Enquête n°3

ENQUETE n°3

Meneur de jeu : miramar

Personnages initiaux :

Gibbs : miramar
Tony : titefofole
McGee : Isa
Ziva : celeste
Vance : Arvak
Ducky : gaby84

 

 Situation initiale :

 

Quartier Général du NCIS :


Dans l'open-space, tout le personnel de l'agence travaillant dans ce grand espace était concentré sur son travail, chacun à son bureau, pianotant sur son clavier d'ordinateur ou épluchant ses dossiers, même Tony, connu pour son manque de vigueur dans le boulot, au bureau ou ailleurs, semblait absorbé par son écran ; seuls Ziva et McGee avaient les yeux rivés sur le haut de l'escalier d'en face.

McGee : je te l'ai dit Ziva, tu as perdu ! dit-il en tendant sa main vers elle

Ziva : attends ! La journée n'est pas encore finie ! Il lui reste encore des heures à tenir !

McGee : mais ça fait une semaine, admets le, tu as perdu, cette fois Gibbs a tenu bon !

Ziva : je ne désespère pas, il va sûrement finir par péter un fil et tout laisser tomber !

Tony : un câble, Ziva ! On ne dit pas péter un fil, on dit un câble ! lança-t-il depuis son poste sans détourner le regard de son écran.

Ziva : c'est la même chose !

McGee : dis- donc, toi, pourquoi n'as-tu pas parié avec nous sur le temps qu'il va tenir à son poste de directeur par intérim en attendant le retour de Vance ? demanda-t-il en se retournant vers lui.

Tony : je ne parie jamais si... si je suis ne suis pas sûr de gagner... et... et là... je suis sûr qu'en fin de compte... v... vous allez perdre tous les deux, fit-t-il au bout d'un moment en s'approchant encore plus de son ordinateur

Ziva : mais qu'est -ce - qui t'intéresse autant dans... ?

Tony : Chut ! C'est un site français sur les séries, je cherche une vieille série et...

Ziva : mais bien sûr !

Tony : oh ! ce n'est pas vrai ! s'exclama-t-il soudainement.

Ziva et McGee : QUOI ?

Tony : vous ne le croirez jamais ! Eh le bleu, on a fait une série sur ton stupide bouquin ! finit-t-il par dire en riant

McGee (les yeux rond de stupeur) : hein !?

Ziva : une série française ?

Tony : non, américaine ! Tu ne me feras pas croire que tu ne le savais pas, le bleu !

Ziva : c'est vrai ! ce sont nos noms dans ton roman, McGee ! Et TIVA !!! C'est quoi ça, encore !

McGee : c'est plutôt moi qui n'arrive pas y croire ! Tu es sûr Tony, parce qu'en principe j'aurais eu des droits d'auteur sur...
Tony (en riant) : tu peux me croire, il y a même des fans qui portent ton nom comme pseudo et waw ! j'ai un topic rien que pour moi, mais...

La voix énervée de son patron résonnant dans le couloir en haut de l'escalier le coupa net, il referma aussitôt la page du site et se redressa (dans)sur son siège, ses deux coéquipiers prirent place à leur tour à leur bureau.

Gibbs, suivi de prêt par la secrétaire du directeur , descendait au pas de course l'escalier menant à la grande salle ignorant les appels incessants de la jeune femme

La secrétaire : Monsieur le directeur... elle s'arrêta en le voyant se retourner et la fixer droit dans les yeux, d'un regard menaçant

La secrétaire : Agent Gibbs, vous devez encore signer ces papiers et vous avez un rendez vous pour...

Gibbs : il arrive dans quelques heures, il n'a qu'à le faire lui-même ! lança-t-il en repartant.

La secrétaire : mais...
Le regard foudroyant qu'il lui lança finit par la dissuader de continuer ; elle remonta alors, la mine décomposée ,à son bureau
Ziva (en chuchotant) : tu me dois dix dollars, McGee !

McGee : pas encore ! Il n'a pas repris sa place d'agent de terrain !

Gibbs les regarda un moment sans rien dire, avant d'aller chercher son café au distributeur ; il devait bien l'admettre, ils lui manquaient, au moins, avec eux, ils pouvaient défouler ses nerfs sans que ça finisse en larmes comme avec cette pauvre secrétaire.
Les trois agents voulurent reprendre le débat sur l'issue du pari, mais la silhouette féminine qui se dessina devant eux coupa court à leur discussion enflammée.
C'était une très jeune femme à la chevelure noire et au teint pâle, ses beaux yeux bleus perdaient de leur charme par la faute de cernes bleuâtres qui s'enfonçaient jusqu'à la naissance de ses joues amaigries, ; ses lèvres desséchées frémissaient à vue d'œil, comme si elle récitait quelque chose par cœur, sa grande écharpe qui lui recouvrait les épaules cachait à peine son grand ventre annonçant un imminent heureux événement.
Elle semblait chercher quelque chose des yeux, son regard allait et venait d'un coin à l'autre dans le grand espace ouvert ; soudain Gibbs fit son apparition , revenant avec sa tasse de café à la main, c'est alors qu'elle s'élança à sa rencontre et lui agrippa son col de veste d'une main tremblante et le supplia du regard.

La jeune femme : ils sont la ! ... Ils sont venus pour vous ! Ne les laissez pas faire ! Je vous en supplie !... ils... ils vont vous....

Ses paroles s'arrêtèrent , car elle s'effondra au sol, entraînant dans sa chute la tasse de café de Gibbs et son contenu avec ; il resta sans voix devant le spectacle qui s'offrait à ses yeux, la jeune femme dont l'écharpe était restée accrochée à son bras, avait sur toute la poitrine une multitude de taches de sang recouvrant tous ses vêtements.

 

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Tony: J'appel une ambulance, Mc Gee appel Ducky et Palmer, patron... patron ?

Gibbs, était planté là devant la jeune femme a ses pieds, il ne bougeait plus c'est comme si il était pétrifier par ce moment, il s'avait.

Tony: PATRON !!!! BOUGE TOI UN PEU !!! LA LAISSE PAS PAR TERRE !!!

Gibbs fit un sursaut, pendant que Mc Gee appelais Ducky et Palmer, Ziva appelais Abby, pour qu'elle ce dépêche, les cousp de téléphone fini, Ziva aida Gibbs a porter la jeune femme pour la mettre sur la chaise de bureau de Gibbs, celui-ci lui donna de l'eau, elle avait l'air désidraté, elle reprit peu-à-peu connaissance.

