Précédemment dans NCIS...
A la télévision du NCIS : Les funérailles du directeur du NCIS Jenny Shepard ont eu lieu ce matin. Le directeur adjoint Leon Vance a été nommé pour lui succéder.
Dans le bureau de Vance, la team est réunie :
Vance : Officier David, votre activité de liaison avec le NCIS est terminée. McGee, je vous mute vers l'unité de cybercriminalité. Dinozzo, vous êtes réaffecté, agent embarqué sur l'USS Ronald Reagan. Faites vos bagages, vous décoller demain. Agent Gibbs, voici votre nouvelle équipe.
Maroc : Dans un bar, Ziva est sur une scène est train de chanter (petit détail, elle chante le titre tentation disponible sur la BO)... puis elle se déplace entre les tables. Alors qu'elle chante, un homme se lève rapidement, Ziva cherche du regard la raison de ce départ précipité et découvre trop tard une valise qui explose alors.
Générique. Titre « Last Man Standing »
Au NCIS
Un homme tape à l'ordinateur alors qu'un téléphone sonne, on imagine McGee mais...Non !
Daniel Keating : Tu vas décrocher ?
Brent Langer installé confortablement au bureau de Tony et soupirant : Allo ?... Non, l'agent spécial Dinozzo a été muté. Je suis l'agent spécial Langer, peut-être que... Je ne sais pas, plusieurs mois déjà. Je ne peux pas vous le dire, contactez le service du personnel...Allo ?
Il raccroche.
Langer : Quatre mois déjà que je réceptionne les appels de Dinozzo. Et je peux dire que c'est exclusivement des femmes.
Michelle Lee, apparaissant derrière le bureau de Ziva : Et ça t'étonne ? cherchant quelque chose...Vous n'avez pas vu mon évaluation de menace sur Oman ?
Langer innocemment en tendant le dossier qu'il lisait : C'est ça que j'ai ? Je croyais que c'était une copie d'une brochure touristique. « Venez voir le soleil d'Oman ».
Lee : Rends-le moi, Langer.
Keating : Donne-lui le dossier, Langer.
Gibbs arrivant : Donne-lui le dossier, Langer.
Keating se levant : Bonjour.
Lee : Bonjour monsieur.
Langer se levant à son tour : Bonjour, monsieur.
Gibbs : Content qu'on s'entende sur un point, Agent Lee, cette évaluation sur Oman.
Lee : La voilà, monsieur.
Lee prend des mains de Langer le dossier mais il tombe par terre, les feuilles se répandant.Keating vient l'aider.
Lee : Désolée, monsieur.
Gibbs : Qu'ai-je dit à propos de « monsieur » ?
Lee : Gibbs.
Gibbs regarde Lee décontenancée puis Langer qui au bout d'un moment consent à aider à ramasser le dossier.
Keating à Gibbs : Vous avez reçu un appel. J'ai pris le message, monsieur... euh Gibbs.
Gibbs prenant un post-it sur son ordinateur : Oui, c'est bien marqué dans la case « Message pris par » : Keating.
Keating : Il a dit que c'était... Gibbs prend son téléphone...urgent
Gibbs : Agent spécial Gibbs pour l'agent Reynolds.
Langer à Lee doucement : ça va s'améliorer.
Lee doucement : Ouais... quand il sera à la retraite.
Gibbs : D'accord.
Gibbs raccroche et Lee lui pose le dossier sur son bureau. Gibbs se lève alors.
Gibbs : Prenez vos affaires !
Les trois agents s'activent mais Gibbs les dévance et se retourne alors, agacé, pour les attendre.
Keating passant devant Gibbs : Désolé.
Gibbs les laissent tous les trois passer puis se retourne et dévisage Léon Vance qui les regardait depuis l'étage. Vance s'en va et Gibbs se dirige à son tour vers l'ascenseur mais quand il arrive celui-ci se ferme juste devant lui. La porte s'ouvre de nouveau.
Keating, Lee, Langer confus : oh mon Dieu... ma faute... monsieur... Gibbs...j'ai appuyé sur le mauvais truc...
