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Script VF 622

Éric : Acquisition Blackbird. Alerte dans Océan, tourne au nord de Linden. Delta Foxtrot Charlie Bravo.

Macy : Acquisition des caméras de circulation.

Éric : On quitte la Pictometry. On passe en direct dans cinq secondes. Blackbird ciblé.

Kensi : Il traverse du côté est de la rue, Sam. Tu le vois ?

Sam : Ça y est.

Macy : On l'a en visuel, Kensi.

Kensi : Hey ! Bienvenue parmi nous, Macy. On se repositionne derrière moi à l'intersection.

Sam : Hey, doucement Kensi tu vas y être avant lui.

Kensi : Coups de feu ! Coups de feu ! Blackbird essuie des tirs.

Macy : A toutes les unités, on referme, on referme. Coups de feu. Trouvez un autre angle.

Eric : J'essaie Macy.

Sam : Attention Kensi, derrière toi !

Kensi : Occupes toi de Chandler. Vas-y !

Sam : J'ai besoin d'une direction précise !

Macy : Le GPS est dans la mallette. Il faut un visuel sur Chandler, Sam.

Sam : Réponse négative, Macy. Blackbird s'est envolé.

Macy : C'est pas vrai !

 

 

McGee : Tony je ne veux pas discuter avec toi.

Tony : Tu discutes là.

McGee : Non. Pas du tout.

Tony : Et pourtant si.

McGee : Non, ce n'est pas une discussion.

Tony : Je crois qu'si.

McGee : Non ! C'est faux.

Tony ! Si ! Je te le dis. Attends un instant. Secrétariat de Ziva David.

Homme : Je peux lui parler ?

Tony : Elle n'est pas là pour l'instant. Oh ! Attendez, elle est en train d'arriver. Un homme, voix grave, 1 mètre 92, 90 kilos, costard en soie, chaussures Italiennes, se tenant du côté nord de la rue, cherchant Ziva.

Ziva : Merci Tony. Allô ?

Homme : Ziva ?

Ziva : Bonjour. Comment tu vas ? Je voulais justement t’appeler.

Tony : On discutait de quoi, exactement ?

McGee : On n'était pas en train de discuter.

Tony : Oh ! Ça. Si, voyons.

McGee : Tu es conscient que c'est de ça qu'on discutait justement? Du fait que tu vas discuter des choses les plus anodines. Quelques fois, tu discutes même pour rien du tout. Tu veux seulement discuter pour discuter.

Tony : Ça ce n'est pas discuter, McContrarient. S'il te plaît, essaies de te concentrer . Ça s’appelle badiner.

McGee : Non, Tony Je regrette. Badiner c'est l'art de la répartie légère.

Tony : Tu rigoles ?!

McGee : Bon, c'est ton tour d'aller chercher le café.

Gibbs : Discute pas DiNozzo. Ça finit par être énervant !

Ziva : Je te rappelle.

Gibbs : Le café peut attendre, McGee. Un Marine mort non.

Tony : La distance c'est pas facile. Ton amoureux de Tel Aviv ?

Ziva : Tu es jaloux ?

Tony : Je suis pas jaloux.

Ziva : Bien sur que si.

Tony : Non pas du tout : Et je ne discute pas, Gibbs.

McGee : Mais si.

Tony : Pas du tout !

 

Tony : Une vue à marquer d'une croix.

 

Ziva : Première classe Nick Francis Chandler. Camp Pendleton. Californie.

McGee : Il y a la chaussure gauche qui manque.

Tony : Mais non.

McGee : Je te dis que si !

Tony : Tu fais une photo McCliché ? Carte d'embarquement Los Angeles-Washington.

Gibbs : Arrivé ce matin.

Tony : C'est vrai que parfois ces vols sont tuants.

Ducky : Quelle vue magnifique ! Le berceau de l'histoire Américaine saisit d'un seul coup d'oeil. Du Potomac jusqu'au dôme du Capitole. Je doute que ce jeune homme ait pu vraiment en profiter.

Ziva : Ce sont des ouvriers qui l'ont trouvé quand ils sont arrivés à 8 heures du matin.

Tony : Je suppose que son vol est arrivé vers 6 heures. Une demi heure depuis l'aéroport. 20 minutes pour le faire griller. Ce qui met l'heure du décès vers 7 heures.

Ducky : Et 11 minutes pour être plus précis. Il n'y a pas que lui qui ait été grillé.

McGee : Deux batteries de 12 volts. C'était pas suffisant pour l’électrocuter.

Ducky : Ça suffisait pour le faire suffoquer, Tim.

McGee : Il a suffoqué ?