Jeune femme: Où...où suis-je ?

Tony: Vous êtes au NCIS, mais qu'est-ce que vous êtes venu faire ici ?

Jeune femme en parlant à Gibbs: ils sont la ! ... Ils sont venus pour vous ! Ne les laissez pas faire ! Je vous en supplie !... ils... ils vont vous faire souffrir !

Tony: Quoi ? mais qui ? patron ?

Gibbs était partit laissant sont équipe sur place. Sans prévenir où il allait et pourquoi il partait, il n'avait pas pris son téléphone portable...

 

Dès qu'il recut l'appel, Ducky prit sa trousse de soin puis Palmer et lui montèrent dans l'open space. Il s'approcha de la jeune femme et commenca à lui parler d'une voix douce tandis que Tony et Ziva lui expliquaient la situation.

Ducky : Bonjour madame, je suis Donald Mallard mis mes amis m'appellent Ducky.Je suis le médecin du NCIS. Comment vous sentez vous? Je vais vous examiner mais n'ayez pas peur, tout va bien se passer.

 

La jeune femme lui parla un peu de sa vie, de son mari qui était dans la Navy depuis quelques années sans toute fois parler de la raison pour laquelle elle était présente au NCIS et qui l'avait maltraité de la sorte. Ducky, quand à lui écoutait d'une oreille attentive. De temps à autre, il posait des questions auxquelles la femme répondait sur la défensive. La dame brune trembla de tout son corps pendant que le médecin lui appliquait les pansements sur les bras et les jambes.

 

Tony: Est-ce que je peux avoir le nom de votre mari, s'il vous plait ?!

Jeune Femme: Il s'appel Dany Gibbs.

Tony: QUOI ?!!! mais le patron n'a pas de frère ni de soeur, ni... c'est...

Ziva, continua la phrase de Tony en disant que c'était un cousin, qu'elle le savait parce qu'elle a profiler Gibbs pour Ari, et que maintenant Gibbs devait être a la rencontre de son mari.

Jeune Femme: Impossible, il est introuvable depuis 2 jours, et si je ne me trompe pas, Dany et Jethro on travailler ensemble, au panama ?!

Tony: D'après le fichier oui. Mais sinon quoi d'autre ?

Jeune Femme: Il me semble qu'il ce sont disputer a cause d'une certaine femme, Shannon...

Mc Gee a ce prénom fit un sursaut, et cria dans tout le NCIS, "C'était sa femme !"

Tony: On sait le bleu... bon continuons de chercher...

 

Alors que tout le monde (sauf Gibbs) était au petit soin avec la jeune femme, dans leur dos, la porte de l'ascenseur s'ouvrait et le directeur Vance en sortit, le visage particulièrement fermé. Lorsq'un bruit étrange se manifesta de sous sa chaussure, le directeur regarda au sol et vit qu'il était en train de piétiner en gobelet de café renversé... et que sa chaussure gauche, en cuir italien, à 400$ la paire, baignait dans une mare de café refroidi. De fermé, son visage passa à cramoisi de colère. Il aperçut alors la jeune femme, assise sur une chaise, entourée de son médecin-légiste et de ce qui était censé être ses 'meilleurs agents'...

Vance, furieux: "DINOZZO !! C'est quoi ce foutoir ??"

Dinozzo lui expliqua alors briévement la situation: la jeune femme qui s'était effondrée et qui tenait des propos incohérents, la disparition soudaine de Gibbs, son cousin, leurs aventures au Panama, etc...

Vance, le regard toujours noir: "Et alors?? Qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse? Vous n'avez pas d'enquêtes plus prioritaires à mener?... Je m'absente une semaine, je confie le bureau à Gibbs et le NCIS se transforme en accueil social..."

Leon sortit un cure-dents de la poche intérieure de sa veste, soigneusement protégé dans un emballage hermétique, le sortit de son étui de cellophane et le porta à sa bouche. Il se tourna ensuite vers Ziva...

Vance, soupirant d'impatience: "David! Trouvez-moi Gibbs, immédiatement... (se dirigeant ensuite vers l'escalier) Et quand vous l'avez trouvé, vous l'envoyez dans mon bureau."

Leon montait les escaliers, en direction de son bureau...

Vance, sans se retourner: "Et vous, Dr Mallard... Elle va bien, vous pouvez retourner dans votre morgue. N'oubliez pas de prendre monsieur Palmer avec vous."

Arrivé sur la mezzanine, Leon entra dans son bureau et ferma la porte en la claquant... ça allait chauffer!

 

Gibbs gara sa voiture sur une allée menant vers la maison du cousin qu'il n'avait pas revu depuis l'enterrement de Shanon et Kelly, ils avaient d'ailleurs eu une violente dispute ce soir là.

Il remarqua tout de suite les marques de sang sur la poingée de la porte d'entrée et le paillasson de bienvenue, cela ne présageait rien de bon. La main sur son arme accrochée à sa taille, il frappa un petit coups pour se faire annoncer mais la porte s'ouvrit dés qu'il la frolla, cette fois, il en était sûr, un drame venait de se produire.

Gibbs s'immisça alors dans la grande batisse du style colonial, il fit à peine quelques pas dans le hall d'entrée qu'il aperçut une trainée de sang qui se dessinait sur le sol, son arme à la main, il accourut pour voir et découvrit alors le corps inanimé de celui qui un jour faisait partie de sa famille, il approcha une main pour prendre son pou, et,sans surprise il compris qu'il était mort, des traces de lutte, de torture et grandes fouilles se lisaient sur lui et le décor de son salon, il voulu téléphoner mais découvrit qu'il avait oublié son portable à l'agence, soudain de téléphone de la victime sonna, le numéro était inconnu, il hésita un peu, puis finit par décrocher, seulement la voix qu'il entendit le surpris au plus haut point.

Contre toute attente, c'était celle de Ziva qui essayait de lui expliquer que Vance le chechait et comment elle avait fait pour le trouver,mais il la coupa 

Gibbs: Ziva! coupa-t-il sèchement. On a un meutre!  un marine's! si tu as trouvé le numéro, tu connais sûrement l'adresse, rappliquez ici, tout de suite!

Ziva tenta de lui faire comprendre qu'il devait revenir à l'agence à cause de Vance et que Tony, son intérim depuis une semaine pouvait s'en occuper mais il raccrocha la laissant plantée, le téléphone sur son oreille, devant Vance qui lui demandait des comptes. 

