

 

ERIC : I managed to I.D. the two men from Sander Lee's.

 

[He puts 2 pics on a screen, Deeks gets closer]

 

ERIC : The dead guy is Dars Talbert. The guy you wounded and captured is one Frederick Harbin. They're both in the country as agricultural attachés, but are suspected of being BundesNachrichtenDienst.

 

DEEKS : Gesundheit.

 

SAM : BND is the German Federal Intelligence Service.

 

CALLEN : AKA spies.

 

KENSI : This just became an international incident.

 

DEEKS : You know, there is a bright side to this. If these guys were interrogating Sander Lee, it suggests they're still looking for something.

 

KENSI: He's right. Maybe they didn't find Sebastian Renner's little black book.

 

DEEKS : Then again, they are Germans. They could be just getting their kink on.

 

ERIC : I'm half German.

 

SAM : I can see that.

 

NELL [she appears]: Director Vance is on the phone. [And disappears].

 

CALLEN [spreading his arms] : Where the hell is Hetty?

 

HETTY [She scares Deeks and Eric by appearing] : I'm right here. Let me deal with the director. I'll meet you in Ops in ten minutes. Eric, access a file that's called "Dinner Party 76." The password is Haruspex 77981.

 

[Upstairs, Callen, Deeks, Sam, Kensi and Nell].

 

CALLEN [Asking Sam]: "Dinner 76" mean anything to you?

 

SAM : Not a clue.

 

ERIC [Typing on his keyboard] : It's buried in a bunch of administration folders. What's that password code?

 

KENSI : Haruspex 77981.

 

NELL: In ancient Rome, a haruspex was someone who could predict the future by reading the entrails of sacrificed sheep.

 

DEEKS : You don't… think…that… Hetty...?

 

NELL [Heading to the large screen where Eric puts files]: Okay. Here it is. [She puts the “Diner 76” file on another large screen, a pic and written details]. It's a surveillance folder on Bernstrom Kohl.

 

CALLEN: Bernstrom Kohl. Guy was Staatssicherheit.

 

DEEKS : Gesundheit.[They all stare at him]. Just wait for it. Rule of threes. Third one's gonna be hilarious, I promise you.

 

SAM: STASI were the East German Secret Police during the Cold War.

 

KENSI : Cold War ended 20 years ago.

 

SAM : Seems to me like it's heating up again.

 

NELL : Bernstrom Kohl was a rising star in the former Soviet Republic, before running into some trouble with his superiors. Apparently, he had a little

black book on some of his fellow STASI operatives, as well as foreign agents from numerous countries.

 

CALLEN : The little black book Sebastian Renner ostensibly possessed.

 

NELL : Kohl allegedly had evidence of some of the more infamous, albeit secret, operations of the KGB, the U.S. and Israel, including assassinations.

 

ERIC : That's one hell of a dinner party.

 

KENSI : So why would Hetty tell us this book has a list of arms dealers?

 

(door opens)Hetty is coming into the Ops.

 

HETTY : Because the actual specifics of the book are way beyond all of our pay grades, Ms. Blye.

 

SAM : Where did Renner get the book?

 

HETTY : Bernstrom Kohl traded the information to our friend Renner for safe passage to the West. Renner kept the book as a sort of get-out-of-jail-free card.

 

CALLEN : Nobody wanted to risk that information leaking out, so they left him alone.

 

DEEKS : So why did the Germans whack him now?

 

HETTY : Ah, one never knows with the Germans.

 

DEEKS :  (scoffs) Right.

 

ERIC : Come on, guys. I'm right here.

 

HETTY : Apologies, Herr Beale.

 

ERIC : Danke.

 

CALLEN : Where's Bernstrom Kohl now?

 

HETTY : He's been living in this country for several years under the name Branston Cole. C-O-L-E. He had a stroke a while back which left him crippled and legally blind. It may have contributed to early onset Alzheimer's, but that's debatable. He's waiting in the boatshed. [Callen and Sam exchange a glance].

[To Callen] : Question Cole, see if you can get anything useful out of him.

[She steps up to the door, then turns right round] : Oh, I had animal control move the dogs from Renner's property. Perhaps Ms. Blye and Mr. Deeks can have a more thorough search.