La porte se ferme sur un Gibbs très aggacé.
Sur la scène de crime :
Lee prend des photos quand Palmer arrive.
Palmer : Désolé, je ne voulais pas gâcher ta photo.
Lee surprise de le voir : Ce n'est rien.
Ils se regardent, palmer tente de dire quelque chose mais renonce et s'en va.
Gérante parlant à Gibbs tout en marchant : C'est pour ça que les prix ne sont pas très élevés. On est loin de tout ici. Je ne me suis pas inquiétée, 18 semaines payées d'avance.
Gibbs : Pas curieuse de ne jamais l'avoir vu ?
Gérante : Vivre ici tue l'envie d'être curieux. Vivre, laisser vivre. Je suis venue le voir parce que sa location se finissait.
Langer : Le corps est dans la caravane depuis quatre mois et demi.
Lee prenant des photos : ça explique que personne ne se soit plaint de l'odeur.
Keating depuis une voiture : Agent Lee ?
Langer et Lee se dirige vers la voiture.
Langer : Sa réserve d'argent.
Lee prend des photos de liasse de billets.
Keating : Il doit y en avoir pour au moins 5 000 $. Il a de la chance que ce soit resté.
Lee : Keating, il est pas chanceux, il est mort.
Keating : Je note et j'emballe.
Gibbs : Langer !
Langer : Il s'agit du quartier-maître Steven Nicholas Vargo. Ne s'est pas présenté au travail depuis mai, il y a quatre mois et demi.
Gibbs : Où ?
Langer : Au Navy Yard. A quitté le boulot sans revenir à son logement de fonction. Il a dû trouver ce petit coin de paradis plus attirant.
Gibbs : Quel boulot ?
Langer : Planification stratégique, le bâtiment à droite du nôtre.
Gibbs : Niveau d'accès ?
Langer : Maximum.
Gibbs : Bien, lui montrant la gérante prends sa déclaration.
A l'intérieur, photos prises du cadavre en décomposition avancé, on suit l'entrée de Gibbs :
Ducky : Monsieur Palmer, dites à l'agent Gibbs qu'il peut envoyer l'équipe B.
Gibbs : ça veut dire qu'il y a une équipe A, Duck.
Ducky : Ce n'est pas le cas ?
Gibbs : Ce sont toutes des A.
Ducky : Peut-être quelques A+ aussi.
Gibbs souriant : Il dormait ?
Ducky : Quand on quitte ses vêtements, on ne va pas forcément dormir Jethro.
Gibbs : Des preuves ?
Palmer : Il a eu une fin visqueuse...voyant le blanc qu'il a causé... Je vais chercher le brancard.
Ducky : Coup de feu tiré dans la zone temporale, sans doute durant son sommeil, l'oreiller plaqué sur sa tête pour étouffer le bruit. Rien n'indique qu'il ait été étranglé. Tu sais, cette puanteur a dû être insupportable. Il n'y a plus personne de curieux ?
Gibbs : Tous tués. Comme lui.
Au NCIS :
Dans son labo, Abby fait des analyses. Elle se retourne.
Abby surprise : Gibbs.
Gibbs un peu inquiet de sa réaction : Abby.
Abby : Je dois voir un ORL. Je deviens sourde. Je parle fort ? Car des fois les gens n'entendant pas très bien, parlent trop fort, sauf que parfois, avec de l'eau dans mes oreilles, je parle si bas qu'on me dit de parler plus fort. J'ai ce bruit bizarre, ce murmure, ce sifflement dans ma tête. Ça t'est déjà arrivé ? Pourquoi je n'ai pas entendu l'ascenseur ?
Gibbs : Les escaliers.
Abby : Tu ne prends pas les escaliers. Gibbs hausse les épaules, Abby sourit. Tu prends les escaliers parce que tu associes l'ascenseur à des personnes que tu veux oublier.
Gibbs : Abby, je n'essaie d'oublier personne. Qu'est-ce que tu as ?