Ducky : Et bien, l'application d'un courant continu à travers la poitrine provoque de gigantesques contractions des muscles respiratoires. Le diaphragme. Les muscles intercostaux. Oui, ce pauvre garçon a du être pleinement conscient et incapable de parler. La mort par suffocation c'est une façon de mourir particulièrement atroce, terrifiant, d'une lenteur insupportable.

Ziva : On voulait le faire souffrir.

Gibbs : Ou parler.

 

McGee : Chandler. Il avait été envoyé au Koweït. Il est rentré hier. Rapatriement humanitaire.

Gibbs : États de services ?

McGee : Exemplaires. Pas la moindre rayures sur ses brodequins.

Tony : Chandler a acheté son billet d'avion au comptoir. Pas de bagages enregistrés, un homme pressé d'aller quelque part. Ou d'échapper à quelqu'un.

Gibbs : Voiture ?

Ziva : Il avait réservé une voiture de location mais il n'est pas passé la prendre.

Tony : Quelqu'un est passé le prendre avant.

McGee : Ça a l'air de bouger là. On n'est pas les seuls à s'intéresser à Chandler. Un avis de recherche lancé depuis Los Angeles au niveau national.

Gibbs : C'est la Police ?

McGee : Négatif.

Gibbs : Qui a lancé cet avis de recherche, McGee ?

McGee : C'est nous, patron. C'est le NCIS.

 

Macy : A toutes les unités, on referme, on referme. Coups de feu. Trouvez un autre angle.

Éric : J'essaie Macy.

Vance : La mère de Chandler a presque été laissée pour morte après un cambriolage, la semaine dernière. Avant qu'il quitte le Koweit, quelqu'un lui a remis 250 000 $ en lui disant que s'il les livrait à une adresse à Los Angeles, ils ne retourneraient pas terminer le travail pour sa mère. C'était une cible facile. Il est fils unique. Un informateur local a prévenu nos agents sur le terrain, on l'attendait à l'arrivée de son vol. Il a accepté de coopérer mais pendant qu'il allait livrer l'argent, on lui a tiré dessus. Il a paniqué. Il a voulu rentrer voir sa mère dans l'ouest de la Virginie mais n'a pas dépassé Washington.

Gibbs : Ce n'est pas qu'un Marine mort, Léon.

Vance : J'ai un mauvais pressentiment à propos d'une affaire de trafic d'armes sur laquelle on enquête à Los Angeles.

Gibbs : Vous croyez que les deux affaires sont liées ?

Vance : Allez le vérifier. Bossez avec eux en amenant quelqu'un.

Gibbs : Le service de San Diego .

Vance : Los Angeles. L'OPS. Ils dirigent l'enquête.

Gibbs : C'est toujours Macy qui dirige ce service ?

Vance : Ça vous pose problème.

Gibbs : A elle peut-être.

Vance : Mais vous être dans le même camp, Alors faites avec.

Sam : Réponse négative, Macy. Blackbird s'est envolé.

 

Tony : Il a un nom ?

Ziva : Qui ?

Tony : L'étoile de David.

Ziva : Oh. Oui, il a un prénom.

Tony : Trevor ? Bruce ? Marmaduke ?

Ziva : Michael.

Tony : Mmmh. On aurait plutôt dit un Bruce qu'un Michael au téléphone.

Gibbs : Très bien. Attrapez votre brosse à dent .

McGee : Pourquoi ? On va où ?

Gibbs : Los Angeles.

Tony : La Californie ! Et à quelle heure partons-nous ?

Gibbs : Pas « nous » !

Tony : McGee ! Pas moi ?! McGuignol ?! Toi ?! Patron...

Gibbs : Opération conjointe avec l'OPS. L'affaire Chandler. Tu t'en occupes d'ici. On part dans 45 minutes.

Ziva : L'OPS ?

Tony : L’Office des Projets Spéciaux. Les infiltrés du NCIS. Surveillance.

McGee : De supers joujoux !

Ziva : Après notre dernier séjour à Los Angeles je comprends pas comment tu as pu croire que je serais tellement nécessiteuse d'y aller.

Tony : Désireuse. Tu aimerais y aller. Pas une pauvresse.

Ziva : Pas pauvre … ?

Tony : Pourquoi ça me contrarie tellement ? Réponds pas. Là réponds.

Ziva : Shalom .

McGee : Bon, Tony, on dirait que le patron sait qui est son meilleur bras droit.

Tony : Tu ne seras pas que son bras, McJemelapète. Ses oreilles.

McGee : Ah bon ? Pourquoi tu me parles d'oreilles ?

Tony : Le vol en avion. Cinq heures et demi de vol sans escale. Va falloir que tu chattes McBavard . De quoi tu vas lui parler ?

McGee : Je devrais lui parler ?

Tony : Oh, oui ! Et pendant des heures. Prends toi un magazine de bâteaux. Ou même le mensuel du tireur d'élite. Mais surtout ne parle pas mariage, divorce ou Vance.