 

KENSI : Absolutely.

 

DEEKS : Done. [Both walk out].

 

[Hetty is stepping to the door].

 

CALLEN : Hetty? [She turns to him, they’re face to face] Do you have some sort of plan you want to share?

 

HETTY : Yes. My plan is to prevent an onslaught of foreign operatives from tearing this town apart looking for that book. I suggest you and your team do the same thing.

 

[Callen and Sam exchange another long glance].

 

[Deeks and Kensi are in Renner’s house].

 

KENSI : This place looks more like a museum than a house. How can you even relax in a place like this?

 

DEEKS : You don't like antiques?

 

KENSI : Antique is just a fancy word for second-hand goods. Why on earth would I want something that somebody else had?

 

DEEKS : We're not talking about a toothbrush. I mean, look around. You don't find craftsmanship like this anymore. Some of this stuff is probably worth a fortune.

 

KENSI : Reason number two. Why would I want a coffee table I can't put my boots on, or have to worry about my beer leaving a ring?

 

DEEKS : You are a classy chick.

 

KENSI : I'm classy.

 

DEEKS : You're more sassy than classy.

 

KENSI : Oh, and those yoga bunnies you were perving on before--they're classy? [Ironically, smoothly]: It's really hard when I'm on the road all the time touring...with the band.

 

 (gags)[Kensi looks like she vomits]

 

DEEKS : Like I said, classy.

 

[Kensi and Deeks are looking around while speaking, and both read some papers].

 

DEEKS: Whoa. Check this out. It's an application for a clinical trial at UCLA Johnson's Comprehensive Cancer Center.

 

KENSI: Renner had cancer?

 

DEEKS: I don't know. If he did, it wasn't good. This trial involves placing experimental chemotherapy wafers into the brain after the removal of a metastatic tumor.

 

[Deeks gives the file to Kensi, she has a quick look]

 

KENSI : Brain cancer.

 

DEEKS : Might explain why the Germans came after Renner now. If they learned that he was dying, maybe they were afraid that he was going to unload the book.

 

KENSI : Well, selling it would provide his companion Sander Lee with a pretty nice nest egg.

 

DEEKS [looking around] : Well, he's already got a nice little nest egg here. [Looking at Kensi] : Maybe Renner was planning on getting rid of it so that no one would come after Sander Lee looking for it.

 

KENSI : Well, if so, he waited too long.

 

 (thudding)[Kensi and Deeks takes their guns].

 

DEEKS : I thought Hetty said the dogs were gone.

 

KENSI : Dogs don't wear shoes.

 

DEEKS : Well, that's not necessarily true. You ever seen those little dog booties? Get little bells on 'em.

 

KENSI : Shh. Shh. [Looking to the place where the sounds are coming from].

 

MA/ [Hurrying in the room, pointing his gun]:  - Federal agents! Don't move!

 

DEEKS : - LAPD!

 

MAN [getting close to Kensi, threatening]: NSA! [There’s a second man behind the first, with a gun up too].

 

KENSI : NCIS!

 

DEEKS : M-O-U-S-E. [Kensi glares at him].

 

[The men takes their NSA badges out of their pocket, Kensi shows her NCIS one, to the great relief of all of them].

 

MAN 1 : What are you doing here?

 

KENSI : This is our case.

 

MAN 1 : Sebastian Renner was a foreign national with information considered a threat to the United States of America.

 

KENSI : Still our case.

 

MAN 1 : We don't have to be adversaries. After all, we are on the same side. Perhaps we could work together. Have you found anything that might be-- (groans) [Kensi kicks the man in the balls,

 

DEEKS : Whoa!

 

[Kensi kicks and boxes the man  in the chest,  he falls down, fainting; the second man tries to take his gun, Deeks tackles him, they fall on a table they break off, and the second man is knocked out].

 

DEEKS [angrily] : What are you doing? You heard the guy. We're on the same side.

 

KENSI : I'm pretty sure he's not NSA.

 

DEEKS : Pretty sure? 'Cause you teed off on him like you were kicking a field goal.