Abby le dévisageant puis se retournant vers ses appareils : Du neuf millimètres et une balle creuse de 147. On utilise des balles creuses, tout comme le FBI, les services secrets, la Marine et un tas d'autres institutions de loi, mais ce n'est pas le genre de balle que monsieur Tout le monde peut se procurer.
Gibbs : Quoi d'autre ?
Abby : Un nombre.
Abby va chercher un post-it. On remarque qu'il est placé au milieu de photos de Ziva et de Tony.
Gibbs : Un, deux, six ?
Abby : Cent vingt-six. Ça c'est le nombre de jours écoulés depuis que Tony, McGee et Ziva sont partis. Ça m'étonne que tu aies laissé ce nombre atteindre 3 chiffres, mais là c'en est trop. C'est le tiers d'une année entière. Ils me manquent.
Gibbs : Abby, tu as déjeuné avec McGee hier.
Abby : Mais c'est pas pareil. Ils me manquent collectivement... comme groupe, mes trois mousquetaires. Tim est le seul que j'ai vu. Pas Tony, pas Ziva. J'ai eu des cartes postales de Tony. Je veux qu'ils reviennent, Gibbs. Abby enlace Gibbs.S'il te plait, ramène-les.
Gibbs soupire silencieusement et Abby s'écarte.
Abby le regard perçant : Tu as dix jours, d'accord. Je ne veux pas te mettre la pression, alors 12 mais pas plus de deux semaines.
Gibbs esquisse un sourire devant l'obstination d'Abby puis s'en va.
Abby lui criant : Et arrête de prendre les escaliers !
On entend alors le bruit de l'ascenseur et Abby sourit.
Gibbs remonte dans les bureaux.
Keating : Agent Gibbs, je crois avoir quelque chose. Il y a un lien entre notre victime le quartier-maître Vargo et l'ancien quartier-maître Brian Roberts. Lui et la victime ont servi ensemble.
Gibbs : Affiche-le...comme il ne réagit pas... sur le plasma Keating.
Keating : Roberts est à gauche et notre victime Vargo est à droite. Roberts s'est retiré il y a six mois mais il y a un hic : Roberts est mort dans un attentat à la bombe dans un bar au Maroc cette nuit.
Lee : Attaque terroriste ?
Keating : On va essayer d'en savoir plus. Je retransmets le journal de CNN.
Langer : Coïncidence malchanceuse.
Lee : Sans doute.
Les images apparaissent sur l'écran.
Langer : C'est un terrible attentat.
Gibbs : Des victimes ?
Keating : 4 tués dont Roberts, 13 blessés.
Les images montrent alors l'évacuation des blessés et là surprise de l'équipe.
Langer : Oh, mon Dieu... ce n'est pas...
Gibbs fixe l'image sur le visage du blessé.
Lee : Ziva.
Gibbs semble très inquiet et touché par ces images.
Toujours dans les bureaux du NCIS, Gibbs est au téléphone, l'image de Ziva étendue sur un brancard toujours sur le plasma.
Téléphone : Le numéro que vous demandez n'est pas en service.
Gibbs raccroche.
Gibbs : Langer.
Langer : Je vais joindre un contact israélien. Il a des liens avec le réseau de renseignements.
Gibbs : Lee.
Lee : Le Mossad veut traiter ça officiellement. Ils n'aident pas vraiment.
Gibbs : Laisse tomber. Roberts et Vargo. Je veux tout, appels téléphoniques, comptes bancaires, mails, la dernière fois qu'ils se sont vus ou parlés, compris ?
Lee : Compris.
Gibbs à Keating : Trouve-la, maintenant...
Keating : Je vais faire de mon mieux Gibbs
Dans un sous-sol, remplis d'ordinateurs :
Homme chuchotant : Patron ? Patron ?
On voit qu'il s'adresse à Mcgee.
McGee visiblement agacé : Ouais.
Homme : Le logarithme du quotient est le reste du logarithme du dividende moins celui du diviseur ?
McGee : Maths de lycée, Pringle, et alors ?