 

En attendant l'arrivée de son équipe, Gibbs fit le tour de la maison, les décorations militaires de son cousins lui rappelèrent leur service au panama, ils étaient proches à cette époque là, d'ailleurs sa photo de famille avec Shannon et Kelly trônait sur la cheminée, il avait du mal à se concentrer, que c'était-il passé dans cette maison, et pourquoi cette femme est venue le voir, elle ne le connaissait pas, en tout cas pas personnellement, la seule raison qui l'avait poussé à la reconnaître, c'est les plaques militaires de son mari qu'elle avait autour du coups, alors comment l'a-t-elle retrouvée? Cette photo ne pouvait en aucun cas lui indiquer la route du NCIS! et ses paroles! De quoi parlait-elle? de qui elle parlait? Ceux qui ont fait ça à son mari? mais alors pourquoi le cherchaient-ils, lui!? Peut être que ça ne le concernait pas! Peut être qu'elle parlait du NCIS! trop de questions en suspends et il n'aimait pas ça!

La maison était intacte, la cuisine, les chambres... une chambre d'enfant! Ils ont des enfants!? Ce n'est pas une chambre de bébé, alors ils ont sûrement un autre enfant, mais alors où était-il? Il n'y a pas d'école, ce sont les vacances! le sang sur ses vêtements! Plusieurs taches! ce qui veut dire plusieurs victimes! Et elle! Pourquoi elle n'avait rien? Elle était ici, c'est sûr!

Les vois de Tony, Ziva et McGee se firent entendre du jardin, le fourgon mortuaire ne tarda pas à suivre et bientôt toute son équipe, Ducky et Palmer franchissaient le seuil de la maison.

 

 

McGee s'avançait sur le sol mouillé de la pelouse de l'autre Gibbs:

McGee: Wahou chic la maison! je croyais que Tony était le plus riche de l'équipe! s'exclama-t-il ce qui lui vaut un Slap trés fort à l'arrière de son crâne de Tony qui lui rappela qu'ils étaient là pour le boulot pas pour la rigolade

McGee: AIE!!! bin! quoi c'est vrai non!

Tony ne l'écouta pas, il jeta un coup d'oeil rapide aux alentours avant de répartir les taches.

McGee: eh, Gibbs est de retour! t'es plus le chef! Tony!

Mais ce dernier se contenta de lui lancer un regard noir (comme ceux qu'il s'était mis à lancer depuis une semaine) avant d'aller voir Gibbs pour en savoir plus.

ziva : Je suis désoléé GIbbs , qui auais bien pu faire ça il avait des enemis ?

 

 

Tony: Mc Gee, croquis et photos et Ziva tu prend les dépositions des témoins, si il y en a ! compris ?!

Mc Gee et Ziva répondir avec un grand oui. Puis Tony alla voir Gibbs, pour lui demander, ce qu'il ce passer.

Tony: Alors boss qu'est-ce qu'on a ? Patron ? OH PATRON TU M'ECOUTE !!?

Gibbs ne répondait pas, il était dans ses pensés, des pensés douloureuses, qui le hantait depuis des lustres, sans pouvoir s'en échappé.

Tony quand a lui observait la scène de crime, voyant des gouttes de sang qui vont vers la petite salle de bain de la chambre, il ce demanda si il pouvait y avoir quelqu'un, de blessé ou mort, mais dans tous les cas il préférait vivant. Il s'approcha de la porte... mais Gibbs l'ennempécha il lui demanda pourquoi et celui ci lui répondit qu'il avait un mauvais présentiment et qu'il allait l'ouvrir. Tony commença le compte a rebourd, et chacuns de ces moments, Gibbs repensait a Shannon et Kelly...son équipe...ses amis...

Tony: 3...2...1...Go !

Gibbs entra en furie mais ce fut un spéctacle d'horreur pour les deux agents, une petite fille agé de 20 ans environ, brune avec des yeux d'un bleu azur, Gibbs n'en croyais pas ses yeux il ne bougea pas, Tony lui vérifia de suite son pou, heureusement elle était encore vivant, il poussa Gibbs en lui disant:

Tony: Gibbs, si tu bouge pas, je te préviens je m'occuperais personnellement de cette enquête !

Gibbs, ne bougeait toujours pas, Tony ne savait pas qui était cette fille et il voulait savoir, il appela une ambulance qui arriva 5 minutes plus tard.

 

 

De son coté Abby avait été mise au courant de l'état de Gibbs, par Ducky qui avait des techniques bizzaroides mais efficaces pour "espionner" Gibbs. Elle en fut d'ailleur épaté.

Abby: Ducky, tu ne t'en sert que pour gibbs j'espere car, cela me déplairait que tu sache ce que j'ai fait hier soir!

Ducky toussotta et lui re-expliqua, une deuxieme fois l'histoire, et Abby repris son serieux et sa dramatique attitude. Elle essaya d'appeller McGee, une fois que Ducky eu quitté la piece, mais en vain. Cinq appel plus tard, McGee répondit, avec mauvaise humeur, comme quoi Tony jouait encore les boss, que Gibbs était dans un état qu'il ne ferait meme pas de mal a une mouche avant avoir repris le controle de sa conscience, car pour l'instant il était dans les vappes. Abby traduisit cette derniere phrase par "Gibbs est a l'hopital"? Petite dispute entre McGee et elle car elle tournait tout au dramatique, et que si Tony arrivait et qu'il était pas en train de faire son boulo, il allait ne plus pouvoir bouger la tete jusqu'a ses 150 ans. Bref, ca mauvaise humeur était contagieuse et Abby, exaspérée, lui coupa au nez. Elle alla parlez a Bert.

Abby:  Dit Bert, quand tu te fache avec des amis, qu'est ce que tu fait pour tout réparer... hein?

Elle savait bien que bert ne lui répondrait pas, mais elle s'obstinait a le croire... et renonca, les conseil d'une peluche val bien ceux d'un abruti. Elle alla chercher son premier Caf Pow de la journée, car elle aurait voulu arreter la cafeine, mais dans ces moments la, ça lui était impossible. Alors une fois son Caf Pow en main, elle se laissa glisser le long du distributeur,e t pris un café pour Gibbs, pour qu'il reste son Gibbs, et que tout rentre dans l'ordre, tel les esperences d'une petite fille reveuse.

Gibbs s'approcha de la petite fille qui aussitôt dans ses bras commença à bredouiller quelques mots, elle répétait encore et encore, papa... pa... pas mon... papa, pourquoi... laissez le... Gibbs... oui... non... c'est pas lui... il s'appelle pas...c'est pas lui ... Zhethrooo!!!

