[Rappel : Sam trouve le corps de Turner, un ancien agent de la CIA, avec lequel il a participé à une mission dans le cadre d’une force conjointe, concernant un trafiquant d’armes russe nommé Sidorov. Turner s’est suicidé en donnant à Sam les moyens de poursuivre son enquête sur des bombes nucléaires en sommeil sur le sol américain, amenées par des agents soviétiques au cœur de la guerre froide. L’équipe en a retrouvé une ; et a réussi à décrypter le nom des agents. Il va falloir maintenant vérifier s’ils avaient tous une bombe. Et de préférence avant que Sidorov, qui traquait Turner, puisse mettre la main dessus…]
C’est pourquoi ce matin là Hetty entre dans la salle des OPS où des liaisons vidéos ou audio sont établies avec 7 grandes villes des USA. Après s’être assurée que chaque équipe est prête, elle lance l’action. Le NCIS de Los Angeles intervient à San Diego. Kensi se fait passer pour une voisine à qui par erreur un colis a été livré, et frappe à la porte d’une maison. Pendant ce temps, Deeks joue son compagnon qui s’inquiète de leur retard au boulot, et Callen et Sam, en tenue d’assaut, sont dissimulés avec d’autres agents dans les buissons proches. Sans réponse de l’occupant, ils investissent la maison.
Dans une pièce, un homme leur tourne le dos, assis sur un fauteuil. Sam fait pivoter le siège : le type est mort. Dans les OPS, Hetty ouvrent de grands yeux : toutes les équipes ont découvert des cadavres…
GÉNÉRIQUE
A San Diego, G et Sam fouillent la maison pendant que Kensi s’occupe du corps. Sidorov a manifestement été plus rapide qu’eux ici. L’homme a été torturé, sans doute pour savoir s’il avait une bombe, et si oui, son emplacement. La maison a déjà été passée au peigne fin : soit les russes n’ont pas trouvé ce qu’ils cherchaient, soit ils veulent seulement le laisser croire. Hetty leur transmet les résultats des autres équipes d’intervention : tous les agents de la liste de Turner ont été torturés avant d’être exécutés ; en même temps, ce qui suppose 7 équipes. Sidorov a mis le paquet ; impossible pour l’instant de savoir s’il a mis les mains sur une ou plusieurs bombes. G demande à Kensi et Deeks de s’assurer de la possession ou non d’un engin nucléaire par l’agent de San Diego ; et éventuellement de le retrouver avant Sidorov.
G et Sam rentrent au QG, où ils ont la (désagréable) surprise de trouver Granger. C’est Hetty qui l’a alerté, en raison de la gravité de la situation. Il se fait briefer par Sam au sujet de Sidorov, un ancien du FSB proche de Poutine, qui a utilisé ses contacts, 8 ans plus tôt, pour devenir trafiquant d’armes. G ajoute qu’à leur avis, le FSB lui a demandé d’enquêter sur Turner qui lui-même était sur la trace des agents russes dormants. Ce qui lui aurait donné l’idée de retrouver pour son propre compte les éventuelles bombes nucléaires toujours dissimulées. Il lui était facile d’avoir accès à la liste des agents du KGB. Mais tout ceci n’est pour l’instant que supposition. L’urgence actuelle serait de le localiser sans lui donner l’alerte afin de ne pas perdre de vue les bombes, qu’il pourrait cacher n’importe où (éventuellement). Hetty suggère à ses agents une petite conversation avec Arkady Kolcheck, l’ancien agent du KGB qu’ils connaissent bien.
Celui-ci leur donne rendez-vous dans une allée tranquille à l’abri des regards ; le sujet est délicat. Il tient Sidorov pour un psychopathe dangereux qui ferait même reculer la mafia russe. Il est aussi très discret, conclut en général des transactions de telle importance qu’il disparait ensuite pendant des années, se montre très peu en public, mais, heureusement, a une passion pour le vin. Il achète des centaines de bouteilles à la fois (qui lui servent à blanchir son argent). Callen fait passer cette info à Eric qui se lance aussitôt dans la recherche de gros achats de vin.