Pringle : J'ai mis le mauvais diviseur.
McGee : Recalcule. Dallas.
Dallas installé un peu plus loin devant un ordinateur : Patron ?
McGee : J'ai toujours besoin d'une clé de codage.
Dallas : Je suis toujours dessus, patron.
Une voix : Patron ?
McGee se fige en entendant cette voix qu'il connaissait très bien. Il se retourne et découvre Gibbs derrière lui.
McGee : Patron.
Les autres se remettent rapidement au travail.
McGee : Je ne suis pas vraiment leur patron. Il m'ont juste appelé comme ça parce que je suis un agent de terrain, je porte une arme. C'est bon de vous voir.
Gibbs : Tu as des nouvelles de Ziva ?
McGee : Ouais, un e-mail toutes les semaines, jusqu'à il y a environ 3 semaines. J'ai pensé qu'elle était en vacances.
Gibbs : Plutôt en infiltration McGee.
Mcgee : En infiltration, c'est normal, elle est au Mossad après tout.
Gibbs : Tu sais comment la joindre ?
McGee : Son portable ?
Gibbs : Il n'est plus connecté.
Le téléphone de Gibbs sonne.
Gibbs : Gibbs.
Keating : Je l'ai trouvée. J'ai dû demander un service à un ami à Pine Gap. Vous savez, la grande base de communications, là en b...
Gibbs : Passe-la moi.
Keating : C'est bon vous êtes connecté.
Gibbs : Ziva ?
On voit Ziva dans un bureau avec d'autres agents du Mossad.
Ziva : Gibbs.
Gibbs : Tu vas bien ?
Ziva : Tu es au courant ?
Gibbs : Oui, ZNN t'a trahie. Tu devrais peut-être les appeler.
Ziva riant : Merci du tuyau.
Gibbs : Que sais-tu ?
Ziva : Pas grand-chose. J'étais en infiltration pour gagner la confiance d'un homme montrant un intérêt malsain pour un groupe terroriste tchétchène.
Gibbs : Brian Roberts ?
Ziva surprise: Tu devrais me dire ce que toi tu sais.
Gibbs : Un ancien Marine, ami de Roberts, a été retrouvé assassiné ce matin, Steve Vargo. Il travaillait sur un plan stratégique classé top secret. Qui était la cible ?
Ziva : Roberts avait rencontré une terroriste tchétchène nommée Milaana Shishani. Etrangement, elle a échappé à l'attentat. Mais le Mossad ne croit pas qu'elle était la cible. Roberts l'était.
Gibbs : Pourquoi ?
Ziva : On peut seulement spéculer. Mais d'après ce que tu as dit, on dirait que quelqu'un voulait les voir morts.
Gibbs : Ils font le ménage ?
Ziva : C'est possible.
Gibbs : Qui t'as renseigné sur Roberts ?
Ziva : Le directeur Vance... Gibbs ?
Gibbs : Tu nous manques Ziva.
Ziva : Vous aussi vous me manquez, tous, même Tony.
Gibbs : Je dois y aller.
Ziva : Prends soin de toi Gibbs.
Gibbs : Toi aussi, prends soin de toi.
Dans le bureau du Mossad.
Homme à Ziva : Rentre, repose-toi. Embrasse ton père.
Ziva fait le tour du bureau et va embrasser l'homme.
Ziva : Bonne nuit papa.
Retour au sous-sol.
Gibbs : Steve Vargo. Qu'est-ce que tu sais sur lui ?
McGee : Patron, je peux vraiment pas vous dire ce que je sais. Les ordres.
Gibbs fait un signe vers le haut.
McGee : oui, de lui.
Gibbs donne une tape amicale à McGee sur la joue puis s'en va.
Dallas : ça va patron ?
McGee : Retournez au boulot.
Dallas : Ok patron.
Bureau du directeur du NCIS :
Vance : Il paraît que c'est l'une des meilleures photos sportives jamais prises. Mohammed Ali et Sonny Liston, le 25 mai 1965, premier round, première minute. Ali le frappa, Sonny tomba à terre, resta KO puis tout a dégénéré. Beaucoup ont pensé que ça avait été arrangé, que Sonny s'était couché.