Ziva : D'accord. Au revoir. Tu me remplaces ?

Tony : Quoi ? Tu vas revenir quand ?

Ziva : Bientôt.

McGee : Salut.

 

Abby : C'est vrai ? Sûrement. D'accord, je vois ça. Vous aussi. Ciao. Ceci est bizarre.

Gibbs : Qu'est-ce qui est bizarre, Abby ?

Abby : Les projets spéciaux de Los Angeles viennent de m'envoyer un e-mail pour confirmer qu'ils sont intéressés par notre victime.

Gibbs : Le première classe Chandler.

Abby : C'est lui.

Gibbs : L'agent spécial Macy.

Abby : C'est elle. Elle veut que je lui envoie toutes mes découvertes. Tu la connais. Ce n'est pas une question Gibbs. Tu la connais.

Gibbs : Si tu découvres quelque chose, Abby, tu me contactes d'abord, ensuite, tu lui envoies tes trouvailles.

Abby : Tu t'en vas quelque part ?

Gibbs : Oui. C'est ce que je suis venu te dire : à Los Angeles.

Abby : Dans l'antre de la tigresse.

Gibbs : J’emmène McGee.

Abby : Gibbs ! ... C'est juste que la dernière fois que vous êtes allés à Los Angeles, l'un de vous n'est pas rentré.

Gibbs : Je le ramènerai, Abby.

Abby : Mais pense aussi à te ramener toi.

 

Tony : Et il s'est servi d'une carte de crédit pour ça. Il n'a passé qu'un coup de fil depuis l'avion. D'accord. C'est tout ce que je voulais savoir. Merci. Au revoir.

Ziva : Allô ?

Tony : Salut ! Je ne te dérange pas ? Disons... au travail ?

Ziva : Tony ! Je suis sur une piste là, je travaille.

Tony : Une piste ? Sur Chandler ?

Ziva : Ça n'aboutira peut-être à rien.

Tony : Tu racontes ?

Ziva : Tony je n'peux rien dire, je dois y aller.

Tony : Vas-y... Curieux.

Michael : DiNozzo ?

Ziva : Je ne veux pas lui mentir Michael.

Micheal : Un petit mensonge. Ton père t’envoie tout son amour.

Ziva : Et qu'est-ce qu'il m'envoie d'autre ?

Michael : Moi.

 

McGee : Patron, vous êtes sûr que c'est bien là ?

Kensi : Salut. Bienvenue à l'OPS . Je suis Kensi.

Gibbs : Agent spécial Gibbs.

McGee : Agent McGee.

Kensi : Vous aimez les bateaux McGee ?

McGee : Non.

Kensi : Vous en construisez un ?

McGee : Non. C'est pour engager la conversation.

Kensi : Ça marche! Vous avez dormi pendant le vol ?

McGee : Pas une seconde.

Gibbs : J'ai dormi tout le temps.

 

Kensi : Déjà venus là ?

Gibbs : Oui.

McGee : Non.

Kensi : Bienvenus à bord.

 

Macy : Une augmentation des communications ?

Vance : C'est plutôt le contraire, on n'entend plus que le chant des grillons.

Macy : Mais les méchants ont peut-être renoncé et décidé de rentrer chez eux.

Vance : Ou ils sont peut-être déjà en route pour venir ici. Dites à Gibbs de m’appeler dès qu'il sera là.

Macy : Et si vous le lui disiez vous même ?

Vance : Gibbs.

Gibbs : Bonjour, directeur Vance.

Vance : Je sais à quel point ça vous enthousiasme de travailler ensemble. J'ai dit au Secrétaire d'Etat que j'avais mis mes meilleurs éléments sur l'affaire. Il y a beaucoup de gens nerveux au Pentagone. Ne m'obligez pas à venir sur place.

Macy : Il t'a dit que je dirigeais tout ?

Gibbs : Oui il me l'a dit.

Macy : Toujours au café ?

 

Macy : C'est tout ce qu'on a sur Chandler . Comment va sa mère ?

Gibbs : Elle veut voir son fils. Quel était le plan ?

Macy : On suivait l'argent, on avait placé un GPS dans la mallette. On le suivait jusqu’au rendez-vous. On n'a pas eu trop de temps pour organiser ça.

Gibbs : Quelqu'un a organisé une contre-surveillance. La personne qu'il devait voir l'a éliminé pour protéger ses arrières. Ton équipe s'est fait berner.

Macy : Mon équipe a été parfaite.

Gibbs : Tu as dis que vous aviez improvisé.

Macy : Tu n'as jamais eu de problème sur une surveillance ?

Gibbs : Qui devait-il voir ?

Macy : Un type appelé Liam.