Ces mots donnèrent la chaire de poule aux deux agents, aprés la femme, maintenant c'est la petite fille qui s'y mettait, si Tony commençait à s'inquiéter pour la vie de son patron, Gibbs n'avait à la bouche qu'une seule phrase

Gibbs: c'est à cause de moi... ils sont venus pour moi... fit-il d'une voix presque inaudible

Tony aurait voulu lui poser tant de questions, mais la sonnerie de téléphone dans sa poche lui rappela qu'il avait pris celui de Gibbs pour le lui rendre puisque ce dernier l'avait laissé au bureau.

 

 

C'était Abby qui appellait car vu ce que McGee lui avait dit, elle avait des raisons de s'inquieter.

Abby: Gibbs Gibbs! Ca va? Dit moi que ca va s'il te plai! Gibbs!!! Répond!

Gibbs lui répondit donc d'un ca va pas super convincant mais suffisant pour Abby.

Abby: Je suis si contente que tu aille bien! Je t'ai pris un café mais il a refroidit je l'ai mit dans le four a micronde de Vance mais il m'a suppris et je fait quoi maintenant, ton café n'est pas assez chaud pour le boire!

Gibbs soupira et lui répondit qu'il la rapellerait et raccrocha. Abby laissa couler une larme, seule dans son labo, elle se demandait ce qui clochait chez elle, et se resaisit car Gibbs risquait de rentrer d'un moment a l'autre et elle ne voulait pas le déssevoir comme elle avait déçu McGee.

 

 

Ducky entra suivit de Monsieur Palmer et ils s'approchèrent tous deux du corps de l'homme.

Ducky: Monsieur palmer, pouvez vous me passer le thermomètre s'il vous plait?

Le jeune étudiant en médecine lui fit passer l'instrument que le docteur Mallard planta dans le foie de la victime.

- Ducky: Voyez vous Monsieur Palmer, cela me rappelle une triste histoire. Il y a trois ans, on a retrouvé le corps d'un jeune couple qui avaient été tués dans leur maison de campagne.

Mais il fut coupé par Gibbs....

 

Gibbs: Heure de la mort? demanda-t-il en arrivant le visage grave, avant de se retourner vers le jeune apprentit légiste

Gibbs: il y a une fillette avec DiNozzo dans la salle de bain, elle est blessée... Commença-t-il, mais comme Jimmy le regardait d'un air reflêtant son incompréhension la plus totale, il rajouta:

Gibbs: T'es médecin ou NON!!! explosa-t-il furieux ce qui fit sursauter le pauvre monsieur Palmer et attira l'attension de Ziva et McGee qui reccueillaient les indices de la scène de crime.

Jimmy essaya de répondre d'une manière cohérente, mais tout ce qui sortit de sa gorge était un bruit étrange ressemblant à une affirmation

Gibbs: ALORS! s'écria-t-il hors de lui

C'est alors que Ducky expliqua d'une manière un peu plus civilisée que Gibbs lui demandait en fait d'aller osculter la petite fille, ce qu'il s'empressa d'aller faire en lui  jetant un coup d'oeil térrifié avant d'entrer dans la salle de bain

Gibbs: et cette heure de décés!? c'est pour aujourd'hui ou pas, Ducky!! Fit-il en se retournant vers son vieil ami le regard foudroyant

Ducky: D'après la température du foie, la victime a rendu son dernier soupir il y a quarante huit heures. Elle a recu de nombreux coups de feu dans le thorax et dans les jambes et des lacérations au visage et aux jambes. J'ai compté dix blessures de balle et cinq de coups provenant d'une arme blanche. Tu sais Jethro, monsieur Palmer est un bon médecin et tu devrais faire attention à ce que tu fais,il n'est pour rien à ce qui se passe. Il fait de son mieux même si il est encore timide.

 

 

Tony était dans la salle de bain avec la petite fille, qui avait peur, non pas pour elle, mais pour Gibbs, c'était son "grand cousin" pour elle, un membre de la famille, en qui elle a confiance et elle l'aimait.

Tony: Dit-moi Gibbs est qui pour toi ?

La petite fille lui répondit que c'était comme un grand cousin comme son père le lui avait expliqué. Mr Palmer arriva, il demanda à Tony de bien vouloir le laisser avec elle, ce qu'il fit. Dans le sallon, Gibbs ce tenait debout près de Ducky, qui celui-ci venait de lui annoncé l'heure du décès qui devait remonter, selon lui, a 20 minutes avant que la jeune femme arrive au NCIS, Gibbs expliqua le tout a Tony:

Tony: D'accord, mais alors elle aurait très bien pu le faire ! qui te dit que ce n'est pas elle ? allons c'est simple on avait la coupable dans nos locaux et on en savait rien, elle nous a laisser ses empreintes maintenant c'est simple on a juste a la retrouver la coffret pour ce qu'elle a fait et ... (il se tut en voyant Gibbs le regard dans le vide, il ne savait plus où donner de la tête, tout était brouiller dans son esprit, pourquoi cette femme serait-elle venu le voir au NCIS si elle avait fait cette horreur, pourquoi l'avoir prévenu d'un danger iminant ? pourquoi cette petite fille... cette petite fille avait quelque chose de bisard, non qui lui fesait bisard a lui au font de ses tripes, ce regard...)

Tony: Quoi ? j'ai dit un truc qui fallait pas ? PATRON !!!! (aucune réaction)

Mc Gee et Ziva arrivèrent avec plein de nouvelle chose tout aussi étrange.

Au même moment, le téléphone portable de Ziva sonna: C'était Vance!

Vance: "David!! Est-ce que je ne vous avais pas demandé de me trouver Gibbs ??"

Ziva bredouilla quelques excuses mais Vance l'interrompit...

Vance: "Vous plaisantez, j'espère! Ca fait presque 48 heures que je vous ai donné cet ordre et j'ai toujours pas vu de Jethro Gibbs dans mon bureau! Je pensais que les agents du Mossad étaient un peu plus persuasifs que ça... J'ai assez perdu mon temps comme ça, passez moi votre chef... je mettrais ma main au feu qu'il est a côté de vous."

Ziva lui expliqua alors la situation: le cadavre, la fille, Gibbs à côté de la plaque...

Vance, un peu calmé: "David... pour la dernière fois: passez moi Gibbs!"

Résignée, Ziva transmit son portable à son patron. toujours perdu dans ses pensées, celui-ci prit la communication...