Gibbs : C'est ce que tu penses ?
Vance : Je pense que c'est facile de se tromper quand on n'a pas toutes les données. Dis-moi tout.
Gibbs : Tu n'as pas séparé mon équipe à cause de la mort de Jenny.
Vance : Non, il y a 5 mois, j'ai reçu plusieurs appels anonymes provenant d'un quartier-maître. Finalement, il s'est identifié comme Steve Vargo. Il avait des dettes de jeu et on le faisait chanter. On lui demandait de fournir des données top-secrètes.
Gibbs : Quelles données ?
Vance : Il n'a pas voulu me le dire. Mais Vargo était un spécialiste du Moyen-Orient. Il a dit avoir téléchargé un dossier important, mais qu'il ne l'avait pas transmis.
Gibbs : Changement d'avis.
Vance : Je l'ai cru. Sur les ordres du directeur, j'ai été à Washington. J'ai eu rendez-vous avec lui pour avoir le nom de son contact, mais il n'est pas venu. Le jour suivant, il n'a pas pris son service. Maintenant, je sais pourquoi.
Gibbs : Tu n'as pas répondu à ma question.
Vance : J'ai démantelé ton équipe Gibbs parce que celui qui faisait chanter Vargo était un agent du NCIS.
Gibbs : Pas un des miens.
Vance : Non, d'après ce que Vargo m'a dit, il ne reste que 3 agents possibles. J'ai démantelé ton équipe afin d'en former une nouvelle. Il affiche un écran montrant la nouvelle équipe de Gibbs au travail. Ainsi tu pourrais m'aider à savoir lequel de ces trois trahit son pays.
Gibbs : Tu comptais me le dire ?
Vance : Pas de preuve. J'ai pensé qu'en te mettant avec eux, ton radar se serait déclenché et un jour, tu serais venu me voir en me disant que tu avais un doute.
Gibbs : Un doute ? Un doute, Leon ? Je doute de chacun d'entre eux. Un ancien du FBI qui n'écoute pas, un génie qui ne conduit pas, une avocate qui ne tire pas.
Vance montrant Langer : Est passé du FBI au NCIS il y a 8 mois.
Gibbs : Il n'a pas eu de traitement de faveur.
Vance : Mais tu l'as recommandé.
Gibbs : Il m'a appelé.
Vance : Et tu l'as approuvé. Tu commences à avoir des regrets. Il n'est pas celui que tu pensais avoir.
Gibbs agacé : Pourquoi tu ne le dis pas ?
Vance : Il t'a utilisé pour rentrer dans l'agence.
Gibbs : ça ne le rend pas coupable.
Vance : Juste intelligent. Le Pentagone se sait perméable. Mais pas à quel point. J'ai saisi tous les ordinateurs de Vargo et ses disques durs. Nous travaillons dessus.
Gibbs comprenant : McGee
Vance : C'est pourquoi je l'ai muté là-bas, sept niveaux de cryptage jusqu'ici. Chaque niveau plus dur à craquer que le précédent. Je n'étais pas le seul avec qui Vargo est entré en contact. Il s'est confié à son vieux pote marine, Brian Roberts. Puis, il y a une semaine, Roberts est arrivé à Tel Aviv. Vargo était un spécialiste d'Israël
Gibbs : C'est pourquoi tu as renvoyé Ziva.
Vance : Le Mossad a montré une opération. Ils allaient arrêter Roberts la nuit dernière au Maroc mais ils n'ont pas été assez rapides.
Gibbs : Quelqu'un cherche à faire le ménage.
Vance : Je pense que Vargo a dit à Roberts le nom de l'agent du NCIS. Et je suppose que Roberts essayait de vendre ce nom à quiconque était prêt à payer.
Gibbs : Et quoi ? Quatre moi, tu n'as rien.
Vance : Nous n'avons rien.