 

KENSI : Deeks, I got a hunch they're foreign operatives, okay?

 

DEEKS : A hunch? You don't kick a guy in his junk on a hunch. Geez. Sometimes I don't even know you. [They stare at each other] Who does that?

 

 

Boathouse. Cole is sitting in the questioning room with Callen and Sam].

 

COLE : This place smells like fish and gasoline. I can hear the water underneath me. Where the hell am I, a boat house?

 

SAM : Something like that.

 

COLE : Budget cuts, or are you planning on chopping me up into chum?

 

CALLEN [smiling slightly] : We'd just like to ask you a few questions, Mr. Cole. You were an East German agent?

 

COLE [Smiling slightly too…]: Was I? I don't remember things.

 

SAM : Tell us what you do remember.

 

COLE: I remember...San Francisco. November 22, 1989. Smelled just like this. But it was cold and drizzly. Last day I had eyesight and the sun wasn't even shining.

 

SAM : Was that when you had your stroke?

 

COLE [harshly] : My stroke was caused by blood loss from two bullet holes, compliments of an American operative.

 

CALLEN : You were fortunate to survive.

 

COLE :  (laughs)[with a strong German accent]:  Was I?

 

CALLEN : Why don't you tell us about Sebastian Renner.

 

COLE : He was an antiques dealer.

 

SAM: Was?

 

COLE : He's dead, isn't he?

 

CALLEN : Supposedly, he has a book of yours.

 

COLE : I don't remember any book. Sorry.

 

SAM : You were told Sebastian Renner died this morning. Usually, Alzheimer's patients have more of a problem with short-term memory.

 

COLE : I am not a doctor.

 

CALLEN : No, you were a spy.

 

COLE : I was a lot of things. Now, I am just this. You want my help? So be it. We make a trade. I tell you what you need to know and, in exchange, Sylvia finishes what she started.

 

CALLEN : Sylvia?

 

COLE [Harshly]: Vicious pixie owes me that much.

 

[Sam and Callen look slowly at each other].

 

----------------zapping------------------

 

[Sam and Callen are out of the questioning room, they look at Cole on the screen].

 

CALLEN : Sylvia is one of Hetty's aliases.

 

SAM : Hmm. Seems like there's a lot of old school cloak and dagger stuff going on here that we're not being told about.

 

 (door opens)[Kensi and Deeks hurry in].

 

CALLEN : How'd you make out? Did you take anything new away from Renner's?

 

KENSI : Yes. These two guys. [She puts on the screen two ID: the men who were in Renner’s house have DGSE documents].

These jokers waltzed in while we were there, tried to pass themselves off as NSA agents, but they're DGSE. French Intelligence Agency.

 

SAM : How'd you know they were bogus?

 

KENSI : Their accents.

 

DEEKS : They didn't have accents.

 

KENSI : Do you know the difference between French open syllabic organization and English trochaic speech patterning, Deeks?

 

DEEKS : That old chestnut? [Kensi heaves a sigh]

 

CALLEN: Hetty was right. They're coming out of the woodwork.

 

SAM : Where are they now?

 

DEEKS : Had my LAPD buddies lock 'em up downtown for a few hours. You know? Give them a taste of the real L.A. that's not in the star tours.

 

CALLEN [pouring coffee into a cup] : They probably have diplomatic immunity.

 

DEEKS : That's exactly why we put 'em in county. I mean, they're gonna be lucky if they get to make a phone call by Christmas.

 

SAM [smililg] : Hmm.

 

DEEKS : Just, uh, don't let Kensi interrogate them.

 

CALLEN : Why's that?

 

DEEKS : 'Cause the guy on the right? She kicked him in the nom de plumes.

 

SAM : No.

 

DEEKS : Guy didn't even have his weapon out.

 

CALLEN : Really?

 

KENSI : Eh...

 

DEEKS : Mm-hmm. Right in the cul-de-sac. Kicked him so hard it gave me a stomachache.

 

KENSI : So what? It would have been better if I'd pistol-whipped him across the face?

 

SAM, DEEKS, CALLEN [all together, very convincing] Yes!