Vance: "Gibbs?... Enfin! Décidément, votre indiscipline n'a pas de limite. David m'a expliqué vaguement la situation, mais puisqu'elle parle toujours notre langue comme une vache israëlienne, je n'ai quasiment rien compris à son baratin: c'est quoi cette histoire de fillette de 20 ans??... En tout état de cause, on a un cadavre de Marines sur les bras, je confie donc l'enquête... (soupirant) puisque c'est votre cousin et connaissant votre caractère de mule, je n'ai guère le choix. (haussant le ton) Par contre, il n'y a pas intérêt à ce que votre enquète se transforme en vendetta personnelle. (Gibbs marmonne quelque chose) Ne dites pas le contraire, je sais que c'est tout à fait votre genre... Et si ça devait arriver, je n'hésiterais pas à vous prendre votre plaque... Je ne répéterai pas les erreurs du directeur Sheppard à votre égard!"

Gibbs, prit sur lui de garder son calme et répondit le plus poliment possible à son directeur...

Vance: "Très bien... En tout cas, pressez-vous un peu d'examiner la scène de crime, vous et votre équipe êtes sur place depuis presque 48 heures et nous avons d'autres enquêtes sur les bras, au cas où vous l'auriez oublié."

Sans laisser à Gibbs le temps de répondre, Vance raccrocha son téléphone.

Après avoir raccrocher, Gibbs était encore plus énervé qu'avant, mais Vance n'avait pas totalement tort, d'ailleurs, s'il n'avait pas d'autres chats à fouetter pour le moment, il n'hésiterait pas à distribuer un SLAP collectif à toute son équipe, au lieu de faire leur travail, ils ne pensaient qu'à une chose, à quoi pensait-il lui, comme si ça les regardait!

Gibbs: Ziva!

Elle commença à lui faire l'exposer des indices qu'elle avait recueillis avant même qu'il termine sa question, aucune marque d'effraction et les voisins disent n'avoir rien remarqué d'étrange ni entendu quoi que se soit d'inhabituel, et les deux voitures des maîtres des lieux étaient encore garées dans le garage.

Gibbs: McGee!

Trébuchant sur un meuble, il faillit s'écrouler à ses pieds en lui rapportant les douilles récoltées prés de la victime, le bleu lui relata ses conclusions dues au fait qu'il y est autant de douilles différentes.

Gibbs: Donc pour toi, le fait qu'il y est 5 types de douilles différentes prouve qu'il y avait cinq tireurs!

Comme McGee n'arrivait pas à sortir une phrase perceptible, Tony lui expliqua que cela signifiait seulement qu'ils ont utilisé cinq armes sans oublier de lui rappeler à quel point ses déductions témoignait de sa stupidité, comme il sortait tout juste de la salle de bain lui  suivi de Palmer qui tenait dans sa main celle de la petite Gibbs dont le bras était bandé, mais aussitôt arrivé dans le salon, elle lui échappa pour aller voir son père, mais Gibbs l'en empêcha.

Gibbs: Ducky! Tu n'as pas une table qui t'attend dans les locaux du NCIS!!! Ce corps ne va rester là éternellement!

Ducky aurait voulu lui expliquer que tout seul, il n'aurait jamais pu déplacer la dépouille lourde de 95kg, mais son regard froid et impitoyable le déssuada de faire une quelconque remarque supplémentaire

Une demi heure plus tard, chacun installé dans son siège, les voitures ainsi que le fourgon de la morgue se dirigeaient en direction de l'agence du NCIS.

 

 

 

De retour au NCIS, Ducky et Monsieur Palmer emmenèrent le corps de la victime dans la morgue pour faire l'autopsie.Le médecin légiste aurait bien voulut savoir ce qui mettait Gibbs dans cette rage folle.Pourtant, il resta silencieux et commenca son autopsie dans le silence.Le médecin légiste débuta par un examen extérieur de la victime. Il recensa toutes les blessures,examina les ecchymoses et dit finalement:

Ducky: Mon pauvre, vous n'avez pas eu de chance. Pourquoi, vous a t-on autant malmené? vous savez vous me rappelez un ami quand j'étais à la fac de médecine.Avec lui on a fait les meilleures études.

Le docteur se tourna vers son apprenti qui lui répondit d'après sa théorie. Ducky lui demanda le scalpel afin de faire la suite. Il incisa au niveau du thorax et chercha dans le corps de l'homme tous les projectiles reçus pus il s'occupa de tout le reste ( le foie, l'estomac....)

Ducky: Monsieur Palmer, allez porter tout ça à Abby s'il vous plait.

 

 

Tony était dans l'open-space avec la petite fille, qui semblait très en forme tout de même et ne sessait pas de l'embêté.

Tony: Nan mais t'as pas bientôt fini, je dois bossé un peu quand même !

Elle en fesait encore plus, mais Tony ce facha plus violament et elle partit s'assoir sur les genoux de Gibbs, qui lui regarder le dossier de son cousin, qu'il n'avait pas vu depuis un certain bout de temps, pas après la mort de Shannon et de Kelly, la petite lui rappelais étonnament Kelly, sont regard avait changer et Tony le remarqua.

Tony: Patron, tu pense à elle ? c'est ça ? aller dit le moi ! s'il te plait.

Gibbs lui répondit d'un bon gros "ferme là" et Tony voulut en savoir plus, il savait que quelque chose n'allait pas chez son patron.

Tony: Gibbs, tu es peut-être mon patron mais avant tout tu es mon ami ! dit moi ce que t'as !

Gibbs demanda a la petite fille d'aller voir Abby, qui avait fini les analyses, puis Gibbs ce leva brusquement pour ce dirigé vers Tony.

Tony: Va-y frappe moi !

Gibbs, ne le fit pas et lui demanda de le suivre dans l'ascenseur, ce que fit Tony, puis il bloqua l'ascenceur.

Tony: Quoi ?! tu vas me tué maintenant, t'as bloqué l'ascenceur et tuvas me tué c'est ça ?

Son patron lui expliqua, que si il était comme ça c'est que pour il ne savait qu'elle raison quelqu'un voulait continuer ce que Hernandez avait commencer il y a 17 ans.

Tony: Cet-à-dire ?

Gibbs le lui expliqua que quelqu'un de la famille de Hernandez voulait peut-être ce venger, donc lui faire du mal et le garder pour la suite.