Gibbs : Le lien avec le trafic d'armes sur lequel vous enquêtez ?

Macy : Évident. On a déjà l'intermédiaire pour ce marché. Il paye en liquide. Il dit que le fric provient de l'étranger.

Gibbs : Tu parles d'une connexion … ! Vous avez déjà parlé à Talia ?

Macy : C'est déjà prévu dans quelques heures dans un resto du coin. A couvert. Notre spécialité. Un petit conseil, Jethro : laisse-moi faire mon boulot.

Gibbs : Comme tu l'as fait la première fois qu'on s'est vu ? Ça c'est pas du café.

Nate : Salut. Euh... Ils ont tout installé au resto .

Macy : Callen ?

Nate : Je ne l'ai pas encore vu .

Macy : Sortez de ma tête Nate.

Nate : Je suis psychologue de terrain. C'est mon boulot de l'explorer. Alors, Gibbs ? Vous voulez qu'on en parle ?

Macy : Non.

Nate : Il n'a pas confiance en vous. C'était plus qu'évident. Il n'avait qu'une hâte, s'en aller.

Macy : Nate, vous l'avez entrevue sur le pas de la porte.

Nate : Vous auriez dû coucher avec lui à l'époque. Quelque soit cette époque. J'étais probablement en maternelle en ce temps là.

Macy : Et qui vous dit que je ne l'ai pas fait ?

Nate : Je peux déjà vous dire...

Macy : Non. Ne répondez pas !

Nate : D'accord.

Macy : Vous me faites peur.

Nate : Ouais.

Macy : Partez.

Nate : J'y vais.

Macy : Et trouvez Callen.

Nate : Ouais c'est ça.

 

Gibbs : DiNozzo, dis moi que tu as quelque chose.

Tony : Pas de chance avec les vidéos de surveillance à l'aéroport. Chandler s'est perdu dans la foule. Les batteries de camions utilisées pour le faire frire sont un produit chinois bon marché, il s'en vend des milliers tous les ans.

Gibbs : Ça c'est ce que tu n'as pas, DiNozzo.

Tony : J'ai aussi cherché des meurtres similaires. Ces types savaient ce qu'ils faisaient, ils l'ont déjà fait.

Gibbs : On cherche un type qui s'appelle Liam.

Tony : Liam. Compris.

Gibbs : Ziva ?

Tony : Ziva ! Le patron.

Ziva : Non.

Tony : Elle a suivit une piste. On dirait que ça n'a rien donné. Comment s'est passé le vol ?

Gibbs : McGee n'a pas arrêté de jacasser.

Tony : McGee ?! Il est plein de surprise. Qui aurait cru ça de lui ?

Gibbs : Continuez de chercher.

Tony : Entendu, patron.

Gibbs : Vous l'avez lu.

McGee : Oui, j'ai finis.

Gibbs : Vous restez. Tenez-leur compagnie. Je vais voir un ami.

Ziva : Je suis désolée pour hier.

Tony : Oh c'est pas grave. J'adore être totalement débordé.

Ziva : Je t'ai dis que je regrettais. Cette piste conduisait nulle part.

Tony : T'en fais pas. No problemo Davido.

 

Sam : Le rendez-vous aura lieu dans un resto de Venice Beach. On recevra des images de quatre caméras. Une caméra de circulation à cette intersection. La caméra d'un magasin juste en face. Deux mini-caméras préréglées à l'intérieur.

Macy : On est prêts ?

Sam : On le sera bientôt.

Macy : Kensi ?

Sam : A 15 minutes. On démarre dans 30 minutes.

Macy : Callen ?

McGee : Qui est Callen ?

 

Callen : Vous construisez toujours un bateau dans votre cave ?

Gibbs : Oui.

Callen : Le même ?

Gibbs : Non. Un autre.

Callen : Deux bateaux. Trois femmes.

Gibbs : Quatre. Femmes.

Callen : Vous avez vu Macy ?

Gibbs : Oui je l'ai vu.

Callen : Vous avez tant de souvenirs en commun.

Gibbs : Alors, comment allez-vous Callen ?

Callen : Pas mal. Il y a même des jours ou ça irai presque.

Gibbs : Vous cherchez toujours.

Callen : Je cherche toujours. Il y a une raison au fait qu'on n'est pas assis dans un bar ?

Gibbs : Il est 10 heure du matin.

Callen : Je ne sais pas ce qui est le pire. Devenir vieux ou s'assagir ?[En Russe] Je ne veux pas d'excuses. Il a jusqu'à la fin de la semaine.

Gibbs : [En Russes] Pourquoi ?

Callen : [En Russe] S'il ne paie pas ce qu'il doit... [En Français] C'était un beau match mais le batteur aurait dû être disqualifié.