Kolcheck avait entendu parler d’agents infiltrés avec des bombes nucléaires, à l’époque, mais n’y avait pas ajouté foi, l’affaire lui paraissant beaucoup trop risquée. D’apprendre que les agents en ont trouvé une, bien réelle, lui porte un coup. Les dirigeants de ces pays qui braquent respectivement des armes nucléaires sur la tête de leurs enfants font preuve d’une vraie folie.
Sur le chemin du retour, Callen est surpris de l’inquiétude réelle qu’a montrée Arkady. Une voiture les suit ; ils décident de l’attirer dans une allée où G se retrouve coincé et doit sortir de son véhicule sous la menace de trois hommes armés qui se sont garés derrière lui. Mais Sam était descendu avant, avec la deuxième arme de Callen, et les prend à revers. L’un des trois se retourne, le regarde attentivement et éclate de rire en prononçant son nom. Sam le reconnait à son tour, sans plaisir : il s’agit d’un agent de la CIA, Michael Snyder, qui faisait partie de la force conjointe avec Turner et lui. Il ne l’a jamais aimé ; Callen sourit : cela semble réciproque. Certaines choses ne changent pas, et ne changeront jamais…
G partage très vite l’opinion de Sam quand Snyder dénigre Turner qui a pourtant donné sa vie pour son pays. La CIA recherche aussi Sidorov, mais il bénéficie de protections à très haut niveau dans les sphères politiques russes (il voyage sous passeport diplomatique). C’est pour ça qu’il faut qu’un agent s’approche de lui au plus près. Et Snyder ajoute que c’est la raison de sa rencontre avec Sam, de la nécessité pour eux d’oublier le passé. L’ex-SEAL se tourne vers son équipier ; G réclame qu’en échange cela reste une mission conjointe CIA-NCIS. Snyder le toise : il ne parle qu’à Sam. Celui-ci s’étrangle ! Dans ces conditions, pas question d’accepter. Ils retournent vers leur voiture quand Snyder cède : mission conjointe, et top départ dès qu’ils trouvent Sidorov.
Dès qu’ils rentrent au QG les deux agents montent voir Eric et Nell. Ils n’ont pas encore trouvé trace de Sidorov. Granger est avec Hetty en bas. Il veut être prévenu à la seconde où le russe apparait sur leur radar. Sam regarde les Geeks : il demande à être le premier au courant. Même G ne peut cacher sa surprise. Sam insiste, c’est important ; et personnel ; Nell et Eric acceptent sans la moindre hésitation. G demande à lui parler à l’écart.
Il aimerait savoir de quoi il est question. Sam explique que trois agents de la force conjointe dont lui, Snyder et Turner faisaient partie, ont tenté de s’infiltrer auprès de Sidorov. Le premier n’a jamais franchi le 1er barrage, le deuxième a été retrouvé mort, écorché vif…G le regarde : si c’est trop dangereux, il n’a pas à le faire. Mais trop de vies sont en jeu, une bombe nucléaire peut faire des milliers de victimes : Sam n’a pas le choix. En fait, Snyder a raison mais il fait trop peu de cas de la vie de ses agents. C’est pour ça que Sam voudrait être le 1er à retrouver Sidorov, et agir à sa guise. Tous les deux savent que Granger n’acceptera jamais de laisser la CIA derrière. Il faut donc tenter de le retarder aussi.