 

KENSI [astonished, then sickened] : What is with you guys and-and your... Really, it's not... It's not all that, trust me. [She gets rid of the men’ ID on the screen]. Did you guys manage to get anything out of Cole?

 

SAM : Not so much. He's playing us. [approving glance from G.].

 

CALLEN : He may not be the only one.

 

DEEKS : What do you mean?

 

(auto-dial beeps)[Without answering, G. has taken his phone out]

 

ERIC: <>Yo.<>

 

CALLEN : Eric, I need to talk to Hetty.

 

ERIC : <>She left again.<>

 

CALLEN : How long ago?

 

ERIC : <>Uh, about an hour ago.<>

 

CALLEN : She say where she was going?

 

ERIC :<> No. When I asked, she stared me down like a mongoose.<>

 

[Callen sighs with annoyance].

 

 

[Hetty is stepping into Sander’s office. On the desk, there’s a tag with “HERTA” written on one face, and a phone number on the other one].

 

 (door closes)

 

[Hetty hides herself in a cupboard. She sees shadows of legs by the bottom of the door, she hears footsteps: someone is very close; as the person is stopping right in front of her cupboard, she takes out a gun with a silencer]

 

 (Her gun cocking)

 

[the door opens : Sam and Callen are there !]

 

Hetty : Bugger. [She steps forward, out of the cupboard].

 

CALLEN [Harshly]: And don't tell me you're here 'cause you wanted your chair reupholstered.

 

HETTY : That was very foolish of you, Mr. Callen. You came dangerously close to having your head blown off. You're lucky I caught a whiff of your partner's baby fresh scent.

 

CALLEN : You and I need to talk.

 

 

[In the armoury, in the OPS center; Hetty is carefully putting her weapon away]

 

CALLEN : Shall we start with Branston Cole?

 

HETTY : Not unless he told you something useful.

 

CALLEN : Well, it was as much what he didn't tell me.

 

 (trilling and beeping)[Hetty pushes a switch, pulling down a security shutter protecting different kinds of weapons, some very old].

 

CALLEN : It was you.

 

HETTY : I'm sorry?

 

CALLEN : You shot him. It was your wounds that led to his stroke. Which also suggests it was you that kept him from dying.

 

HETTY : That is quite a theory, Mr. Callen.

 

CALLEN : You put him into an assisted living facility as your husband, under a new name, so you could keep working him for information. Only it's difficult, sometimes, to tell when it's his Alzheimer's, and when he's just playing you. [Looking in Hetty’s eyes, speaking kindly]: Tell me if I'm wrong.

 

HETTY [Stares at Callen, hesitates, looks at her feet, then at Callen]: He's a stubborn old bastard. But I'm patient. Occasionally, he trips up, and I get him.

 

CALLEN :  (chuckles) If I didn't know any better, I'd say that you two enjoy the game. Maybe even each other's company.

 

HETTY: [smiling, and sitting down] Now you're straying into fantasy, Mr. Callen. Cole is an asset from the past, nothing more.

 

CALLEN: You read to him every week, for years.

 

HETTY: It's a cover. And it's wearing thin. He's become more and more withdrawn lately. As his physical condition worsens, so does his spirit.

 

CALLEN: He's willing to cooperate.

 

HETTY: (chuckles)[She shakes her head]

 

CALLEN: If you agree to finish what you've started.

 

HETTY: Oh... (sighs)

 

CALLEN: He's asked you before?

 

HETTY: About a year ago. Taking a life in the line of duty is one thing. Hell, I've already shot him.

 

CALLEN: Twice.

 

HETTY: I'm not a murderer, Mr. Callen. But I may be a hypocrite. Cole's fate is now in the hands of someone far greater than I.

 

CALLEN: I didn't think there was such a person. [Hetty says “thanks” with the eyes and a smile; then she looks down].

 

CALLEN [He starts walking]: What about this little black book of secrets?

 

HETTY: I don't think he knows what Renner did with it.

 

CALLEN [stopping in front of her]: Is it really as valuable as everyone thinks?

 

HETTY: From what I know, it could permanently damage international relationships and jeopardize our country's political security.

 

CALLEN: Such as what? Sanctioned assassinations?