Gibbs : [En Français] Vous auriez du me dire que vous étiez sous couverture.

Callen : Je ne le suis pas. C'était pour elle. Elle habite en face de chez moi. Elle vient d'arriver de Saint-Pétersbourg. Elle est seule. Et si elle pense que je fais parti de la mafia Russe, elle ne voudra pas qu'on devienne amis. Quelques fois, on a des semaines pour planifier et quelques fois un jour. Je dois rencontrer un trafiquant d'armes qui s'appelle Talia. Il n'a confiance en personne. Je doute de nos chances. Comme cette première opération en Serbie, vous m'avez sauvé les fesses.

Gibbs : C'était à Moscou.

Callen : Non ! Mes fesses ne risquaient rien à Moscou. C'étaient celles de Petrov. Les fesses de Petrov, il faut sans arrêt les sauver.

Gibbs : On a travaillé avec des gens biens.

Callen : Oui. On s'est fait de bons amis.

Gibbs : Certains sont morts.

Callen : La prochaine fois dans un bar. Je n'aime pas trop les parcs.

Gibbs : D'accord.

 

Sam : Caméra deux dans le resto.

Éric : Elle enregistre.

Sam : On capte la conversation de Talia ?

Éric : J'essaie.

Sam : Ça vient d'un téléphone portable. Un de ces trucs jetables.

Éric : Je repère les relais extérieurs.

Sam : Les caméras trois et quatre sont prêtes. C'est parti !

Macy : Callen, où est-ce que vous êtes ?

Callen : Devant le resto. Je vous regarde Macy. Hey ! Éric, ces micros me grattent.

Sam : Vérification son.

Callen : Ça fait 18 ans. Vous pourriez peut-être un peu lâcher la bride de Gibbs, Macy. Klaxonne une fois si tu m'entends Sam.

Sam : Hadley, klaxonne une fois.

Éric : Il est entré. Rien à signaler.

Callen : C'est vous Talia ?

Talia : Oui. Mon cousin avait un resto à Chicago. Pas comme celui-là. Le style ancien avec des boxs en comme on dit des fontaines à sodas. Ses cafards étaient aussi probablement un peu plus gros. L'hygiène ce n'était pas le point fort du cousin Mario.

Callen : On m'a dit que vous étiez sur le marché.

Talia : Et qui vous êtes ?

Callen : Quelqu'un qui vous donnera ce que vous voulez.

Talia : Je vous connais pas.

Callen : J'ai dû vous être chaudement recommandé. Vous ne seriez pas là sans ça.

Talia : L'ami d'un ami d'une racaille.

Callen : Exactement. On doit tous prendre des risques. Alors qu'est-ce qu'il vous faut ?

Talia : Pas à moi. Un client.

Callen : D'accord. Et votre client a besoin de quoi ?

Talia : Il veut des jouets.

Callen : Fusils de chasse ? Des fusils à pompe ? A air comprimé ?

Talia : Il pense plutôt à des trucs style 4 Juillet. Des gros pétards.

Callen : Un micro ?

Talia : Quoi ?

Callen : Vous en avez un ?

Talia : Et vous ?

Callen : Alors quand ?

Talia : Demain.

Callen : Pas possible.

Talia : Écoutez. Non ce n'est pas un mot que mon client comprendra.

Callen : Alors laissez moi lui expliquer.

Serveuse : Excusez-moi monsieur, le monsieur la bas m'a demandé de vous donner ça.

Talia : Barre-toi.

Callen : Quoi ?

Talia ; Tu m'as compris. J'ai dis « barre-toi » !

Nate : Il est repéré. Il est temps de se replier.

Macy : Callen, on remballe.

Callen : Vous savez, ce n'est pas de votre client que vous devriez avoir peur.

Nate : J'ai le play-back du coup de fil de Talia.

Macy : Allez-y

Talia : Je sais, je sais. J'y travaille . Donnez-moi quelques jours. Vous aurez ce que vous voulez...

Eric : C'est vraiment trop mauvais.

Macy : Repasse-le et isole le dernier mot.

Talia : Liam, je sais, Liam. Liam !

Sam : C'est notre connexion. C'est le type que Chandler devait voir.

Macy : Le même type.

 

Sam : Chandler à été contraint de faire sortir par ce Liam 250 000 $ du Koweït.

McGee : Un virement bancaire aurait été plus facile.

Callen : Ça aurait laissé des traces papier.

Sam : Pendant ce temps-là, Liam approche Talia et lui demande de lui procurer une grande puissance de feu.

McGee : Du fric, des armes...

Callen : Et c'est urgent.

Gibbs : Vous avez un plan , Agent Spécial Macy ?

Macy : C'est Talia le plan. Sam, vous ferez aux agents Gibbs et McGee un rapport complet sur l'opération. Y compris Renko.