Deeks et Kensi sont toujours à San Diego, à la recherche d’une bombe – ou de l’assurance que l’agent en place n’en avait pas. Il n’y a pas d’entrepôt dans les environs ; aucun emplacement potentiel n’a été trouvé. Deeks fronce les sourcils : un agent vient de trouver des ventouses porte-charge. Or l’homme était un professeur. Que pouvait-il faire avec ça ? Les plans de la maison indiquent qu’un sous-sol prévu n’a finalement pas été construit. Les fondations extérieures sont en dur. Deeks se lance alors dans une danse folklorique, tapant des pieds sur le plancher. Tous l’imitent après un bref instant de stupeur. Et bientôt un agent appelle : le son est différent sous la table. Le nez près du sol Deeks repère la limite où le son change, de chaque côté, et ils mettent en place les ventouses : le sol se soulève alors comme un couvercle, au-dessus d’une plaque en acier. Ouverte à son tour, elle révèle une grande cavité noire. Kensi et Deeks se penchent en avant…
Au-même moment dans les OPS Eric et Nell ont retrouvé Sidorov au Rosslyn Hotel – un de ses associés a été repéré en train de charger des caisses de vin grâce à la reconnaissance faciale, et sa voiture les a conduits jusqu’à cet hôtel ; en piratant les vidéos de surveillance, ils ont enfin vu le visage qu’ils cherchaient. Mais Granger entre par surprise, et demande aussitôt que Snyder soit mis au courant. Ils sont interrompus par Kensi, qui filme l’intérieur de la cavité où Deeks est descendu avec un compteur Geiger. Il crépite, la radioactivité prouve qu’un engin nucléaire se trouvait là. Et que donc Sidorov a au-moins une bombe en sa possession…
Granger demande à Nell de lui passer Snyder, mais Sam se propose pour le prévenir, puisqu’ils ont des choses à régler ensemble. G lui dit de se dépêcher ; Sam sort en trombe, G le suit plus lentement, et entend Granger demander à Eric si un engin de 35 ans est encore fonctionnel. Il se tourne vers le jeune homme, lui fait de grands signes pour que son explication dure le plus longtemps possible. Eric a compris, et se lance dans les détails « indispensables » pour que le directeur assistant comprenne bien…En bas, Sam fait le siège d’Hetty pour que le plan de Snyder soit appliqué sans celui-ci – ce qui pourrait tous les faire virer. En haut, Granger s’ennuie – et finit par accélérer le mouvement : oui ou non ces bombes sont-elles viables ? Eric hésite, ça dépend de ce qu’on entend par viable. Cette fois le directeur assistant n’en peut plus ! Est-ce qu’elles vont faire boum ?? Eric est forcé de répondre oui, et Granger s’en va, encore hors de lui.
Hetty est toujours réticente. Ses agents veulent seulement gagner un peu de temps, ils ont besoin de parler à nouveau à Arkady. Ils s‘éloignent à l’instant où Granger atteint le bureau de leur boss. Il espère qu’ils vont rencontrer Snyder – Hetty répond « très bientôt ». Le directeur assistant la fixe d’un œil noir : une bombe nucléaire se balade dans le coin ; qu’est-ce qui leur prend à tous ???
Sam et G rejoignent Arkady à l’annexe : ils veulent le nom d’un ennemi de Sidorov, désireux de l’éliminer. Il leur cite Kirkin, un mafieux qui a le contrôle de l’héroïne dans l’ouest de la Russie, dont Sidorov a tué le frère. Les agents retrouvent le sourire. Il ne leur manque plus que le nom du tueur que Kirkin utilise sur Los Angeles – un certain Varlamov, avec lequel Arkady joue au poker. Comme G rigole, Arkady se rebiffe : ce sont les gens moralement corrompus qui font son business !
Plus tard, Sam et G entrainent Varlamov sur le toit d’un immeuble, où ils l’accusent du meurtre d’une jeune fille de 16 ans, tuée par une arme où son empreinte ADN a été trouvée, sous les yeux d’un témoin. Elle couchait avec Kirkin, et le jour où elle est tombée enceinte, il lui a demandé de s’en débarrasser ; ce qu’il a fait sur ce toit même. Varlamov nie en bloc, il jure être victime d’un complot…Brusquement, Sam se plie en deux, se tenant l’épaule ; il se tord de douleur, réclamant d’aller à l’hôpital ; Callen se penche au-dessus de lui, « inquiet ». Varlamov hésite, et en profite pour fuir. G le hèle « hé, attends » mais l’autre dévale déjà les escaliers. Sam et Callen se sourient.