Tony: On le laissera pas t'approcher, je vais te coller au derrière tu vas voir ! (il remit l'ascenceur en route, les portes souvrirs et Gibbs le retînt pas la manche) Ah nan Gibbs ! t'es mon patron et je te protègerais ! quoi qu'il arrive, je sais que c'est ce qu'a fait Kate mais il ne m'arrivera pas la même chose, et ne crois pas ce que t'as dit Vance quand Jenny et morte, ça n'arrivera pas tant que t'es là ! et ne me retient pas ça sert a rien, lache moi ! règle N°1 de DiNozzo, je ne reste pas là a rien faire quand mes amis on des ennuis !

Sur ce il s'en alla voir Abby dans le Labo, et Gibbs voir Ducky, Abby expliqua un tas de choses a Tony.

 

 

 

En le voyant débarquer,le jeune monsieur Palmer trouva que c'était le meilleur moment pour apporter à Abby le rapport préliminaire que Ducky venait de finir, car si Gibbs n'avait rien dit, son regard, lui, était bien éloquant.

Il se dirigea vers la dépouille fraîchement refermée de son cousin, certaines images lui revînrent en mémoire, des rire... des fêtes... des soirées de soldat... les diners de famille... son mariage... le Panama... le retour du Koeit... l'enterrement de sa famille... la dispute...

Mais soudain la voix sereine et appaisante de son vieil ami vint le sortir de sa rêverie, Ducky lui demanda ce qui le rendait si bizarre dans cette enquête

Gibbs: bizarre comment? docteur Mallard!

alors il lui fit remarquer qu'il n'avait pas aligné deux phrases de suite depuis l'arrivée de cette femme

Gibbs: et que voudrais-tu que je dise, Duck?

Le légiste lui répondit qu'il aurait préféré le voir crier un bon coup sur ses agents, menacer McGee, slapper DiNozzo et corriger Ziva plutôt que se terrer dans son silence pesant qui faisait peur à toute son équipe parce qu'ils s'inquiètent pour lui

Gibbs: qu'ils s'occupent plutôt de trouver qui a fait ça! moi je n'ai besoin de l'aide de personne

Ducky voulu lui dire que les menaces évoquées par la pauvre femme allitée à l'unité médicale n'était à prendre à la légère mais Gibbs quittait déjà la morgue en direction de la dite unité médicale

 

 

 

Tony quand a lui arriva chez Abby et posa un tas de question sur ce qu'elle avait trouver, et comme d'habitude elle lui parla en exaterrestre.

Tony: Abby ! imagine que je suis Gibbs ! tien pour la peine je t'es ramener un caf pow !

Abby le remercia et elle lui dit avec précision qu'elle avait relevé les 5 armes qui avait servit et a qu'elle distance et qu'elle heure exact elles auraient été tirer, ce qui attira l'attention de DiNozzo.

Tony: Donc si je te suis bien il y a eu un tir a très longue porter tu dirais 600m, mais seul un sniper peut faire ça, donc nous avons un Bravo 51 a recherché, tu detecté un calibre 9mm, un révolver, un Gamo AF10 et un UMAREX Hi-Capa - A-Type Soft Air. Et tu viens de me dire que le premier tir est sans nul doute le Bravo 51, donc nous avons a faire a un sniper de haute qualité et alors pourquoi il y aurait 4 autres armes !?

Abby lui répondit qu'elle ne savait pas, la petite fille qui était là raconta a Tony que son père avait toutes ces armes, donc on peut supposé que quelqu'un a volé les armes... mais dans quels but, Gibbs arriva et slappa Tony.

Tony: AIE !!! patron content de te revoir !

Gibbs expliqua ensuite, que son cousin, devait avoir des ennemis très au placé et il ne se douta sans nul doute de ce qui allait ce passer, un bruit sourd et presque inodible, ce fit entendre, Tony ce coucha sur son patron et pris une balle dans l'épaule gauche.

Tony: ARGH !!!!!

Abby, c'était jeté sur la petite fille, puis Gibbs étaigna toutes les lampes en trainant son ami dans un coin, en essayant de faire cesser le sang, il appela Ducky pour qu'il prévienne de suite Vance, même si il ne le voulait pas mais il était obligé.

Mc Gee et Ziva pendant ce temps fesait des recherches sur le passé des deux Gibbs, et trouvèrent des choses assez étonnantes.

 

 

Quelques heures s'étaient écoulées depuis la fusillade dont Tony était la victime et Gibbs la cible, la balle était sortie, donc l'état de Tony passa trés vite d'inquiétant à navrant, voir même saoulant,puisqu'il refusa d'aller à l'hôpital et préféra rester gémir avec ses coéquipiers.

Gibbs quant à lui, repensait à ce que la femme de son cousin lui avait dit:

"ils étaient plusieurs, je n'étais pas à la maison, quand je suis retré j'ai trouvé ma pauvre... elle était blessé et lui... il gisait à terre baignant dans son sang,... ils m'ont empêché d'approcher... ils parlait de vous... du NCIS... ils n'ont pas fait d'erreur... mais je ne comprend pas sont-ils venus le voir lui... vous savez vous?...si... si ils vous voulaient pourquoi sont-ils venus chez nous... pourquoi l'ont-ils tué lui... il était facile de vous trouver... même moi je vous ai trouvé..."

Elle n'avait pas tort, un sniper, cinq armes différentes, chez lui, et lui parler du NCIS, ce n'était qu'une mise en scène, ils ont sûrement autre chose en tête, c'est trop facile, s'il voulait le tuer, pourquoi passer par son cousin, le sniper aurait juste eu à le guetter à la sortie de l'agence.

 

 

La petite fille qui depuis la belssure de Tony n'avait rien dit, restait dans son coin prés du bureau de Gibbs à fixer le vide d'un regard perdu, soudain, elle aperçut le directeur Vance passer:

La petite fille: Vous zêtes le directeur? cria-t-elle en se levant ce qui l'interpella, mais comme il la regarder l'air d'être surle point de se mettre à crier sur tout le monde, elle se dirigea vers lui

La petite fille: ils avaient parlé d'un directeur c*** avec un stupide cure dent et que vous alliez finir par retirer l'affaire à l'agent Gibbs au bout de quelques temps puisque l'enquête n'avancerait à rien

Vance, dont les joues tournèrent au violacé, eut un grand mal à se de lui répondre sur le ton le plus poli qui'il put utiliser pour lui demander de quoi pouvait-elle bien parler puisque en fin de compte c'est se qu'il s'apprêtait à faire justement pour limiter les dégats

La petite filles: ces hommes qui ont... qui nous ont fait du mal, ils ont prévus tout ça, la mort de papa, l'arrivée de maman ici, que l'agent Gibbs et son équipe soient chargés de l'affaire, la fusillade dans le labo et votre colère! maman ne le sait pas, elle s'était évanouis à la mort de papa et moi j'étais dans la salle de bain, ils n'ont pas pensé que je les écoutais

Ce que disait la petite fille était plus qu'alarmant, le directeur essaya d'outre passer le fait qu'il venait de se faire traiter d'idiot par une fillette, et se concentra sur l'essentiel: où était donc cette équipe d'incapables!!! 