Sam : Entendu.

Callen : 18 ans. Vous deviez être lieutenant chez les Marines dans la police militaire. Gibbs était toujours sergent.

Macy : On change de sujet.

Callen : Vous avez enquêté ensemble ?

Macy : Pourquoi ça vous intéresse ?

Callen : Pour le raconter à ma famille.

Macy : G, vous n'avez pas de famille.

Callen : Ça c'est méchant.

Macy : Mais vrai.

Callen : Gibbs est ma famille. Et vous aussi. Vous avez des photos de vous en uniforme ?

Macy : Oui et non. Vous ne les verrez pas.

Callen : D'accord. Je demanderai à Gibbs ce qui s'est passé.

Macy : Prévenez moi dans ce cas. Je veux être là pour le voir vous botter les fesses.

 

Ducky : Il peut être très déconcertant, c'est vrai, lorsqu'il apparaît derrière toi juste quand tu as quelque chose à lui dire.

Tony : Il lit dans les pensées.

Ducky : Tu peux essayer de l'imiter.

Tony : Qu'est-ce que tu as Ducky ?

Ducky : Oooh ! Tu es doué ! Cette satané paperasserie, Jethro. J'ai besoin de ta signature.

Tony : D'accord. Bon je vais cesser d'être Jethro et me contenter d'être cet Agent très Spécial, Anthony DiNozzo. Je signe où ?

Ducky : Sur les sept pages. Et pendant que tu signes, tu veux bien me dire pourquoi tu es descendu me voir ?

Tony : Ziva.

Ducky : Ah ! Personnel, pas professionnel.

Tony : Ce n'est pas ce que tu crois.

Ducky : Je crois rien du tout. Qu'est-ce que tu crois ?

Tony : Je crois qu'elle s'inquiète pour quelque chose. Elle semble distraite.

Ducky : Oui, mais on est tous distrait. Continue de signer.

Tony : Elle t'a déjà parlé de ce qu'elle avait fait quand elle est rentrée d’Israël ?

Ducky : Non, elle s'était chargée d'une opération à couvert au Maroc.

Tony : Ouais, je suis au courant.

Ducky : Elle a faillit mourir.

Tony : C'est vrai ? Je le savais pas ça.

Ducky : On l'a même entrevu dans un reportage télévisé après l'explosion de la bombe. Si elle est distraite parfois...

Tony : Tu sais je me fais probablement des idées. Et regarde ça j'ai tout signé. Sinon tu as autre chose à me dire ?

Ducky : La cause du décès est effectivement la suffocation provoquée par un choc électrique. De nombreuses contusions et des bleus laissent penser qu'il a été brutalement enlevé avant d'être accroché là-bas et torturé.

Tony : Mmmh, intéressant.

Ducky : Et sur la corde il y avait de la peau. Abby a trouvé du tissu épitéliale ce qui me fait croire que l'homme que vous recherchez doit avoir de très vilaines traces de frottements sur l'une de ses mains.

 

Abby : C'est pour quelle affaire au fait?

Tony : Mon affaire. Opération spéciale. Top Secret .

Abby : Je ne te demanderai même pas. Ça a un lien avec Ziva ?

Tony : Je croyais que tu ne devais rien demander.

Abby : D'accord ! Je n'dirai rien mais dis-le moi. Un résultat. Une photo de l'immigration. Michael Aaron Rifvin. Citoyen Israélien, il vit à Tel-Aviv, travaille dans une banque et est arrivé ici il y a deux jours. C'est la réponse à la question que je n'ai pas le droit de poser ?

Tony : Ça dépend.T'aurais pas d'autres photos ?

 

McGee : Là vous avez vu ? Un flash.

Sam : C'est un reflet dans la vitre de la voiture.

McGee : C'est le reflet d'un coup de feu. Vous pouvez calculer la trajectoire des balles. Oh ! Patron, il me faut un de ces trucs. Évidemment, si le budget le permet.

Sam : Il n'y a qu'une source. Le tireur était dans la rue.

Gibbs : Ou dans une voiture.

Sam : On va voir s'il n'y a pas d'autres caméras auxquelles on pourrait accéder.

McGee : C'est une caméra de circulation . Des caméras de surveillance.

Sam : Là, on a un autre angle. C'est un distributeur.

McGee : J'apporte ces données. C'est parfait.

Sam : Voilà Chandler.

McGee : C'est un 4*4 mais on ne voit pas ses plaques.

Sam : Je l'ai. C'est notre tireur .Ça peut être Liam.

Gibbs : Envoyez une photo à Abby.

Sam : Elle est peut être dans notre répertoire. Abby. Scuito. C'est envoyé.

McGee : Oh ! Il faut vraiment que j'ai un de ces trucs.