Varlamov sur le palier du 8ème étage croise une jeune fille au téléphone, fort occupée à partager les derniers potins mondains avec son interlocutrice – en fait Kensi qui se met à le filmer dès qu’il descend 4 à 4 les marches suivantes. Le russe atteint la porte arrière du bâtiment, et fait un soleil car Deeks vient juste de lui lancer une poubelle dans les pieds. Il le menotte ; les autres le rejoignent, tout a fonctionné à merveille…ou presque : Granger les fixe, planté au milieu de la ruelle, les mains dans les poches…
Sam demande à Deeks de mettre Varlamov dans la voiture. Granger s’approche, et réclame quelques mots à l’ex-SEAL. Hetty lui a tout dit ; Sam est amer : autant qu’il le vire sans ménagement plutôt que de lui faire le couplet du « « bon agent, mais… ». Granger le regarde : il ne peut pas avoir avec lui des agents qui mentent par omission. Même s’il l’a déjà fait lui-même, comme le fait remarquer Sam. Granger s’arrête : il est le patron, que cela lui plaise ou non. Et si cela avait été nécessaire, ils auraient été mis au courant. Sam fronce les sourcils : que veut-il de lui ? Le directeur assistant plante son regard dans le sien : il veut l’assurer de son soutien. Il comprend ; tout. Hetty a franchi la ligne blanche pour lui, et lui-même fera de même. Il recommence à marcher : il ne sait pas pendant combien de temps ils pourront tenir la CIA à distance, Snyder ne va rester les bras croisés. Sam l’arrête par une pression sur le bras, et lui tend la main ; Granger la serre ; de loin, les autres assistent, perplexes, à cette scène.
Sam remercie son directeur et ils rejoignent le groupe. C’est Granger qui leur dit de se dépêcher, l’heure tourne. G se tourne vers son équipier : est-ce que Quinn est au point ? Sam prend l’air inquiet, triste, et s’éloigne. Il lui fera savoir ce qu’ils auront. Kensi et Deeks ont vraiment l’impression de louper quelque chose. Et d’abord, qui est Quinn ? Mais la réponse que leur donne Callen ne les avance pas beaucoup : Quinn est la clé de l’opération.
Plus tard, G avance sur le toit d’un immeuble, vêtu de la combinaison de travail d’un antenniste, et portant une boite à outil qui en fait contient un fusil à lunettes, qu’il monte soigneusement. Il s’installe, avec en ligne de mire l’entrée d’un hôtel ; sur le trottoir, Granger, lunettes de soleil sur le nez, semble attendre quelqu’un. Nell depuis les OPS prévient que Sidorov a commandé une voiture, il devrait sortir. Et effectivement Granger donne l’alerte, le russe arrive ; il faut que Deeks fasse son job. Dans l’hôtel, Marty ouvre la porte de la chambre de Sidorov et monte sur une chaise pour atteindre le lustre ; il fixe une mini caméra dessus. Mais Eric reçoit une image complètement brouillée : il lui demande de changer de caméra.
Pendant ce temps, G vise un peu à côté de Sidorov au bras d’une jeune femme ; le coup de feu déclenche la panique, sans faire de blessé. Le russe et sa compagne s’engouffrent à nouveau dans l’hôtel pendant que ses gardes du corps prennent les choses en main : le coup de feu est parti du toit du bâtiment d’en face, ils y courent. Granger prévient Deeks de sortir rapidement ; mais celui-ci prend le temps de fixer la 2ème caméra avant de s’exécuter. G lui s’est débarrassé de sa combinaison,. Granger alerte Kensi et G que 2 types arrivent.
Deeks remet sa chaise en place, demande à Eric s’il peut sortir sans risque. Il reçoit le feu vert.