 

HETTY: Use your imagination. [Silence]

 

CALLEN: Are you in the book?

 

HETTY: The longer one stays in this business, Mr. Callen, the more one's closet resembles an ossuary. Mine, I'm afraid, is beginning to look like the

Paris catacombs.

 

CALLEN [walking again]: Speaking of closets, did you find anything before you ducked into Sander Lee's?

 

NELL [‘s voice interrupts them]: I found something! [they both look at her] :  I'm sorry. I didn't mean to interrupt. I could just...

 

HETTY: No, no, tell us what you discovered, Nell.

 

NELL: Well, I was going through the manuscripts, thinking that maybe there's something hidden in them.

 

[Hetty and G. glance at each other].

 

[Near the agents desks, Nell has put the manuscripts on a screen; Hetty, Eric, Sam and Callen are with her].

 

NELL: It took me a while to even figure out what they were, because they're written in Boustrophedon.

 

SAM: Back and forth, like plowing a field.

 

NELL: Exactly. Very old school.

 

HETTY: Uh, Ms. Jones, to the point.

 

NELL: Right. Well, the manuscript's legit. It's not the book. It's the bookmark. Eric.

 

[Eric puts on the screen a small red notebook nearby a bookmark]

 

NELL: It's sterling silver and very rare. See? It has a magnifying glass compartment which contains a miniature dictionary. It was a very clever novelty

item back in Victorian England. That's when Eric and I started talking about Sherlock Holmes and vintage cloak and dagger stuff. And, anyway, it was Eric who found it.

 

[Eric puts on the screen one page of the dictionary].

 

ERIC: It was the punctuation that was the tip-off. There's just too much of it. And that's when our conversation started me thinking about Cold War spycraft, and then it hit me.

 

CALLEN: Microdots.

 

NELL: Exactly! Renner was using old-school techniques to hide his assets in plain sight. It was easily overlooked by everyone.

 

ERIC: I managed to enlarge one of the microdots. [puts it on the screen]

 

CALLEN: So we found it?

 

NELL: Yes and no. I'm still analyzing this, but, for the most part, it just seems like a lot of outdated Cold War information, the value of which is suspect at best. But it could mean that the information we're looking for is hidden in a similar manner.

 

SAM: You see how many books were in Renner's place? It could take years to look through them all for microdots. It's like picking fly--

 

HETTY [interrupting him]: Yes, Mr. Hanna, it would be labor-intensive, to say the very least. But we have to do something. Washington is having a conniption fit over the number of foreign operatives who've descended on our city.

 

CALLEN: What if we put word out on the street that Cole's book had been found and it's up for sale? We could use some of what we found as proof to help smoke out the foreign operatives that have infiltrated the city.

 

SAM: Sounds like a plan. Let's do it.

 

[Hetty nods approvingly].

 

 

[Callen is working in the armoury, Sam hurries in].

 

SAM: I put it out to the Koreans and the Armenians that the book is for sale. You speak to your buddy Arkady? He might be helpful in spreading the word.

 

[Callen  doesn’t want to look at Sam]: (sniffles)

 

Sam [immediately worrying]: What is it?

 

CALLEN: It's Hetty.

 

SAM: What about her?

 

CALLEN: Something's not right. I'll be right back. [He walks out, passing Deeks and Kensi who are coming into the room]

 

KENSI: What's going on?

 

SAM: Not sure.

 

[Callen is looking for Hetty everywhere in the OPS center]: Nell, have you seen Hetty?

 

NELL: She was in her office. [The office is empty].

 

CALLEN [shouting from downstairs]: Eric?!

 

ERIC: Yeah?

 

CALLEN: Hetty up there?

 

ERIC: Yeah, she was...[He stops, having looked where she was] I'm sorry. She's like a ninja.

 

 

[Hollywood Bowl. The place is empty. Hetty walks down the stairs. A man is sitting in one of the chair of the terraces; he jumps on his feet when Hetty comes close. He has a gun in his hand. Tho he smiles to Hetty]

 

MAN : (laughs)[Both smiling, they shake hands].

 

HETTY: Mattias.

 

MATTIAS: Herta. I'd hoped you'd find my note. You look well.