Sam : Vous avez un problème ?

 

Ziva : Vous avez son adresse actuelle ? D'accord. Merci. J'ai une piste !

Tony : Sérieuse ? Je veux dire, une piste sérieuse ?

Ziva : Il y a 18 mois un homme a été retrouvé écartelé et relié à une batterie dans une forêt près de Baltimore. Même mode opératoire que pour Chandler, on a soupçonné les frères Stefano et Benji Kass. Ils ont une boîte d’échafaudage.

Tony : Pourquoi on ne les a pas coffrés ?

Ziva : Tous les témoins ont disparu.

 

Tony : Oh ! Dis donc tu as vu ça ?! Une bête équipée d'un six cylindres GPL.

Ziva : Un V8, diesel.

Tony : Les batteries sont là.

Ziva : Ici.

Tony : Oui par là.

Ziva : Deux batteries de 12 volts. Neuves.

Stefano : Vous cherchez quelque chose ?

Tony : Agent Spécial Anthony DiNozzo, NCIS. Vous devez être les frères Kass. C'est votre camion ?

Stefano : Si c'était le cas ?

Ziva : Tony. La chaussure de Chandler qui manquait. [Les Kass fuient] Arrêtez ! [Ziva en plaque un au sol] Stefano, je suppose ?

[Course poursuite entre Benji et Tony. Benjy tombe dans le vide mais Tony le retient.]

Tony : On dirait que les gars qui ont monté ces échafaudages n'étaient pas très sérieux. Attendez un peu, c'est sûrement vous, c'est ça ? C'est une vilaine marque de frottement que vous avez là.

Benji : Je perds prise, aidez-moi à remonter.

Tony : Combien il vous a payé.

Benji : Remontez-moi, par pitié !

Tony : Quelle... Somme ?

Benji : Mais rien ! C'est vrai ! On lui devait un service ! Il nous a appelé et dit de cueillir Chandler à l’aéroport, il a e-mailé sa photo et son numéro de vol.

Tony : Comment il s'appelle ?

Benji : Écoutez, vous ne savez pas de quoi il est capable, d'accord. Il va me tuer.

Tony : Benji, mes mains commencent à être moites. Je ne sais pas ce qu'il va se passer si, vous savez ? Comment il s'appelle ?

Benji : D'accord ! Liam !

Tony : Et son nom de famille ?

Benji : C'est juste Liam !

 

Gibbs : Et avec Stefano ?

Tony : Non, il ne veut rien dire.

Gibbs : Insiste DiNozzo !

Tony : Entendu.

Gibbs : Je veux le nom de famille de Liam. Alors ?

McGee : Abby fait une reconnaissance faciale sur le type du 4*4, elle nous appellera si jamais elle a une correspondance.

Macy : Qu'est-ce que vous avez ?

Gibbs : Les tueurs de Chandler.

McGee : Ils ont reçu un appel de Liam leur disant de l'intercepter à l'aéroport.

Macy : Pas de nom de famille ?

Gibbs : On cherche.

Kensi : Macy ! Talia téléphone.

Éric : Lumières baissées. A l’écran.

Kensi : On a équipé sa voiture pendant qu’il était au resto. La surveillance vidéo devrait passer en direct.

Eric : Il est sur haut-parleurs. La qualité est moyenne.

Talia : Je veux parler à Mattie Rae.

Mattie Rae : C'est moi.

Talia : Au resto ce matin, comment vous saviez que c'était un flic ?

Rae : Qui êtes-vous ?

Talia : Je m'appelle Max Talia.

Rae : Comment vous avez eu mon numéro ?

Talia : La serveuse au resto. Je comprends pourquoi vous lui avez donné, elle est jolie. Vous m'avez vraiment tiré d'un très mauvais pas ce matin.

Rae : Oui, ce pourri m'a bien gâché la vie. Alors, c'est un juste retour des choses.

Talia : Cinq ans pour trafic d'armes.

Rae : Attendez. Comment vous le savez ? Qui vous en a parlé ?

Talia : Oh, j'ai des amis. J'ai fait mon enquête. J'ai appris que vous étiez de retour sur le marché.

Rae : Possible.

Talia : Écoutez, j'ai un client bourré de fric qui cherche en urgence de l'artillerie spécialisée. Je pourrais vous brancher avec lui.

Rae : Spécialisée comment ?

Talia : Fusils d'assaut, C-4. Vous pourriez voir ça ?

Rae : Je connais des gens qui pourrez vous fournir un char  si vous avez une valise assez grosse. Écoutez, il faut que je rencontre d'abord ce type pour voir à qui j'ai à faire.

Talia : Il y a un vieux parking discret à East Temple près de la voie ferrée. Dans 40 minutes.

Rae : J'y serai.

Macy : On dirait qu'on a pris le même rendez-vous.