G vérifie l’escalier : les 2 hommes sont encore 2 ou 3 étages plus bas. Il attrape la laisse de Monty, recommence à descendre et se met à parler avec un locataire : est-ce qu’il a entendu ça ? Les deux russes les croisent sans un regard – juste pour s’assurer qu’ils ne marchent pas sur le chien.
Granger s’inquiète : et-ce que Deeks est dehors ? L’agent lui répond : « presque »; il croise Sidorov, sa compagne et un garde du corps ; les hommes préparent leurs armes discrètement, mais Marty n’a d’yeux que pour la belle fille…
Sur le palier du 8ème étage, Kensi est dans tous ses états : elle est au téléphone avec la police, et raconte qu’elle a vu un type passé en courant à côté d’elle ; les deux russes prêtent l’oreille : ils s’arrêtent ; l’un d’eux lui demande si elle vient bien de dire avoir vu un homme descendant du toit. Kensi s’exclame qu’elle l’a vu et même filmé sur son téléphone. Les sirènes de la police se font entendre. L’homme réclame de voir la bande : elle lui passe la fuite de Varlamov. Il attrape le téléphone pour mieux voir ; les sirènes se rapprochent. Kensi réclame son téléphone, mais les hommes la repoussent brutalement contre le mur et repartent rapidement. Quand ils sont hors de vue, Kensi sourit…
Plus tard, tous regardent, dans la salle des OPS, la bande enregistrée dans la chambre de Sidorov : celui-ci est furieux que ses hommes aient laissé échapper le tireur au point de vouloir les tuer de sa main. Quand le type qui a arraché le téléphone des mains de Kensi le lui montre, Sidorov grogne qu’il connait Varlamov, qu’il travaille pour Kirkin. Il refuse de changer d’hôtel comme le lui propose ses gardes ; par contre il veut un tueur à gage qui le débarrasse de Kirkin. Il charge son lieutenant d’en trouver un illico.
Dans les OPS Granger demande à Eric s’il a le numéro de ce lieutenant. Dans l’affirmative, il le charge de faire échouer tous les appels et emails…Sam soupire : il aboutira très vite à Quinn, ils sont restés en contact malgré les années. Puis il se tourne vers Nell pour savoir où elle en est. Celle-ci est optimiste : elle est en train de lui bâtir la vie de David Foreman (qui purge actuellement une sentence à Oakville) ; il faudrait que Sidorov creuse jusqu’en Chine pour arriver à trouver la faille ! G se tourne vers son équipier : est-ce que tout va bien ? Sam secoue la tête : il avait toujours redouté ça…
Les portes de la prison s’ouvrent devant Sam : une femme l’attend dans une voiture. Il s’assoit à ses côtés, et ils échangent un long baiser…
Ils viennent de faire l’amour, différemment, mieux que depuis bien longtemps – sans doute le mariage change-t-il les choses. La jeune femme va dans la salle de bain. La porte de la chambre s’ouvre avec fracas : des hommes avec des armes automatiques menacent Sam qui attrape son pistolet posé sur la table de nuit. Le lieutenant de Sidorov s’approche de lui : où est Quinn ? La femme apparait : le russe gronde qu’elle aurait dû répondre à ses appels, Mister Sidorov veut la voir. Elle répond qu’elle s’habille d’abord- il ricane que son boss la préfèrerait sans doute comme ça. Quinn lui conseille alors de baisser l’arme qui menace toujours Sam – s’il veut rester en vie. Elle a aussi un pistolet dans la main, caché derrière le chambranle. L’homme obéit.
Finalement, Sam et Quinn arrivent dans la chambre de Sidorov, qui ignore l’agent mais se fend d’un large sourire pour la jeune femme, qu’il étreint.