 

HETTY: Well enough, as do you.

 

MATTIAS: Too much sun, too much wine, too much food.  (laughs) But I didn't expect either one of us to live this long, so who cares? If you hand over your weapons, it would spare us both the vulgarity of having me search you.

 

[Hetty takes a gun out of her pocket and gives it to Mattias, who looks at it incredulously, waiting for something else].

 

HETTY: That's it these days. And even then, it's mostly for the common street thug.

 

MATTIAS:  (laughs) [he shows her a chair]: Please, sit.

 

HETTY [sitting down]: Thank you.

 

[Mattias sits down, both sigh]: (sighs)

 

MATTIAS: It's a shame, isn't it? So much crime and corruption. Whatever happened to honor among thieves, huh?

 

HETTY: Or respect for one's elders, let alone one's enemies.

 

MATTIAS: Chivalry.

 

HETTY: Indeed. [Silence].

 

MATTIAS: Do you ever come here?

 

HETTY: Occasionally.

 

MATTIAS: Reminds me of the first time we met.

 

HETTY: Vienna, the VolksOper Wien.

 

MATTIAS: I missed the second act of “Die Landstreicher” because of you.

 

HETTY [With a little smile]: I wish you'd stayed. Of course you still would have missed the second act. [Shaking her head]: I don't have the book, Mattias.

 

MATTIAS: I don't even care anymore. To be honest, I'm beginning to think it's nothing more than a legend. No, I don't want the book. [He looks in Hetty’s eyes]. I want Cole.

 

HETTY [shrugging]: He's dead.

 

MATTIAS:  (scoffs) Herta.

 

HETTY: I shot him myself.

 

MATTIAS: That much is true, but our agents confirmed that he survived his run-in with the “GartenZwerg”… [Hetty stares wide-eyed] With you. Cole was most fortunate. I know only too well that most aren't.

 

HETTY: Present company excepted. You must know then that I won't tell you anything.

 

MATTIAS: I would never insult you by suggesting you would. I'm confident, however, that you are worth far more to your people than a crippled, old, blind man. Which is why I am certain they will be willing to trade him for you.

 

HETTY smiles, understanding, then:  (sighs)

 

------------------zapping---------------------

 

MATTIAS: I apologize for the distastefulness of it all, but we should get going. [He stands up, and shows Hetty the way up].

 

HETTY [still sitting]: I'm not going anywhere. You're just going to have to shoot me right here.

 

MATTIAS: Herta, I could kiss you right now, if I wasn't afraid you would gouge out both my eyes and bite through my windpipe if I got close enough. The fact that you're so damn defiant, especially knowing what I'm capable of. You truly are the last of a dying breed.

 

HETTY: We both are, Mattias.

 

MATTIAS: We are, aren't we? It's not just my Kodachrome nostalgia for a simpler time?

 

HETTY: The world has changed...and our business has changed. And I for one, have seen enough bloodshed in the name of king and country.

 

MATTIAS: Let me appeal to you, as one Cold War survivor to another. What is Kohl to you? No one cares about a crippled, blind traitor. Surely you haven't developed feelings for the old man? You know, he's the one who gave you the nickname “GartenZwerg”.

 

HETTY:  (laughs) Sticks and stones...

 

MATTIAS: Unfortunately, we are now talking guns...and knives. You're just as valuable to me dead, my dear. I send your people an ear, maybe a finger, they'll hand over Kohl before your corpse is cold.

 

HETTY: Why now? Who cares about the incoherent babblings of an old man?

 

MATTIAS: Some wounds last a lifetime. Treason is one of them. I'm sorry, Herta. I find it hard to even do this myself. But in the end, we all die alone.

 

[He points his gun to Hetty’s head, and speaks loudly to Callen, who walks calmly down the stairs].

 

MATTIAS: One more step, and she's dead.

 

HETTY[Shouting]: Don't listen to him. I already told him to shoot me, and I'm still here.

 

[A gunfire- a bullet hits Mattias’s arm which had the gun, so the weapon falls down. Sam has just shot the man, distracted by G.’s appearance. Kensi, Deeks and Callen come close, guns ready, Sam is further with his riffle].