 

McGee : Ça y est, la caméra trois est en ligne.

Sam : A toutes les unités en stand-bye, Mattie Rae est là. Et voilà Talia.

McGee : On attend toujours l'invité d'honneur.

Macy : Talia l'a appelé. Liam va arriver.

Callen : J'pensais pas que Liam était du genre à se pointer à un rendez-vous avec un délai aussi court.

Macy : Il est sous pression. La perte de Chandler a foutu en l'air son emploi du temps, il a dû probablement trouver en urgence du fric ailleurs.

Gibbs : Il est désespéré.

Macy : C'est un avantage.

Sam : Un véhicule entre dans la ruelle. Ils vont vers lui.

Macy : C'est Liam.

Gibbs : McGee, rapprochez-vous de lui. Qu'est-ce que vous voyez ?

McGee : Zoomez avec la caméra 1. Il porte un jean et une veste de sport. Il est armé. Ça l'air d'être un canon long.

Gibbs : C'est un contrat.

Macy : Séparez-les.

Kensi : Allez, debout monsieur Talia. Les mains derrière le dos.

Talia : Vous êtes cette saleté de serveuse de bistro.

Kensi : Ah ! Il ne fallait pas être aussi radin.

Gibbs : Gibbs.

Rea : Agent spécial Renko.. Merci du coup de main.

Macy : Ça va, Mike ?

Renko : Oui, je vais bien. Ça commence à devenir intéressant, hein, Macy ? Comment vous avez su que c'était un contrat ?

Gibbs : Des armes avec des silencieux.

Renko : Pourquoi ils ont essayé de nous descendre. On avait ce que voulait Liam.

Macy : Peut être qu'il a trouvé ailleurs ce qu'il voulait.

Gibbs : Vous deveniez gênant.

Callen : Un Motel, sur le Strip.

 

Callen : R.A.S !

Macy : Quatre passeports vierges. Quatre valises remplies d'armes. Assez de C-4 pour faire sauter un immeuble.

Gibbs : La chambre est toujours réservée.

Callen : Ça veut dire que ceux que Liam fournissait, vont sûrement venir chercher ça.

Macy : Liam est un fantôme. Je suis sûre qu'ils ne l'ont jamais vu.

Callen : C'est probable.

 

Tony : Tu as des résultats sur notre petit secret ?

Abby : Tu sais comme je suis débordée ?

Tony : Je sais que tu es débordée.

Abby : D'accord, je suis rassurée. On a un résultat mais c'est un peu ennuyeux. Le type à droite, Michael Rivkin, un prétendu banquier Israélien. Le type à gauche, le directeur du Mossad, Eli David, qui se trouve être aussi...

Tony : Le père de Ziva.

Abby : Elle connaît sûrement Rivkin.

Tony : Tu lui poses pas de questions. Tu ne souffles pas un mot de tout ça. Abby.

Abby : Tony...

Tony : Je plaisante pas.

 

Kensi : Liam Patrick Coyle, un ancien trafiquant d'arme de l'IRA . Récoltait des fonds et introduit des armes en Irlande du nord dans les années 90. Après le traité de paix, il devient free-lance. Il a vendu des armes de partout : de la Tchétchénie jusqu'à la corne de l'Afrique.

Gibbs : De préférence à des terroristes.

McGee : Pourquoi on n'a jamais entendu parler de lui ?

Kensi : Il habitait à New York. Faux travail. Faux nom. Fausse vie.

Nate : Ça s'appelle une légende. C'est un mot utilisé par la Stasi. La police secrète de l'Allemagne de l'Est pendant la guerre froide. Leur idée s'était de créer une couverture si bonne qu'elle résisterai à tout examen. Passeport. Documents. Papiers de travail. Et même les histoires de famille. Bien sûr, rien n'est vrai. Tout ça est une légende.

 

Tony : Merci de l'avoir retenu.

Ziva : Je t'en prie, Tony.

Tony : Je n'aurai jamais cru le dire mais je regrette presque McGee. Oui, presque. Et toi Ziva ? Il te manque ?

Ziva : Oui, beaucoup.

Tony : Tu regrettes quelqu'un d'autre ? Gibbs ?

Ziva : Parfois.

Tony : Et ton ami qui habite à Tel-Aviv ?

Ziva : Tony !

Tony : C'est juste pour savoir.

Ziva : Oui, Michael me manque aussi.

Tony : Quand il a appelé l'autre jour j'ai eu l'impression qu'il appelait d'ici.

Ziva : Non. Je regrette, Michael n'est pas là. Hélas.

 

Callen : J'espérais bien vous voir.

Michael Rivkin : C'est un plaisir de pouvoir enfin vous rencontrer, Liam.

Ecrit par KensyDeeks 
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