Elle lui présente Sam – mais il a déjà mené sa propre enquête (merci Nell !). Quinn ajoute qu’ils sont partenaires, et qu’il est très bon. Sidorov ricane : Mr et Mme Black Smith ! Puis le russe donne le nom de la cible, qui fait sursauter Quinn : Kirkin est très protégé et très dangereux ! Mais Sidorov a des arguments : il ouvre un sac qui contient un million de dollars. La jeune femme sourit. Le russe met une condition : il ne veut plus voir Sam – même s’il l’aide pour l’opération. Il ne l’aime pas et il ne partage pas ses femmes. Quinn accepte ; Sam se retire donc…
Plus tard, dans le gymnase du QG, Sam frappe le sac de sable, puis les casiers grillagés ; il est à la fois énervé et très inquiet. G le rejoint : il n’a donc aucune nouvelle ? Sam secoue la tête. Le téléphone de G lui annonce qu’Hetty les attend dans les OPS.
Elle est en liaison vidéo avec un agent du FBI qui lui donne les dernières nouvelles : il y avait bien 11 agents, parmi lesquels 3 couples (dont les Pierce). Ils ont la certitude que 4 d’entre eux n’ont jamais eu de bombes. Mais chez deux ils ont retrouvé des traces radioactives. Donc Sidorov a mis la main sur 3 bombes (avec celle de San Diego).
Granger entre avec sa mine des mauvais jours : il s’approche de Sam. Un corps de femme vient d’être retrouvé à Santa Monica Bay. Dans ses poches, un ticket du parking de l’hôtel où Quinn et lui ont rencontré Sidorov …L’ex-SEAL se rue dehors ; G, Kensi et Deeks lui emboitent le pas.
Sam s’approche du corps allongé sur le sable, caché sous un plastique. Il regarde…et semble soulagé. Snyder le rejoint : c’était la compagne de Sidorov. Il ajoute méchamment que le russe ne voulait sans doute pas mélanger les styles, avec le retour de Quinn. Sam reçoit un texto : Quinn est sortie, tout va bien. Snyder devine la teneur du message. Il dit à Callen que Sidorov est parti sur un vol diplomatique, qu’ils n’ont pas pu le retenir. Qu’il ne prendra pas le risque de faire passer la frontière à ses bombes, et qu’après avoir donné une avance d’un quart de millions de dollars à Quinn, il reviendra forcément. Sam s’éloigne, de nouveau contrarié. Snyder le rappelle pour le remercier. L’agent du NCIS le menace :’il met Quinn en danger, il le poursuivra tout autour de la terre. L’autre hausse les épaules : d’abord, c’est le boulot de Quinn, d’être dans de sales draps, et d’autre part, qu’il aille se faire foutre ! Sam se rue alors sur lui, l’entrainant jusque dans la mer où il lui plonge la tête sous l’eau. Les hommes de la CIA tentent d’intervenir mais Callen, Kensi et Deeks sont plus rapides. G entre à son tour dans l’eau, pour arrêter son partenaire : Snyder n’en vaut pas la peine ! Sam cesse, et sans un mot ni un regard, quitte la plage.
Deeks et Kensi se tournent vers G : cette fois, il va falloir qu’on leur explique, surtout s’il y a un truc personnel entre Sam et Quinn ! Callen s’exécute : les choses n’auraient jamais dû se passer ainsi…mais à travailler côte à côte dans la force conjointe, 7 jours sur 7, pendant des mois, ils ont fini par tomber amoureux...
Le soir, chez eux, Sam porte son alliance. Il est perdu dans ses pensées. Sa femme le rejoint – c’est Quinn ! Elle range son arme près de son badge de la CIA dans un coffre dissimulé derrière une armoire.
Sam lui jure qu’il la protègera, mais elle n’est pas inquiète, il ne lui arrivera rien. Sam soupire, il pensait que tout ça s’arrêterait une fois qu’ils seraient mariés. Sa femme lui fait remarquer qu’ils n’ont pas le choix. Il la regarde : est-ce qu’elle redeviendra Mme Sam Hanna quand tout sera fini ? Elle hésite – reprendre du service l’a faite se sentir revivre…Mais la priorité de toute façon, c’est de coincer ce salaud. Sam ne peut qu’approuver. Resté seul, il enlève son alliance, la met au coffre…Il souffre.
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