 

KENSI: Clear.

 

DEEKS: Clear.

 

SAM: Clear.

 

[Callen is searching brutally the wounded man who grunts with pain, and he cuffs him].

 

HETTY: I guess that's the difference between us, Mattias. Despite my best efforts to keep these ones at arms' length...I'm not in this alone.

 

MATTIAS: “SchweinePriester”.

 

DEEKS: “Gesundheit”.

 

CALLEN [Nodding]: Nicely played.

 

 

[OPS center; the whole team is together, Deeks, Callen, Kensi and Sam working, Eric and Nell standing; tho Hetty is missing]

 

ERIC: So, the FBI and the real NSA have been brought up to speed, along with the other agencies. Hopefully, we'll be able to round up the rest of the foreign operatives still lurking around town.

 

NELL: What's going to happen to Mattias?

 

CALLEN: Well, if he's lucky, he'll be sent back to Germany in some face-saving spy trade.

 

DEEKS: Along with Kensi's French boyfriends. [Kensi smiles].

 

ERIC: What about this missing book?

 

SAM: If it's hidden among Renner's manuscripts or in his library, it'll take a while to find it.

 

[Hetty appears]

 

HETTY: Nevertheless, it was a job well done. National Security is a marathon, not a sprint. I suggest you all get some rest. The game begins anew tomorrow.

 

[She smiles to her whole team, and steps out].

 

DEEKS: Well, I don't know about you guys, but I could use a drink. [He closes his laptop].

 

KENSI: You'd be better off getting a good night's sleep.

 

SAM: Don't let alcohol become your chosen form of stress management.

 

DEEKS: I'm not stressed, man, but I'm buying.

 

SAM: Then I'm in.

 

ERIC: Me, too. [Deeks is happy].

 

KENSI: Nell, that means you got to come, too. I can't be the only woman in this group.

 

NELL [obviously pleased]: Really? Okay.

 

SAM [speaking to G.]: Looks like you're the designated driver, G.

 

CALLEN: Nice. [He closes his laptop]. Well, if that's the case, I'm gonna check with Hetty and see if she wants to make this the Magnificent Seven.

 

[Hetty is sitting at her desk, picking the Sylvia ID].

 

HETTY: I'm all right, Mr. Callen. Thank you for not asking.

 

CALLEN: Just wanted to see if you want to join us for a drink. I'm driving.

 

HETTY: A more generous, inviting offer I can't imagine, but I have plans.

 

CALLEN [A little upset]: Hetty, you're kidding me. You almost getting killed today-- that doesn't merit a celebratory cocktail with your rescuers?

 

HETTY: I have a previous commitment.

 

CALLEN: Forgive me if I'm, uh, hesitant to let you out of my sight.

 

HETTY: If you must know, I'm going to see Branston Cole. [She stands up].

 

CALLEN [suspiciously]: Which means what exactly?

 

HETTY: I'm not certain myself. But it's something I have to do alone this time. And I'm confident that you'll respect my wishes to do so. [She smiles gently]

Good night... Mr. Callen. [She walks out. Callen is looking at her departure with sadness, and worry, even when she’s out of sight].

 

 

 (gentle theme playing) [Hetty is coming into Cole’s residence. All is quiet. She enters into the spy’s room. She stops dead: (quiet gasp) the lady is laying down, Cole on his bed, they’ve both been shot; both are dead. She steps back, shuts the door. In the hall, her face shows many feelings, horror, pain, great distress…].

 

--------------To be continued--------------------

 

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Austin83  (18.04.2019 à 21:22)

Ah ah ah l'une des mes vengeances préférées de Kensi :p Deeks apprend à la connaître :p j'adore cette scène !! Oui Hetty à l'art et la manière de mettre les gens devant le fait accompli, le mec a essayé de la tuer, elle l'épouse pour l'avoir sous sa coupe :p :p :p 

schumi  (07.04.2019 à 23:45)
Géniale la vengeance de kensi:" tu m'as trompée. Avec mon frère. " ptdr. Fallait pas que deeks se serve d'elle... Hetty "mariée " est très touchante. Mais que la fin est triste.

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