 

 

Vance était encore dans l'open-space, à réfléchir sur les remarques de cette désagréable gamine, lorsque Gibbs sorti de l'ascenseur, revenant d'un endroit indéterminé et sortant ainsi le directeur de sa torpeur...

Vance: "Gibbs! Vous tombez bien... Je voulais vous prévenir que le FBI est maintenant impliqué dans l'affaire."

Gibbs eut un sursaut. Il n'avait pas besoin que Fornell vienne mettre son nez dans ce dossier, il pouvait s'en sortir avec son équipe. Il demanda donc des explications au directeur...

Vance: "L'attaque dont le labo du NCIS a été la cible... C'est considéré comme une attaque terroriste dirigée vers une agence fédérale, et donc du ressort du FBI. Ca ne me plait pas plus qu'à vous... mais au moins, peut-être que l'enquête avancera plus vite si le NCIS et le FBI collaborent."

Gibbs lui rappela qu'il n'était jamais ravi de collaborer avec Fornell...

Vance: "Rassurez-vous, Gibbs!... Ce n'est pas Fornell qui est chargé de ce cas."

Le directeur adressa un clin d'oeil à Gibbs, avant de retourner vers son bureau. Arrivé sur le premier palier des escaliers, il se retourna vers Gibbs qui s'était assis à son bureau pour discuter avec la fillette...

Vance: "L'agent du FBI chargé de l'attaque du labo est l'agent Woodward. Il doit me transmettre un rapport en fin de journée. Allez savoir! Il aura peut-être résolu l'enquête à votre place."

 

 

Abby, elle de son coté, était plus énergique qu'elle ne l'avait jamais été. Les réponse ne tardèrent pas. Juste a ce moment justement, Gibbs entra assez en colere dans son labo.

Abby:  Gibbs tu arrive au moment de vérité! Les taches de sang sur le T-Shirt viennent du sang d'un certain Arthur McDonough. En 1998 il a quitta la marine il y a 5 ans a cause d'une dégénération cellulaire a stade très avancé et...

Gibbs la coupa car il était plutot habitué a demander les information a Ziva Tony et McGee mais Abby lui répondit que elle avait eu des infos sans avoir a trop chercher et elle voulait tellement lui faire plaisir.

Abby: Donc je disait qu'il avait quitté la marine pour entrer a l'hopital 3 mois après. Avec un coup de chance hors du commun, il en sortit 2 ans plus tard, en 2005. Il fu hébergé par sa soeur Catherine Pearson-McDonough au lieu de se retrouver a la rue. Il s'inscrit en 2007 sur un site de rencontre et un site de retrouvailles entre ancien élèves de meme établissement ou il rencontra notre chère jeune femme qui a changer de nom depuis sa scolarité. Avant, on la nommait  Amélie Martin et...

Quand Gibbs sortit de la salle en marchant sur le papier alluminium qu'elle avait installé, Abby se retourna et sourie car son "signal d'alarme" avait fonctionné. Alors elle l'appela sur son téléphone et dit:

Abby: J'ai d'autre truc tu sais? Dans le sang retrouvé, il y avait des petits éclat microscopiques de cuivre. C'est surment avec une barre de cuivre que ce Arthur fut légèrement bléssé. Pourquoi légèrement? Car les résidus de cuivres sont pas assez abondants pour une blessure profonde qui nésséssiterait un plus long transpercemant du corp.

 Gibbs la remercia d'un "Très bon travail Abby" qui la fit rougir comme une pivoine.

Abby: Au fait ... Il est ou mon Caf Pow?

Gibbs lui répondit d'un "sur ton bureau" et coupa. Abby se retourna et dit:

Abby: C'est bien lui ça.

 

 

Ducky parlait deux bonnes heures avec la femme du Marines dans la salle de soin de soin du NCIS quand Gibbs déboula dans la pièce. Il venait de penser à quelque chose que seule la jeune femme pouvait confirmer.

Ducky: Mon cher Jethro, que nous vaut l'honneur de ta visite? Aurais tu trouvé une nouvelle piste qui nous mènerait à l'assassin que l'on recherche? je suppose que tu as besoin de mes compétence pour faire avancer l'enquète, sinon tu ne serais pas ici. Que puis je donc faire pour toi?

 

 

Abby se rappella un petit détail qu'elle avait oublié. Alors elle téléphona a Gibbs ce qui était magique car pour une fois, il avait réussit a tenir son protable en bonne santée pendant quelques secondes.

Abby: Gibbs juste un petit détail que j'avais oublié! La femme du marine et son maris s'étaient mariés en 2003 et lors de la rencontre de Amélie et Arthur sur le site de rencontre en mai 2007, le maris était en Irak depuis deux semaines tout juste. Et d'après moi, il ne fut jamais au courant que sa femme avait rencontré McDonough sur ce site et j'espere ne pas me tromper.

Alors elle raccorcha sans en laisser le temps a Gibbs au bout du fil.

Gibbs raccrocha, ce qu'avait dit Abby confirmait certains de ses soupçons, il resta quelques secondes absorbé par ses pensées avant de répondre à Ducky

Gibbs: en fait, c'est à vous madame... madame Gibbs que je voulais parler! finit-il par dire en se retornant vers elle

Ducky s'excusa poliment avant de les laisser seuls, alors il prit une chaise et s'assit prés d'elle

Gibbs: dites moi madame Gibbs, vous aimiez votre mari?

La pauvre femme faillit suffoquer d'indignation, mais il la calma aussitôt

Gibbs: que faisait Arthur chez vous? interrogea-t-il d'une voix déterminée

Elle voulut nier, lui crier qu'elle était une femme fidèle, mais son regard calme et imperturbale finit par la faire craquer, alors elle lui explica entre deux sanglots qu'elle était seule et abandonnée, qu'elle n'a jamais cesser d'aimer son mari, mais que son absence, ses responsabilités, sa fille, tout lui semblait difficile

Gibbs: Arthur! se contenta-t-il de dire au bout d'un moment d'un regard glacial

Alors, elle lui dit qu'elle ne l'avait pas revu depuis , le retour de son mari, qu'il ne faisait pas partie de sa vie, plus maintenant. Ce matin là, il sonna à sa porte et c'est sa fille qui a ouvert, quand elle l'a vu dans son salon, elle ne savait pas quoi faire, elle demanda à sa fille de monter dans sa chambre et lui ordonna de partir, mais lui ne voulait qu'une chose voir son mari, ça l'avait choquée, pourquoi maintenant, il n'avait rien à faire dans sa vie!

Gibbs: et votre fille, c'est celle de...

Elle se remit à pleurer, jamais elle n'aurait imaginé qu'un jour son secret le plus lourd aurait été mis à jour, elle lui dit qu'elle ne pouvait pas lui permettre de gacher sa famille, alors dés qu'il avait le dos tourné, elle le frappa d'un coup du baton de golf de son mari qui le mit à terre, elle crut qu'elle l'avait tué, alors elle s'approcha pour voir, c'est là que son mari rentra, sa fille avait prévenu son père par téléphone de la présence d'un homme étranger à la maison, et juste au moment où son ex amant se mit debout pour lui faire face, un bruit étrange, une fraction de seconde aprés son mari baignait dans son sang à terre

Gibbs: et...

Elle le coupa, son regard s'était changé, elle semblait térrifiée à l'idée de revivre la scène dans sa tête, elle dit qu'à ce moment là, les autres hommes arrivèrent, sa fille était redescendu en entendant son père crier, elle, avec ses sept mois de grossesse ne pouvait rien faire, elle assista pétrifié au passage à tabas de son époux, certains d'entre eux parlaient une langues de l'amérique latine, comme de l'espagnole, il lui ont posé beaucoup des questions à propos de l'autre Gibbs, de celui qui était devenu un agent fédéral, mais comme il ne disait rien, ils finirent par le tuer, elle ajouta qu'elle ne savait pas ce qui s'est passé aprés, en se réveillant, elle a accourut vers sa voiture, en direction de l'agence, car elle le connaissait de réputation

Gibbs (en composant un numéro de téléphone): McGee! descend voir Abby! faites une recherche complète sur l'homme en question... elle CONNAIT SON NOm! c'est elle qui l'a trouvé! cria-t-il avant de raccrocher et quitter la pièce en direction de l'open space.

 

 

Ducky revint à la fin de l'explication entre Gibbs et la jeune femme. Celle ci pleurait toujours.En voyant cela, le médecin interrogea son ami du regard pour savoir pourquoi la femme se trouvait dans un grand état de stress mais l'agent ne fit attention.

Il sortit à la suite de Madame Gibbs, laissant Ducky perplexe. Il se dirigea vers le casier où se trouvait le corps de la victime de cette affaire et commenca à lui parler.

Ducky: J'espère mon ami que la justice sera encore une fois rendue. Personne ne mérite de mourir comme cela.

 

 

Gibbs resta silencieux à contempler le corps de son cousin, il repensait à tous les indices reccuillis sur l'enquête, certains collaient, d'autres se contre disaient, une seule chose était sûre, il y avait eu une mise en scène sur les lieux du crime, pourquoi autant d'armes différentes? pourquoi lui demander des informations sur moi? et pourquoi avoir laissé la femme en vie? si c'était des gangs de drogue, ils n'auraient pas laissé de témoins derrière eux, et s'il était visé, il serait mort avant d'arriver au travail ce matin, les paroles de la petites filles, les informations collectées sur cet Arthur, disparus de tous les fichiers depuis pas mal de temps, soupçonné de travailler pour des organismes terroristes dans toutes les bases de données mondiales, pourquoi revenir maintenant? et apparemment ils prévoyaient chacun de leur mouvements, ils savaient ce qu'ils allaient faire, donc ils avaient étudié le NCIS!

Soudain, son regard changea, la petite fille, elle n'arrêtait pas de... et puis personne ne la toucha, ils la laissèrent juste là comme si...

Alors il se dirigea d'un pas rapide vers l'open space, il trouva la petite fille en train d'écrire un truc sur le bandage de DiNozzo

Gibbs: éloigne-toi d'elle DiNozzo! cria-t-il en arrivant

Tony et la petite fille semblèrent choqués, et au lieu de s'exécuter, DiNozzo la retint prés de son torse

Gibbs: TOUT DE SUITE!!! explosa-t-il ce qui fit sursauter la petite fille et paralysa Tony de stupeur, sur le point de pleurer, elle glissa vers le sol et resta debout avec sa petite peluche à la main et resta immobile

Ziva, McGee et Tony voulurent lui demander ce qui se passait, mais il les laissa même pas terminer leurs phrase

Gibbs: Ziva! déclenchez l'alarme! et ordonnez l'évacuation des lieux  McGee! emmenez Tony! MAINTENANT! cria-t-il en s'approchant de la petite fille qui pleurait de peur

Gibbs: Chut... calme toi chérie... tu sais que je ne te veux aucun mal, n'est ce pas? dit-il d'une voix calme et douce, la petite fille répondit d'un hauchement de la tête pour dire que oui

Gibbs: dis moi chérie, ta poupée là! elle est à toi? demanda-t-il en la caressant, alors la petite fille sourit un peu et dit que oui

Gibbs: et tu l'avais avec toi quand les méchant étaient chez toi?

Elle lui explica qu'elle l'avait laissé prés de son père quand elle s'enfuie pour se cacher dans la salle de bain mais l'avais prise quand Tony et Palmer la sortirent de là

Gibbs: rapelle moi de les tuer ces deux là! gronda-t-il entre ses lèvres avent de mettre sa main sur la poupée

Gibbs: tu veux bien me la donner! s'il te plait! je t'avhèterais même une plus belle! fit-il d'une voix basse et calme de peur que la petite fille fasse un geste brusque

Aussitôt qu'elle lacha sa prise, Ziva éloigna la petite fille, en fait personne n'était parti, ils avaient compris ce qui se passait

Quelques minutes plutard, la charge de C4 qui se trouvait enfuie dans le corps de la poupée et qui pouvait faire exploser tout le bâtiment étaient neutralisée et à l'ouverture des portes de l'ascenseur, en voyant Vance arriver accompagné de l'agent du FBI sencé les aider tout le monde éclata de rire.

The end